copier collé de ce que j'ia ecrit à coté :
Bobba a écrit :
Raaah mes amis, quel concert
MAIS QUEL CONCERT !!!
BOn je passe les premières partie, Tony Joe White (pas vu) et Laurent Voulzy (sympa, mais il galère un peu dès qu'il faut improviser le pauvre homme, il a tendance à oublier de chanter aux bons moments aussi)
Le temps s'eclaircit pendant l'attente pré-floydienne (alors que c'etait le deluge pour Voulzy) On est rejoint dans les gradins par le prince Albert, Michael Shumacher et Laurent "je-sais-pas-jouer" Voulzy
et le soleil couchant se remet à eclairer la scene pour un In The Flesh ! retantissant suivit par Mother.
Et là c'est la claque dans nos gueule ! Un son vraiment excellent. Pour Voulzy les rafales de vents balayaient un son trop faible. Mais là rien à redire, je l'ai meme trouvé meilleur que le son de Gilmour à l'olympia, c'est dire ! Les effets de 5.1 sont bien restitués.
Autre claque dans la gueule : Roger Waters est en forme !
Que ceux qui trouvent qu'il à perdu sa voix se reçoivent des pierres. Non seulment il a toute sa voix mais en plus le bougre à de l'energie. Il a vraiment balayé sa pietre prestation du Live 8.
Le coucher de soleil commence à enflammer le ciel pour un Set The Control For The Heart Of The Sun des plus envoutant et terrassant (quel solo de Snowy White
, lui aussi en forme le bougre)
Puis la nuit commence à tomber lorsque resonnent les 4 notes de Shine On You Crazy Diamond
On a ensuite droit à un enchainement Have A Cigar (version "muclées") et Wish Tou Where Here... Avec une pensée de Roger Waters, qui nous dit que cette chanson est plus que jamais pour Syd. (p'tit moment d'emotion dans le public, les gens attendaient cette chanson visiblement)
Puis la bande enchaine des titres de Pink Floyd et Waters (Entres autres un Final Cut et un Living Beyrout plus que de circonstance
. Avec une petite pensée de Waters pour eux)
Petit break de qq minutes, le temps de faire le point et de recuperer des ses emotions : Graham Broad assure toujours autant à la batterie et Dave Kilminster est un putain de tueur avec sa telecaster (un concert de pink floyd sans stratocaster, vous y croyez vous ?
) Il reste un peu plus dans le style de Gilmour (plus que Doyle Braham en tout cas) sans en faire trop. Snowy White semble en forme (difficile a dire avec lui, en tout cas, je l'ai vus sourire à un moment!) John Carin assure (et assume) à lui tout seul les parties de chant et de lapsteel de Gilmour avec brio et Andy Fairweather Low reste un peu en retrait (Dommage je l'aime bien) Les trois choristes sont vraiment excellentes (les meme que sur Waters In The Flesh).
L'equipe revient sur scene, avec un nouvel invité. Mick Nason.. ou Rick Parson.. je sais plus trop son nom.
(un vieux pote de Waters, si j'ai bien suivit. Visiblement un inconnu mais il a quand meme été sacrément applaudit par le public à l'evocation de don nom par Waters)
La nuit (sans etoiles ni lune) est totale quand commencent à retentire les battement de coeur de Talk To Me (a moins que ce n'etait les miens) le tiroir caisse, le rire hébété, le cris et...
Explosion de Lap Steel et de guitare passée au Phase 90 ! Pas de doute, c'est bien Breath ! Les gens chantent, les gents sautent, les gens sont fou, et moi aussi d'ailleur. Puis On The Run viens nous vriller les tympans suivit des cloches de Time (que je les hais, celles là...)
Ensuite une des choristes (je ne me souvient plus laquelle) vient nous crucifier sur place avec The Great Gig (qu'elle assure seule), releguant la meme prestation de Sam Brown avec Gilmour au rang de cri de hyene.
Les bruits de tiroir caisse et de piece de Money retentissent mettant la foule (et Schumi) en delire ! Petite deception : pas de solo de Fairweather Low
Les quatres derniers titre s'enchainent avec une logique musicale imparable ne faisant qu'un.
Puis le groupe s'eclipse (haha) avant les rappels.
Un bruit d'helico, un projecteur qui eclaire la foule.... (You ! Yes YOU ! )
Enchainement de Happiest Days Of Our Live et Another Brick In The Wall Part II. Public en feu et solo de Fairweather Low (enfin !).
Je commence à m'inquieter de l'absence de Confortably Numb lorque le groupe entame l'enchainement implacable : Vera (8O) le retantissant Bring The Boys Back Home et le terrifiant Confortably Numb (et son solo orgasmique) J'en ai encore des frissons. Surtout que c'etait pas la version egocentrique de Gilmour mais un duo sanglant entre Dave Kilminster et Snwoy White (Telecaster VS Les Paul
) Effets lumineux, et pyrotechnies finissent de nous achever. (deux lances flamme gigantesque digne des meilleur show de Rammstein sur le toi de la scene eclairant le ciel)
Bref en sortant de ce concert, avec mon frere, on etait unanime : j'ai préféré ce show à celui de Gilmour.
Comme je l'ai deja dit : un concert de Gilmour, on y va pour entendre Gilmour. Un concert de Waters, on y va pour entendre du Pink Floyd.
Le gros point fort de Waters c'est qu'il sait s'entourer de musiciens vraiment talentueux qu'il laisse s'exprimer plainement.
Et puis Waters à un coté plus touchant, plus proche du public. Et puis il rest fidèl aux version originales en proposant des suite de chanson qui permettent de garder la logique "Pink Floyd" (ex : Vera / Bring The Boys / Confortably Numb)