JayBea a écrit :
rapideyemove a écrit :
Les Thomastik BeBop t’ont également retenu dans leurs filets ?
En
BB113, outre la Super 400 principalement, je commence à utiliser aussi les BeBop en tirants plus légers (et un Sol plein, cette fois-ci) avec les Solid Bodies :
les
BB111 (.011- .015- .019p- .026- .034- .047), ou les
BB112 (.012- .016- .020p- .028- .036- .050).
Oui, je met ça sur ma Tele (et à priori sur 335), avec un sol plein, en 11 (12 pour la 335 je pense).
Et jazz, je préfère les plats, mais déjà, quelle dynamique. Je ne joue que branché aussi, je n'ai pas de guitare très acoustique.
En tout cas, une fois qu'on y a gouté.... !
C’est vrai qu’avec une Super 400, il serait dommage de ne pas jouer "acoustique", de temps en temps, pour profiter du son d’une vraie archtop handcarved ; c’est ma routine, mon rituel, même si les deux vieux HumB de la mienne sonnent aussi comme des cathédrales.
Ces Viennoises sont très bonnes dans cette situation ; en électrique c’est encore au moins un bon cran au-dessus, pas très loin du paradis ou de l’Olympe.
Même si les Thom BeBop ne sont pas, que je sache, des cordes spécifiquement étudiées pour les acoustiques.
De toute façon, je suis "allergique" aux filets plats.
Et cela doit faire pas loin de quinze bonnes années que je joue ces Thom.
Comme je le signalais un peu plus haut, depuis plusieurs mois déjà, je fais comme toi sur les Tele et la Les Paul équipées dorénavant en Thom BeBop 111 et 112.
Ma réticence c’est pour la Strat : j’aime sans retenue le Sol filé avec celle-ci ; or le 1° jeu en Sol filé chez Thom BeBop, c’est le BB 113, soit du .013 – .053, ce qui fait très gros, je trouve, pour une Strat qui entend bien garder son vibrato et qui est accordée standard en A-442. Enfin, Thomastik ne vend pas de cordes au détail à ce que je sais.
La Strat reste donc pour l’instant avec ses D’Addario 11–50 en Sol filé.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.