BONjour.
A l'heure qu'il est, il y a déjà des gens qui préparent le gros transporteur qui m'emmènera, ce soir, vers Coruscent...
Mais d'ici là, encore quelques heures d'Atelier dans les paysages idylliques de Naboo
lsrr666 a écrit :
Le fait de tapoter ainsi sur le manche (même si j'imagine que c'est léger) n'induit-il pas trop de contrainte sur le manche? La pièce de bois située sous le manche lors de la pause suffit à limiter ces contraintes?
Il s'agit davantage d'un emboîtement que d'une entrée en force. La fente qui accueille la frette et la frette elle-même sont préparées pour se joindre parfaitement sous une force de martèlement très basse.
La frette, effectivement, n'a nul besoin d'être "verrouillée" outre mesure : elle doit juste être intimement liée au bois pour qu'aucune vibration parasite ne puisse naître sous elle : mais sinon, toute sa vie durant, elle ne subira aucune contrainte d'arrachement - au contraire, son quotidien aura une tendance à l'enfoncer systématiquement dans son logement...
Citation:
Au niveau de la touche dépassant du manche, comment fais-tu en cas de frette "récalcitrante"? L'opération doit être encore plus délicate avec seule l'épaisseur de la touche?
Ces 9MM de touche flottante sont très solides, mais je les soutiens quand-même, tout simplement.
En fait, la partie du frettage la plus périlleuse est celle où la touche est située sur la table (de la 12ème à la 19ème frette), car il n'y a que la fine épaisseur d'épicéa et deux fines barres pour soutenir l'ensemble... marteler à cet endroit une table suspendue, surtout entre les frettes 16 et 19, serait meurtrier... il faut donc inventer toutes sortes de procédés
Bien cordialement,
Amidala
(contrôler si les cyborgs bagagistes font bien leur boulot)