rectoman a écrit :
Rouler à 45 km/h pendant 800 m sur une 2 voies....c'est un peu être danger public.
Mais c'est limité à 45km/h.
La mauvaise fois typique.
C'est limité à 45, et c'est annoncé. Celui qui est dangereux, c'est pas celui qui va arriver à 45, c'est plutot celui qui n'en a rien à faire et qui va arriver à 90.
Peut etre que le panneau à été placé là justement parceque les gens commençaient seulement à ralentir à l'entrée de la ville, et pas avant.
Citation:
Ils pourraient rester là,nuit et jour,ils rempliraient facilement les caisses de l'état.
Je vous jure.
Sinon pour faire un petit commentaire sur les radars fixes,normalement ils sont situés sur les endroits accidentogènes.
Ce n'st pas toujours le cas.
Je n'ai pas de statistiques sous la main mais connaissant bien le coin ou j'habite,et ce depuis des années,c'est prendre les gens pour des cons que de dire ça.
Effectivement, mais le constat est là : après des années et quelques millions d'euros dépensé dans la prévention routière (spot, intervention, stage de conduite gratuit, etc) on se rend compte que ce qui fait baisser le nombres d'accident de la route, c'est la répression. Et non seulement ça ne coute rien, mais en plus, ça remplit (un peu) les caisses de l'etat (nos retraites, notres sécu, notre rmi) ! C'est pas formidable ?
Le but des radars automatiques n'est pas de reduire directement le nombre d'accident en controlant la vitesse dans un bout de ligne droite, c'est de changer la mentalité des conducteurs.
Après, c'est peut etre aussi pour faire de la thune, mais si c'etait le cas, pourquoi les annoncer clairement à l'avance ?
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969