Adam Bopel a écrit :
Et au niveau de la jouabilité et du confort de manche ?
Cela dépend aussi de la taille du guitariste : le pouce supplémentaire en
lower bout pour la Super 400 ne favorise pas trop les petits bras...
Les 17 pouces d’une L5 prennent déjà pas mal de place.
Les deux guitares ont, depuis longtemps je crois, le même diapason et la même profondeur (25’5 et 3’35).
En revanche, la différence de hauteur (voir, par exemple, la tête "démesurée" de la Super 400) est très sensible et doit également changer la position de manière assez significative, selon les individus.
Voici trois clichés de Gibson-prewar.com qui permettent de se faire une idée générale assez exacte des tailles respectives (je ne suis pas sûr que la différence d’angle de renversement soit encore d’actualité, mais je ne connais pas très très bien les L5)...
Les tailpieces différents ont, selon certains, une incidence notable sur le son tant acoustique qu’électrique...
Les 400 sont un poil plus chargées en low-mids et basses profondes, limite growl, comme on dit chez les bassistes.
Cela s’entend assez bien en acoustique.
En électrique... mouais, peut-être aussi...
Enfin, en général, la 400 est encore un peu plus sensible au larsen/feed-back que ses "petites" sœurs de 17 pouces (L5-grand diapason ou Byrdland, tout petit diapason, un iota moins de 600mm).
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.