Alors le cyberpunk, c'est bien évidemment Gibson qui comme je l'ai dit me plait plus que je ne le croyais à la base.
Chez nous, notre "bien-aimé"
Dantec a fricoté avec le genre.
Quand j'essaye de définir le genre, je me rapporte toujours (comme beaucoup d'aimmeurs) à la première phrase du neuromancien : "Le ciel au-dessus du port était couleur télé calée sur un émetteur hors-service..."
L'homme est à ce point détaché de la nature que même les métaphores, la poésie si on veut, sont à base de technologie. Toutes les références possibles sont à chercher dans l'ultra-technique.
Pour ghost in the shell, son créateur n'a jamais caché ses influences gibsonniennes.
Et le neuromancie, qu'est-ce donc sinon Matrix 15 ans avant (en schématisant ). Gibson est aussi l'auteir de Johnny Mnemonic. La série Dark Angel découle aussi d'une de ses histoires.
D'autres auteurs qualifiés de cyberpunk (pas lus mais des noms) : Bruce Sterling, oh et puis on va faire plus simple :
http://www.cafardcosmique.com/(...).html