Je ne comprends pas l'intérêt d'une courbe d'impédance.
En théorie l'impédance (complexe) c'est la fonction de transfert du système donc ce qui transforme une impulsion (dirac) en réponse impulsionnelle (IR) ?
Donc en fait ça me parait une information redondante avec celle de l'IR.
Je suis loin d'avoir tout compris, donc je m'aventure dans une explication que je ne maîtrise pas 100%. D'abord, important: on parle d'IR tiers.
Ces IR tiers ont été produites "sans" *** courbe d'impédance, sur des amplis à transistor. La raison est que certains modeleurs ont cette courbe modélisée dans le bloc ampli de puissance: cela permet de mieux modéliser l'interaction de l'ampli et du haut-parleur, avec un effet sur l'écrétage de l'ampli de puissance. Donc il vaut mieux ne pas produire des IR avec cette courbe d'impédance, si on veut qu'elles servent sur n'importe quel ampli.....
J'ai un peu de mal à comprendre mais je fais peut-être une erreur de base. On parle de modélisation de l'impédance du baffle ou de l'impédance de sortie de l'ampli (d'après ce que tu as écrit je pencherais presque pour la deuxième).
Bon désolé là ça concerne un peu plus la théorie électronique que la techno des constructeurs de matos.
Je ne comprends pas l'intérêt d'une courbe d'impédance.
En théorie l'impédance (complexe) c'est la fonction de transfert du système donc ce qui transforme une impulsion (dirac) en réponse impulsionnelle (IR) ?
Donc en fait ça me parait une information redondante avec celle de l'IR.
Je suis loin d'avoir tout compris, donc je m'aventure dans une explication que je ne maîtrise pas 100%. D'abord, important: on parle d'IR tiers.
Ces IR tiers ont été produites "sans" *** courbe d'impédance, sur des amplis à transistor. La raison est que certains modeleurs ont cette courbe modélisée dans le bloc ampli de puissance: cela permet de mieux modéliser l'interaction de l'ampli et du haut-parleur, avec un effet sur l'écrétage de l'ampli de puissance. Donc il vaut mieux ne pas produire des IR avec cette courbe d'impédance, si on veut qu'elles servent sur n'importe quel ampli.....
J'ai un peu de mal à comprendre mais je fais peut-être une erreur de base. On parle de modélisation de l'impédance du baffle ou de l'impédance de sortie de l'ampli (d'après ce que tu as écrit je pencherais presque pour la deuxième).
Bon désolé là ça concerne un peu plus la théorie électronique que la techno des constructeurs de matos.
Il s'agit de l'impédance du haut-parleur connecté, mais le fait est que, sur un ampli à lampe il y a une interaction totale avec l'ampli de puissance: tu modifies le comportement de l'ampli de puissance en fonction du haut-parleur. En tant que fabriquant d'IRs, tu ne veux pas ajouter cette interaction, car tu veux que tes IRs puissent être ajoutés sur différents amplis, dont le comportement est déjà altéré mais différemment, ou pas altéré par cette courbe d'impédance. Donc tu produits des IR sans l'altération de cette courbe d'impédance, et c'est à l'utilisateur final de l'ajouter, en fonction de l'ampli utilisé.
Ce qui explique le débat: modéliser la courbe d'impédance dans le bloc ampli ou dans le bloc IR.