Sexy, yes, pis ça sent bon le vernis, c' est legèrement moite et collant ....hummmm.
Coté son, ben là elle est branchée sur un minable petit transistor de poche au boulot, donc difficile à dire mais sent déjà le volcan qui couve.
Ce qui est sûr c' est que la moindre variation dans l' attaque des cordes est restituée. Ça réagit et ça vit. La grosse frappe. Selon que l' on tape les cordes ou qu' on les caresses, on change de planète. Un autre monde ?
De même les potards sont redoutablement éfficaces.
Celui de tonalité passe à l' aise d' un son sourd et étouffé à un son clair et claquant. C' est pas une strat non plus. En fait, c' est lui le selecteur de micro.
Pour le volume et le saturé, je verrai ce soir avec les lampes à la maison
Sinon, la ronflette du P90 n' est pas une légende surtout içi où je suis entouré d' appareils électriques.
Le truc déroutant au début, c' est le manche qui donne la sensation d' être excentré et emmène la main gauche loin du corps. Une gratte d' auto-stoppeur en somme. On the road.
D' autant qu' elle est ultra fine et legère.
Le confort est extra avec ce chevalet sans angle acéré où la main vient naturellement réposé.
Pour la main gauche, pareil. Si la largeur du manche fait bizarre au départ, après quelques minutes on trouve ses repères. Moi qui ai des petits doigts, je trouve que le manche tombe parfaitement dans la paume. L accès au aigüe est nickel.
Niveau finition, RAS bien qu' un petit passage chez le luthier pour un réglage s' impose.
La housse moumoute est épaisse, rembourée à souhait.
Bon, tout cela est à prendre avec des pincettes. Vu que c'est ma première guitare de ce type, et mon piètre niveau.
...
C' est en sciant que Leonard devint scie.