A tous les enseignants, collégiens et lycéens du forum

Rappel du dernier message de la page précédente :
Perfect Tömmy
Citation:
Je crois bien me souvenir d'avoir dit à ma prof de philo que mon avis valait celui de n'importe quel philosophe, quand j'avais 17 ans Embarassed


Incorrigible punk !

Je me souviens pour ma part avoir soutenu à mon prof de philo que son cour constituait un viol caractérisé de ma conscience !

EDIT : Pour en revenir au site du collectif Sauver les Lettres, vous y apprendrez entre autre chose à quel point la baisse des horaires de français depuis 1976 est manifeste :

- en 1976, un élève qui quittait le collège avait bénéficié dans sa scolarité de 2800 heures d'enseignement du français, cela depuis son entrée au CP jusqu'à la fin de son année de 3ème

- aujourd'hui, un élève ne profite plus que de 2000 heures de français ; cette perte de 800 heures signifie qu'un élève qui quitte le collège en fin de troisième a eu autant d'heures qu'un élève de 76 qui aurait quitté le collège en cours de 5ème !

Ajoutez à cela les ravages de l'apprentissage de la lecture par la méthode globale...
Geordie boy
jazzprac a écrit :
C'est intéressant comme discussion. Juste quelques réflexions:

- j'ai lu le bouquin de Brighelli. Le titre et le ton général volontiers provoc m'ont fait penser à quelques profs de maths bourrins que j'ai eu il y a bien longtemps, mais le fonds me semble juste sur beaucoup de points. Il est utile de rappeler de temps à autre qu'apprendre demande un peu de travail. Peut-être l'éducation nationale devrait-elle choisir entre " je transmets des connaissances" et "j'éveille".

- une réflexion s'impose sur la notion d'élitisme. Le fait de niveler par le bas, comme le dit plus ou moins Brighelli, est aussi une forme d'élitisme pervers, puisque seuls émergent ceux qui ont les moyens, l'entourage et le contexte culturel pour apprendre ailleurs qu'à l'école.

- j'ai passé le bac en 1977. Mon sentiment est que c'était...beaucoup plus facile qu'aujourd'hui. Je ne me souviens pas de m'être épuisé en stress et en révisions. Je n'ai pas le sentiment non plus d'un contenu global plus riche ou plus intéressant. Je me souviens en revanche d'avoir compris très tôt que je pouvais apprendre et comprendre mieux, plus vite et de manière plus large en lisant beaucoup, en cherchant moi-même, en lisant la presse, qu'à l'école. Ce n'était pas vrai de toutes les matières, évidemment: je suis une quiche en maths, ce que je regrette aujourd'hui parce que je suis sincèrement convaincu d'être passé à côté de quelque chose de passionnant. Mais aucun prof ne m'a aidé, autrement que par des conseils du genre " t'as qu'à faire des exercices pour que ça rentre".

- Enfin, il me semble qu'une des caractéristiques de l'époque, c'est de considérer que tout est égal à tout. On considère que BHL est un philosophe, que Céline Dion est une chanteuse et Marc levy un écrivain. Il me semble normal que cette vision des choses se retrouve à l'école. Je n'ai pas l'impression d'être élitiste en disant cela: c'est un simple constat.


Allright !
Geordie boy
Perfect Tommy a écrit :
Citation:
Je crois bien me souvenir d'avoir dit à ma prof de philo que mon avis valait celui de n'importe quel philosophe, quand j'avais 17 ans Embarassed


Incorrigible punk !

Je me souviens pour ma part avoir soutenu à mon prof de philo que son cour constituait un viol caractérisé de ma conscience !

EDIT : Pour en revenir au site du collectif Sauver les Lettres, vous y apprendrez entre autre chose à quel point la baisse des horaires de français depuis 1976 est manifeste :

- en 1976, un élève qui quittait le collège avait bénéficié dans sa scolarité de 2800 heures d'enseignement du français, cela depuis son entrée au CP jusqu'à la fin de son année de 3ème

- aujourd'hui, un élève ne profite plus que de 2000 heures de français ; cette perte de 800 heures signifie qu'un élève qui quitte le collège en fin de troisième a eu autant d'heures qu'un élève de 76 qui aurait quitté le collège en cours de 5ème !

