JGmicmac a écrit :
C'est la confrontation qui fait avancer.
Pas convaincu, pour moi, les expériences vécues dans la vie réelle avec des projets musicaux qui marchent ou non et l'échange avec d'autres musiciens fait réellement avancer.
Certes, sur un outil type "forum", chacun arrive avec ce vécu et aussi son petit égo. Les avis divers, la plupart du temps s'entrechoquent.
Donc, pas le choix: confrontons.
JGmicmac a écrit :
Ensuite on peut expliquer en quoi la notation anglo-saxonne des accords est terriblement incomplète, voir trompeuse. Il s'agit d'une indication sommaire (pour faciliter la lecture) à partir de laquelle le musicien est libre de faire des choix (renversements, registre, doigtés...). Cette façon de noter les accords permet effectivement de supprimer les double dièzes et doubles bémol...
Le langage du chiffrage me convient tout à fait:
Très adapté au jazz, par exemple, ou le musicien a juste besoin d'un schéma de l'harmonisation d'un thème pour y évoluer librement.
Exemple: il est fréquent de noter 5# quand c'est plutôt b13.
Notation encore plus ambiguë: | G7alt | CM7 |...
Si l'arrangeur ou compositeur veut des renversements ou des voicings très précis, un autre langage existe: le solfège. Là, on aura quelque chose d'exact mais au revoir l'improvisation et la spontanéité.