Biloxide a écrit :
Pour la lotion nettoyante et nourrisante duesenberg c'est un complexe de trois huiles, lin, romarin et une autre me souviens plus, à l'application c'est très fluide, ca pénètre facilement 3 à 4 ou plus de couches en 24-48 h. Ca sent bon au début, puis ca exale le romarin, l'huile de noix et lin puis cà pue le poisson.
Ils devraient t'engager pour faire la promo du produit
Je ne sais toujours pas trop. Avec la gomme-laque je vois venir gros comme une maison l'extraction des substances allergènes par l'alcool. Tru-oil et autres, c'est le genre de trucs que je préfère appliquer avant la pose des frettes. Je crois que je vais la mettre en vente et que je réinjecterai les fonds dans la fabrication de la petite soeur de ma guitare principale :
Elle est parfaite pour ce que je fais soniquement parlant, mais ça commence à remonter à un moment et je vois quelques trucs à améliorer, notamment...le poids. Le corps fait seulement 37mm d'épais et elle pèse 4,2 kilos - entre le frêne et le floyd (500g de ferraille quand même), ça fait une guitare qu'on sent bien à la fin d'une répète de quatre heures. J'en profiterai pour augmenter un peu l'angle de la tête, qui est présentement de quatre degrés mais qui pourrait faire avec un peu plus pour augmenter la pression sur la frette zéro (7 ou 8 devraient fonctionner). Trois frettes de plus pour arriver à 24, un meilleur accès aux aigus, et peut-être une paire de mes micros JM XII :
(sur la Jazzmaster d'un pote qui n'en pouvait plus de la ronflette mais qui voulait garder un son single coil)
En attendant, ces deux-là avancent bien :
La partie menuiserie est faite sur les corps, va rester le ponçage final et la peinture. Et, bien évidemment, les manches.
Et je ne désespère pas de trouver cinq minutes pour finir la baryton fretless à quatre cordes à un moment :