PATRICK LARBIER a écrit :
Le libéralisme, c'est surout la possibilité donnée à des économies de connaitre des taux de croissance qu'aucun autre système ne permet. Le libéralisme s'accomode très bien d'un certain interventionisme de l'état.
Le problème la répartition des richesses que tu décris est ambigu. Que préfère t-on : que tout le monde ait 100, ou bien que 90% ait 200 et 10% ait 1000?
Le keynesianime repose sur une politique interventioniste que certains gouvernements de droite ont appliqué. J'ai indiqué un lien plus haut qui décrit le keynésianisme.
Tout l'enjeu du libéralisme, c'est de doser l'interventionisme de l'état. C'est également définir toute la protection sociale. Cette protection sociale ne peut être construite qu'avec l'accord des forces sociales. Or, la contestation sans fin des forces sociales empêche d'optimiser la protection sociale. D'où la faillite du système social, et son impact ravageur sur l'économie.
A la base, le problème, c'est quand même le manque de conciliation sur les problèmes sociaux.
Et c'est pour cette raison raison que libéraux ou pas, tous les gouvernement à venir se casseront les dents. Qu'ils aient de l'imagination, ou pas.
c'est bien le problème, je pense que l' équilibre libéral est rompu.
le libéralisme théorique : développement de l'industrie, tout le monde a du taf, je suis pour.
On avait 100, on donne 50 pour l'entreprise 50 pour les salariés, chacun donne 10 à l'état, pas de soucis... heu... c'est ma vue rapide et schématique du libéralisme.
Hors aujourd'hui, tout est dicté par les profits monstres.
Automatisation, informatique, de localisation....
Il n'y a donc plus de taf ou du moins plus pour tout le monde, c'est un constat.
J’ai travaillé 7 ans ds l'automatisme ou j'ai vu des milliers de gens qui travaillaient à la chaîne se faire remercier.
Même constat ds l'informatique (bancaire pour ma part depuis 97) ..on harmonise l'informatique pour de grand groupe bancaire. Le salarié une fois en retraite n'est pas remplacé.
Alors solution pour les chômeurs ? :
- se déplacer (l'europe ? ) mais l'état ou même les entreprises, n'aide pas suffisamment. Les barrière culturel, de langue ect.. font obstacle, ça n’arrange rien..
- se recycler : même constat, peu d’aide et certain secteur d'activité sont de toute façon bouché.
La balance libéral et complètement déséquilibrée.
Les chômeurs ne sont pas motivés. Le facteur humain de rejet du système rentre en ligne de compte dans les débats.
il faut penser autrement je pense.
Je n'ai aucune de solution à proposer, je constate c'est tout.