Ajoutez à cela les ravages de l'apprentissage de la lecture par la méthode globale...


Méthode remise en cause dernièrement par une charmante instit' (fichtre bannir ce mot, mais dire professeur des écoles ...), dont j'ai oublié le nom. Elle est passée au journal de 13h00 de Fance inter il y a une 15aine de jours. Si vous avez son nom......
Perfect Tömmy
Argh je ne me souviens plus de son nom ! Mais elle est effectivement passée un matin sur France Inter dernièrement...

Personnellement, je ne suis pas favorable à la méthode globale qui a mon sens n'est pas adaptée à une langue comme le français. En revanche, je pense que le véritable problème vient du fait que le ministère, les inspecteurs, etc., imposent des méthodes pédagogiques plutôt que de laisser les enseigants libres de choisir la ou les méthodes qu'ils entendent employer avec leurs élèves...

Si un instituteur obtient d'excellents résultats avec la méthode globale, il devrait avoir la liberté de l'utiliser, de même pour celui qui n'obtient des résultats similaires qu'avec la méthode syllabique...

Je pense que Robien a fait une erreur symbolique en interdisant la méthode globale. Il aurait mieux fait de réaffirmer par décret la liberté pédagogique pour tout enseignant : cela aurait eu le mérite de libérer les initiatives et donc de vraiment comparer le bien fondée de telle méthode avec telle autre...

Le professeur est supposé bénéficier de cette liberté pédagogique, mais ce n'est qu'un leurre... Les professeurs de français sont par exempe obligés d'enseigner par séquence : chaque séquence mélange pêle-mêle les études de texte, la grammaire, l'orthographe, la conjugaison, etc... Ainsi le cours idéal serait une séance d'une heure durant laquelle un texte est étudié et auquel on greffe une notion de grammaire, un point de conjugaison, un rappel d'orthographe...

En effet, le fait d'étudier la proposition subordonnée grâce à un poème est censé faire comprendre cette notions aux élèves ; autant dire que ce genre de subtilité pédagogique passe largement au-dessus de la tête des élèves !

Résultat : les élèves sont perdus, ne font plus la différence entre les leçons, ne pigent rien à la séquence étudiée (je viens de terminer une séquence sur les philosophes des Lumières en 4ème : mes élèves étaient incapables de me rappeler le thème de cette séquence lors de la dernière leçon, incapables de lier entre eux les textes et les notions de langue étudiés !),etc...

Ainsi, si un inspecteur vient me visiter et qu'il constate en contrôlant le classeur d 'un élève que je sépare les études de texte des leçons de grammaire (en gros, si je demande à mes élèves de les ranger dans des interclaires différents pour mieux s'y retrouver !), je risque de me faire incendier dans son rapport, peu importe que mes élèves aient grâce à ma méthode réellement acquis les notions de langue étudiées en classe...

Les professeurs ne sont donc pas censés parvenir à enseigner leurs élèves pour être bien notés par les inspecteurs mais correspondre à un formatage pédagogique.

La seule solution pour un professeur du secondaire d'avoir la paix : être agrégé. Je me souviens d'une collègue qui m'avait raconté l'anecdote suivante. Elle avait subi une inspection alors qu'elle était certifée : son inspecteur avait démoli sa séance, n'y trouvant que des erreurs de pédagogie. Devenue, agrégée, elle a reçu la visite de son inspecteur quelques années plus tard, et s'est fait un malin plaisr de ressortir le même cours, et de produire la même leçon que celle de la première inspection : elle reçoit alors les louanges les plus obséquieuses du même inspecteur, et voit son cours qualifié d'exemple parfait d'innovation pédagogique...
clarissep
Perfect Tommy a écrit :

Ainsi, si un inspecteur vient me visiter et qu'il constate en contrôlant le classeur d 'un élève que je sépare les études de texte des leçons de grammaire (en gros, si je demande à mes élèves de les ranger dans des interclaires différents pour eiux s'y retrouver !), je risque de me faire incendier dans son rapport, peu importe que mes élèves aient grâce à ma méthode réellement acquis les notions de langue étudiées en classe...


