Pickasso a écrit :
À l'oreille, quand ça va trop vite, je me concentre sur les notes-cibles. Une fois celles-ci trouvées, il est plus facile de "remplir" entre elles, je peux jouer en même temps que le morceau et avoir des repères pour aider à mieux cerner les notes qui manquent.
je fais assez comme ça
mais limportant c le travail de l'oreille c con à ecrire et à dire mais par exemple tous les jours jecoute de la zik en rentrant du taf des morceaux que je connais pas tant qu'a faire et là je tatonne plus ou moins pr choper la grille daccord puis le solo... la grille daccord vient généralement assez vite si il n'y a pas trop denrichissement le solo je cible les notes sur lesquelles tomber et je brode autour des fois je tombe dessus des fois non mais au fur et à mesure ça vient.....
Il m'arrive meme maintenant à pouvoir identifier la grille sans avoir ma grat sous les doigts ça c cool....
J'aimerai poser une question qui me semble importante: l'auteur reconnait il d'emblée si le morceau est majeur ou mineur... Pr moi c sans doute le debut pour se forger une oreille.... PR sen rendre compte je pense que le mieux c'est decouter SA gratte genre brosser un ré majeur puis un mineur, afin de se rendre compte du caractère des accords l'un sera employé dans un contexte gai l'autre triste.... (attention on trouve des accords majeur dans des tonalités mineurs)
je ne parle pas ici de théorie mais de couleurs et je pense que reconnaitre ce type de couleur est primordial... Un morceau ecrit dans une tonalité mineure sonnera triste en majeur il sera gai en myxolydien il sera gai et celtik lydien il sera mystérieux etc etc etc ... Voilà comment g former mon oreille