Blow Up a écrit :
Pareillement, et merci, d'avoir fait (pour une fois) une
réponse courte, compréhensible et
pas trop "nombrilistrocentrée"
Et oui, il faut savoir lire. Et réfléchir.
Au moins en avoir la patience.
Savoir s'en donner la peine.
Comme s'éloigner d'une raison, en chemin, ce qui pourrait être aussi le lieu d'un forum.
Maintenant, mon nombril ?
Désolé qu'il t'ait fait chavirer en son centre.
Un vrai maelström.
À moins que la bonde de l'évier ?
Rassure–toi, en ce centre si peu, il doit y en avoir véritablement un autre de nombril, reflété en mirage, et qui t'aura pris dans ses rets.
Je te laisse deviner lequel.
Une vessie prise pour une lanterne, tu sais, ça arrive.
Mais ce n'est pas sale.
Enfin, pas comme n'importe lequel des complots.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.