C'est stupide, je trouve. Le principal est le résultat que tu obtients. Si cela marche...
Décidement, du grand n'importe QUOI...Un peu du style, la règle est la règle mais si celle-ci est à côté de la plaque. De robots, voilà ce que l'on nous demande de devenir, pas de réfléchir.
Geordie boy
C'est pour tout cela que je n'ai pas poursuivi mon apprentissage à l'IUFM... Je me destinais à l'enseignement des lettres (CAPES raté 2 fois à l'oral au passage), mais quand j'ai vu les absurdités encensées lors de mes cours d'IUFM, je ne me voyais plus du tout jouer le rôle du bon petit professeur qui reproduit ce qu'on lui inculque. Esprit rebel, absurde et infantile, mais tant pis. En fait la seule fois où j'ai vraiment pris mon pied en enseignant, c'est quand j'étais prof de langue française en face de jeunes étudiants étrangers. J'avais la liberté, et des regards vivants devant moi.
Perfect Tömmy
Voilà bien pourquoi je songe désormais à trouver des moyens pédagogiques pratiques pour enseigner de la manière qui me paraît la meilleure, tout en pouvant dissimuler tout ça sous un couvert de respect des mots d'ordre, au cas où un inspecteur se souvient de moi !

Je considère de plus en plus ma salle de classe comme un lieu de résistance...
Geordie boy
Hé hé..vous possédez la ruse d'Ulysse, très cher !



Mais dis donc, en passant, Groland du haut, c'est pas la patrie d'Arthur ?
Perfect Tömmy
De plus mon nom est Personne...

En effet, je vis à Charleville, à 300 mètres du lieu où repose l'Homme aux Semelles de Vent...

C'est marrant quand j'y pense... Rimbaud a été pour moi le premier auteur-passion de ma vie, je ne jurais que par lui lorque j'étais ado... Si on m'avait dit que je serais plus tard titularisé professeur dans sa région et amené à vivre près de sa sainte dépouille...

Plus je connais les Ardennes, et plus je comprends les raisons qui lui ont fait préférer les déserts d'Abyssinie ! :mdr:
clarissep
Perfect Tommy a écrit :
Voilà bien pourquoi je songe désormais à trouver des moyens pédagogiques pratiques pour enseigner de la manière qui me paraît la meilleure, tout en pouvant dissimuler tout ça sous un couvert de respect des mots d'ordre, au cas où un inspecteur se souvient de moi !

Je considère de plus en plus ma salle de classe comme un lieu de résistance...


Papy fait de la résistance
Tu as raison, continues comme ça...
lemg
  • lemg
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  • #250
  • Publié par
    lemg
    le 29 Janv 2006, 14:25
Je voulais dire une chose, Céline Dion est une chanteuse.
Techniquement parlant c'est indéniable, elle chante.
Bien, ça c'est une autre histoire.

Quant aux deux autres, euh... bah... joker.
flomarceau
Geordie boy a écrit :
Perfect Tommy a écrit :
Citation:
Je crois bien me souvenir d'avoir dit à ma prof de philo que mon avis valait celui de n'importe quel philosophe, quand j'avais 17 ans Embarassed


Incorrigible punk !

Je me souviens pour ma part avoir soutenu à mon prof de philo que son cour constituait un viol caractérisé de ma conscience !

EDIT : Pour en revenir au site du collectif Sauver les Lettres, vous y apprendrez entre autre chose à quel point la baisse des horaires de français depuis 1976 est manifeste :

- en 1976, un élève qui quittait le collège avait bénéficié dans sa scolarité de 2800 heures d'enseignement du français, cela depuis son entrée au CP jusqu'à la fin de son année de 3ème

- aujourd'hui, un élève ne profite plus que de 2000 heures de français ; cette perte de 800 heures signifie qu'un élève qui quitte le collège en fin de troisième a eu autant d'heures qu'un élève de 76 qui aurait quitté le collège en cours de 5ème !

