May a écrit :
J'empêche personne à soutenir le gouv en place. Je m'intérroge simplement et par la même je t'intérroge, ainsi que Ed Ved, Lalimace, Chacal, Biz, et les millions d'autres personne qui pense que les réforme budgétaires en cours sont bien faite, sur la pertinance de ces réformes et leurs impactes.
Les 1.5 milliard d'euros offerts aux restaurateurs sont une manip électorale. Ils y aura zéro emplois créés, puisque c'est tout simplement un cadeau aux restaurateurs et non un fond pour l'emploi. Quand bien même le gouvernement leur aurait imposer de créer des emplois avec cet argent, la restauration est-elle le domaine qui nécessite à l'heure actuelle une telle augmentation ?
La recherche doit certainement faire l'objet d'une réforme qui vise à la remettre sur pied. Idem pour les système sociaux qui ont besoin d'être rénové mais pas démolis.
Les problèmes rencontrés par notre société ne sont pas conjoncturels, mais structurels. Les réformes, tout utiles qu'elles soient, ne répondent qu'à une partie des problèmes (dans l'hypothèse où elles sont bien menées, ce que je n'évoque pas maintenant).
De plus, un système législatif complexe comme celui de la France est pétri de "side effects". On ne me fera pas croire que le legislateur, même de bonne volonté, peut jauger toutes les répercussions de son texte dans les profondeurs abyssales de la couche législative.
Ainsi : tu es de bonne volonté ? Tu peux pas faire un truc top. De plus, le faire prend du temps, et les gens, agacés, font jouer l'alternance.
Tu es de mauvaise volonté ou carrieriste ou ... (remplissez vous-même) ? Tu risques pas de faire mieux pour l'intérêt général que les gens de bonne volonté.
Bref, Alea Jacta Est.
SACRILEGE ! Il ne faut pas se résigner, il ne faut pas laisser le pouvoir aux fachos, etc, etc...Oui, je connais la chanson. Mais il est un constat bien clair : dans le modèle économique dans lequel on est embarqué, on ne fait pas des choix rationnels susceptibles d'insuffler une dynamique positive. On ne fait que réfrener des impulsions négatives, quels que soient leurs noms (fascisme, "conjoncture économique", etc).
Piégé par un système dont le changement a été rendu très improbable.
Yngwie forever.