Klivan a écrit :
Bobba a écrit :
BiZ a écrit :
En fait c'est le propre de tous les appareils à train classique. Avant la mise en ligne de vol, tu vois pas grand chose devant. Alors quand t'as un merlin devant qui fait qques centimètres de long quand même, ça arrange rien
C'est encore plus vrai sur le Corsair où la géometrie des ailes a due etre modifiée pour que l'helice ne racle pas le sol.
Euh c'est pour pour avoir des jambes de train suffisament courtes pour pouvoir se loger dans les ailes sans empiéter sur les mitrailleuses
Et pour ne pas les avoir trop longue tout court (risque de casse à l'apontage ou atterissage)
Edit : Choses promises..
Elles ont toutes été prise par mon grand père au court de sa carrière.
Le Dewoitine D520 en juin 40 sur le terrin du Luc
Ils etaient flambant neuf, le mecano peignait encore le numeros
L'intérieur :
Mon grand père :
Briefing :
La salle de repos :
Le bar de l'escadrille décoré d'une hélice et d'un morceau de voilure d'un Heinkel 111 :
En vol au dessus de l'algérie pedant l'armistice (d'où les bandes blanches):
Les Dewoitines cloués au sol, toujours en algérie
Problèmes de trains d'attérissage
:
En vrac les autres avions qu'il a piloté :
Mirage IIIR :
Morane 315 (photo de son premier vol) :
Nieuport 62 (en pylône
) :
P51 :
RF84 :
Spad 510 :
Il y en a plein d'autres en négatif mais il faudrait les faire develo
pper.
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969