Ajoutez à cela les ravages de l'apprentissage de la lecture par la méthode globale...


Méthode remise en cause dernièrement par une charmante instit' (fichtre bannir ce mot, mais dire professeur des écoles ...), dont j'ai oublié le nom. Elle est passée au journal de 13h00 de Fance inter il y a une 15aine de jours. Si vous avez son nom......


Rachel Boutonnet, charmante collègue.

Pour ce qui est de l'apprentissage de la lecture, hem, si je puis me re re re re re re permettre, la méthode globale à été abandonnée par des milliers de profs (dissidents) en 1986, ce qui correspondait à 99.99% des profs cette année là.

Maintenant, il est vrai qu'on ne privilègie à mon sens pas assez le déchiffrage dès le début de l'apprentissage de la lecture au profit du grand mot "construire le sens".

Mais c'est là qu'on oublie une chose : l'apprentissage de la lecture ne peut se défaire de l'envirronement de l'élève. Alors avant d'accuser une méthode et les profs, demandons nous aussi :

- quelle est la place de la lecture chez l'élève ?
- a t'il des livres ?
- lui présente t'on la lecture comme quelque chose de rébarbatif ?
- Lit il, le fait on lire en dehors du contexte scolaire ?

Personnellement, j'ai appris à lire suivant une méthode dite semi globale, c'est à dire que j'apprenais le déchiffrage et en même temps des mots par coeur, comme "c'est" qui est très important, et ne peux être appris que par coeur, parce qu'en déchiffrage, ca donne SESTE. Bref, tout ca pour dire que jamais je n'ai eu de problème avec la construction de sens, tout simplement, quand je ne comprenais pas, je demandais à un adulte, ou si il y avait des images je m'y réfèrais. Maintenant, on a un peu tendance à penser dans les arcanes IUFMesques que le prof devrait s'effacer !!!
"she said I'll throw myself away..."
flomarceau
clarissep a écrit :
Perfect Tommy a écrit :

Ainsi, si un inspecteur vient me visiter et qu'il constate en contrôlant le classeur d 'un élève que je sépare les études de texte des leçons de grammaire (en gros, si je demande à mes élèves de les ranger dans des interclaires différents pour eiux s'y retrouver !), je risque de me faire incendier dans son rapport, peu importe que mes élèves aient grâce à ma méthode réellement acquis les notions de langue étudiées en classe...


C'est stupide, je trouve. Le principal est le résultat que tu obtients. Si cela marche...
Décidement, du grand n'importe QUOI...Un peu du style, la règle est la règle mais si celle-ci est à côté de la plaque. De robots, voilà ce que l'on nous demande de devenir, pas de réfléchir.


Ah mais ya encore plus drôle avec les inspecteurs et l'IUFM.

Ton inspectrice se pointe dans ta classe un jour de pluie, les mômes ne sont pas sortis, ils sont surexcités, tu finis par devoir gueuler et leur faire un cours magistral pour garder le calme dans la classe.

Et ben tu te fais incendier dans le rapport, parce que tu fais l'école comme dans les années 50 !!!

Quid de la prise en compte des conditions climatiques ? Quid du fait que l'inspectrice ne disent bonjour ni à l'équipe pédagogique ni aux élèves ? Rien, quedalle, pet de lapin

Par contre, en gros, c'est marqué que tes méthodes d'apprentissages n'apprennent rien aux élèves... (wé wé, c'est çà... et les corpus qu'ils ont pu établir les jours plus calmes, non ca ils ont rien fait...).

