Moi-même dans un autre sujet a écrit :
Sujet du post : Bernard Werber.
J'ai lu les thanatonautes que j'avais trouvé pas mal, et terminé plutôt facilement. Je suis donc passé à la suite, intéressé que j'étais, que j'ai terminée aussi.
Mais par conscience professionnelle (profession : lecteur).
Disons qu'il en fait trop.
Je suis d'accord avec ce qui est dit, il a de bonnes idées, mais plongées dans un fouillis souvent inextricable. Enfin les thanatonautes ça se tenait, mais dans le suivant, en plus de ses règlements de compte (qui ne sont certes pas
à la Dantec) un peu lourdement amenés (le père d'une ex qui lui parlait de "vraie littérature" genre Céline et lui, beurk Céline pas bien) il y a un côté neuneu ultra qui m'a un peu refroidi.
Je ne pense pas être vraiment cynique (pour moi ce n'est pas vraiment une qualité) même si ça m'arrive. J'aime bien aussi l'angélisme parfois, ça peut passer, mais là, il a poussé le bouchon trop loin à mon goût.
@doc loco : je ne sais pas où tu en es resté dans l'empire des anges, mais j'ai un passage en tête qui m'a vraiment fait rire pour les mauvaises raisons. Je ne le révèle pas au cas où.
Et ce qui m'ennuie le plus, c'est que j'ai l'impression qu'il s'enferme là-dedans. On peut rater un livre ça arrive et ce n'est pas grave. Mais comme là ça devient son style, je bloque un peu.
Reste "Les thanatonautes" donc, et les fourmis dont je n'ai que les 100 premières pages.
J'ai la trilogie qui m'attend, je m'y replongerai, le début était intéressant.
Et puis, je suis allé sur son site, j'y ai lu le texte offert.
Et là...
J'adore la sf, mais sa croisade contre les méchants qui n'en font pas est réellement pénible par ses excès. Pourquoi ne militerait-il pas POUR quelque chose plutôt que CONTRE ?