(((O))) a écrit :
je n'aime pas l'aspect "je récite le quid" des paroles.
C'est le fameux (et fumeux) phénomène du name-dropping qui gangrène déjà la littérature depuis un certain temps. Je veux dire, employé à haute dose.
On ne dit plus : "Il arborait une paire de moustache touffues, finement coupées, qui lui conféraient un air de brigadier chef de commissariat de province."
On dit : "Il arbore la même moustache qu'Edwy Plenel."
Et ce plusieurs fois par page.
Ce qui rend le bouquin parfaitement incompréhensible par 99% des lecteurs.
P.S : je schématise exprès, je sais bien que tous les livres ne sont pas comme-ça