C'est marrant cette propension qu'on certains inspecteurs à décider que ce qui se passe un après-midi est la réalité constante de ta classe...
"she said I'll throw myself away..."
De grâce !
flomarceau a écrit :
clarissep a écrit :
Perfect Tommy a écrit :

Ainsi, si un inspecteur vient me visiter et qu'il constate en contrôlant le classeur d 'un élève que je sépare les études de texte des leçons de grammaire (en gros, si je demande à mes élèves de les ranger dans des interclaires différents pour eiux s'y retrouver !), je risque de me faire incendier dans son rapport, peu importe que mes élèves aient grâce à ma méthode réellement acquis les notions de langue étudiées en classe...


C'est stupide, je trouve. Le principal est le résultat que tu obtients. Si cela marche...
Décidement, du grand n'importe QUOI...Un peu du style, la règle est la règle mais si celle-ci est à côté de la plaque. De robots, voilà ce que l'on nous demande de devenir, pas de réfléchir.


Ah mais ya encore plus drôle avec les inspecteurs et l'IUFM.

Ton inspectrice se pointe dans ta classe un jour de pluie, les mômes ne sont pas sortis, ils sont surexcités, tu finis par devoir gueuler et leur faire un cours magistral pour garder le calme dans la classe.

Et ben tu te fais incendier dans le rapport, parce que tu fais l'école comme dans les années 50 !!!

Quid de la prise en compte des conditions climatiques ? Quid du fait que l'inspectrice ne disent bonjour ni à l'équipe pédagogique ni aux élèves ? Rien, quedalle, pet de lapin

Par contre, en gros, c'est marqué que tes méthodes d'apprentissages n'apprennent rien aux élèves... (wé wé, c'est çà... et les corpus qu'ils ont pu établir les jours plus calmes, non ca ils ont rien fait...).

C'est marrant cette propension qu'on certains inspecteurs à décider que ce qui se passe un après-midi est la réalité constante de ta classe...


'Me rappelle une inspection qu'on a eue en hypokhâgne...
Notre prof de lettres était à peu près fou. Presque la quarantaine, premier à l'agrégation de lettres, maîtrises de sociologie, d'ethnologie et de psychologie. Bref.

Ce type nous faisait des cours du genre complètement ésotériques. Pour ceux qui connaissent les grandes envolées à la Kristeva, ou à la François Rigolot... etc. On avait "la route des Flandres", de Claude Simon, au programme, si vous voyez...
Bref, des grandes envolées, des trucs incompréhensibles...
Un jour, un inspecteur arrive, et vlan : on fait un texte de Freud, cours parfait. Introduction collective, 3 parties qui tombent sous le sens...
COURS PARFAIT. 4 lèche-cul qui servent sa majesté, et le tour est joué. L'inspecteur nous félicite ainsi que le prof, classe brillante.
Le lendemain, il reprend ses cours de merde.



En khâgne trois élèves ont cessé de suivre ses cours... et... ont intégré l'ENS Lyon. Voilà.
" Raphaël" 5e vendeur de disques en 2005. Pauvre France.
Perfect Tömmy
Edifiant... J'ai connu quelque chose de similaire avec mon prof de philo (celui qui violait ma conscience...) qui a passé l'année à dicter son cours de manière monocorde, à l'eception du jour de son inspection, durant lequel nous avons eu droit à une heure de discussion philosophique dans la plus pure tradition socratique... L'inspecteur était ravi... Nous avons repris la dictée dès son départ...

De Grâce, je vois que tu es localisé à Strasbourg. Etais-tu en prépa à Fustel ?
Cactus.
  • Cactus.
  • Special Supra utilisateur
Perfect Tommy a écrit :

Ainsi, si un inspecteur vient me visiter et qu'il constate en contrôlant le classeur d 'un élève que je sépare les études de texte des leçons de grammaire (en gros, si je demande à mes élèves de les ranger dans des interclaires différents pour eiux s'y retrouver !), je risque de me faire incendier dans son rapport, peu importe que mes élèves aient grâce à ma méthode réellement acquis les notions de langue étudiées en classe...




C'est completement con ca....J'avais pas que c'était comme ca L'inspection
Ouais !

En ce moment sur backstage...