Oh là là, on se détend. J’espère que ce n'est pas moi qui suis visé.
Pour avoir osé maintenir une analyse différente de celle de skynet, je prends le risque d’être classé dans la catégorie "juste stupide. du niveau de Donald Trump! "
jeffrey06 quand à lui, me trouve pathétique et au lieu de s'adresser directement à moi, il tente de me rabaisser en disant:
Citation:
Là y en a un, on sait pas d'où il sort et c'est Zigmout qui se fait "contrer"... Heureusement que je suis assis !!!
Ce n'est pas parce que tu t'autoproclames professeur que tu incarnes la vérité absolue et définitive. Le monde de l'enseignement musical est rempli d'escrocs, de bonimenteurs d' imposteurs... en particulier sur internet.
Si j'étais susceptible je dirais que c'est plutôt skynet et jeffrey06 qui n'ont pas été particulièrement respectueux à mon égard dans leurs derniers messages. Mais je n'ai pas relevé. J'ai préféré continuer en essayant d'argumenter factuellement. Et je repose ma question à skynet: Est ce que basse, fondamentale et tonique sont pour toi la même chose? Si ta réponse est oui, tu es objectivement dans l'erreur.
Pour répondre plus spécifiquement à skynet:
skynet a écrit :
Le langage doit être compréhensible par tout le monde. Le musicien lecteur doit pouvoir le décrypter à vue, sans effort inutile.
Si le message est compréhensible, alors nul besoin de le décrypter... Encore une confusion sémantique, mais passons, j'ai compris l’idée.
La plupart des dictionnaires français estiment le nombre de mots de vocabulaire à environ 60 000. Certaines estimations jugent que 10% de la population (la plus précaire) ne maîtriserait que 400 à 500 mots. A titre de comparaison, il aura nécessité pas moins de 1300 mots à Racine pour écrire Andromaque ! Vous voyez ou je veux en venir? Un vocabulaire pauvre vous exclu et vous emprisonne sur le plan créatif, artistique et intellectuel.
De manière encore plus prosaïque on pourrait prendre l'exemple de la lecture à vue versus le déchiffrage d'une partition. Si vous savez lire la clef d'Ut, mais pas la clef de Fa et si vous pensez qu'une blanche égale 2 noires mais que vous ne savez pas ce que 6/8 implique au niveau rythmique sur une partition... Dès lors vous serez dans l’embarras si quelqu’un vous tend une partition un peu plus complexe que "Au clair de la lune".
La maitrise du vocabulaire (riche et précis) appliqué à la théorie musicale et aux concepts harmoniques peut être parfaitement superflue pour certains musiciens/artistes/performers.
Cela s’avère en revanche indispensable pour celui qui prétend faire de l'analyse et du commentaire musicale. Si vous ne maitrisez pas les conventions conceptuelles contemporaines de la musique occidentale, vous ne pourrez pas articuler efficacement votre pensée et votre raisonnement. C'est un fait. Comment commenter un match de rugby si vous connaissez mal les règles et confondez "drop" et "essai".
Si vous estimez que je fais de l'harmonie quantique, ne prenez pas le risque d'ouvrir un manuel d'analyse harmonique et tonale utilisé dans les écoles de musique ou les conservatoires... vous allez halluciner.