Azazello a écrit :
Josh43 a écrit :
L'accumulation du capital et la baisse tendancielle du taux de profit sont théorisées par marx et non contestées par les néoclassiques.
N'importe quoi.
Josh43 a écrit :
Tu faisais toi-même remarquer il y a quelques temps sur je sais plus quel sujet que l'apparition de comportements antilibéraux et néfastes au marché chez les grands capitalistes était parfaitement prévus par la théorie.
"Certains" "très riches" ont "intérêt" à "moins de libéralisme", tout simplement, tous les mots sont important dans cette phrase.
Tu veux en conclure qu'il faut "moins de libéralisme": non sequitur.
Josh43 a écrit :
Il n'y a rien à démontrer, c'est fait depuis longtemps. L'effet néfaste des très riches sur l'économie est admis même par les libéraux.
N'importe quoi.
Josh43 a écrit :
C'est d'autant plus vrai que dans les faits, si l'on regarde comment se sont bâties les grands empires industriels et les grandes fortunes de ce monde, on se rend compte qu'elles n'ont certainement pas été acquise par des moyens "libéraux".
Donc tu en conclues qu'il faut moins de libéralisme? N'importe quoi.
Si l'absence de libéralisme permet à certains de s'enrichir illégitimement, je ne vois pas pourquoi il faudrait encore moins de libéralisme.
Si une fortune est illégitime, il faut le prouver, et ensuite indemniser le propriétaire légitime (qui n'est pas l’État la plupart du temps), aucun rapport donc avec les impôts.
Josh43 a écrit :
Il n'y a donc aucune raison de ne pas les taxer.
Non sequitur, et de toute façon on ne répare pas une injustice avec une autre injustice.
Sur ce je vais passer ma soirée au casino.
Il faut étailler..pas ininteressant, même si, encore une fois, vous êtes tous les deux ds la représentation ou expression d'une dichotomie qui, à mon avis, est contre productive: liberalisme/anti-liberalisme.
Oui, effectivement, la fortune de certains est due finalement à une excès de libéralisme (financier, juridique et économique): lorsque un marché se réduit à un oligopole (avec des belles ententes en sous-table), voire tout simplement un monopole, par le biais d'absorptions rendus possible par les déréglementations du marché financier. Bref, quand les principes des lois du marché, volontairement sans contrôle, amènent à une réduction de l'offre alors que la belle théorie du libéralisme implique une concurrence dans le soit-disant intérêt du consommateur. Quelle foutaise...Oui, le libéralisme a ses limites car il amène une forme de "communisme libéral": une offre , un marché, comme en URSS....
car finalement il prône la loi du plus fort en faisant fi de l'intérêt collectif et général et en favorisant inévitablement les conflits d'intérêts plus personnels. Attention, j'ai pas dit que le socialisme était mieux, c'est un autre genre de contre productivité...
je ne suis ni pour, ni contre, bien au contraire...