jeffroi a écrit :
Bon j'arrête ..
.... mais comment ce GAS s'est-il donc passé ?! on veut tout savoir ! des heures passées sur le net ? une opportunité ? le père Noël ??
En fait, c'est une assez longue histoire qui prend pied vers mi 2010. A cette époque, je me mets en tête de monter en gamme. Je revends donc toutes mes guitares pour ne garder qu'une strat Squier. A ce moment, j'étais prêt à bondir, mais malheureusement, le décès (annoncé puis réél) d'un proche fait que je lâche un peu le pied côté guitare pendant pratiquement 1 an.
Ce genre de pause fait malheureusement régresser, mais je reste actif sur le forum et je suis même promu au rang de modérateur. Que les déblatérations des trolls du forum peuvent sembler futiles lorsqu'on est au chevet d'un proche malade, c'est impresionnant.
Au premier semestre 2011, je m'y remets tout doucement constatant que j'ai de grosses lacunes, mais que finalement, je joue mieux que lorsque je jouais 2 heures par jour en 2008/2009. Tout celà est assez encourageant. Je me concentre alors plutôt sur les aspects rythmiques de mon jeu. Donc, je dirais que pour ces aspects, une strat me suffit. Je trouve même assez marrant de sonner jazz avec une gratte à 200 euros alors que beaucoup de nos camarades du forum ont l'illusion que c'est "la guitare qui fait le jazz".
Je remets en vigeur ma capacité à faire feu lorsque je trouverais la bonne occasion... puis cette semaine, cette occasion se présente enfin. Lorsque je suis arrivé dans le magasin, le vendeur avait déjà promis la guitare à quelqu'un, mais sans toutefois avoir commencé la transaction. Moi qui venait pour négocier le prix, j'étais vraiment mal barré sur ce coup là. (il y a plus de 6 mois de délai, lors d'une commande chez Gibson pour le modèle L4). J'ai reussi à convaincre le vendeur, sur le mode "un tiens vaut mieux que deux tu l'auras".
J'ai payé plein pot, mais quand on trouve ces petites merveilles, la rareté fait que la parole n'est pas vraiment dans le camp de l'acheteur, mais plutôt dans le camp du vendeur. C'est la loi du genre.
Sans rire, je suis totalement obsédé par cette gratte au point d'en rêver la nuit.