Pour la 345, dont la table et le dos sont très figurés, tu as raison, je faisais effectivement allusion à sa dénomination habituelle "Walnut" (noyer) chez Gibson.
Cela dit, l'aspect et le veinage de la table (surtout) ne font vraiment pas penser à de l'érable.
D'où sans doute ma précipitation à nommer ainsi, sans arrière–pensée, le multipli.
Peut–être un effet des passages de la teinture en certains endroits qui peuvent tromper la vigilance...
Sur la mienne, la finition (chromes/dorures, bindings...sauf sur les ouïes qui en sont dépourvues) me paraît très satisfaisante par rapport à certains modèles que j'ai rencontrés, un peu plus anciens ou un tout petit peu plus récents que la mienne.
Quoi qu'il en soit, cette finition ne s'élève pas à la hauteur de la 400.
Edit :
Sur ma 345, la finition (chromes/dorures, bindings...sauf sur les ouïes qui en sont dépourvues) me paraît très satisfaisante par rapport à certains modèles que j'ai rencontrés, un peu plus anciens ou un tout petit peu plus récents que la mienne.
Quoi qu'il en soit, cette finition ne s'élève pas à la hauteur de la 400.
Pour le prix d'une Super Cat CES, un petit 50 % à 5000 €, c'est pas mal du tout.
Quand Thomann en vendait encore (ou toujours ??), c'était plus du double.
La CESN, c'est donc la finition "Natural", la grosse blonde quoi .
Gibson en produisait encore moins que de CES (ou Sunburst) et la facturait un bon cran au–dessus encore...
La fourniture en bois est déjà très belle sur les Suns ; elle est superlative sur les blondes .
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.