Oui, c'est bien cela, alors que Ian Curtis était encore de ce monde.
Aux Bains, 1979, une semaine avant Xmas, en début de semaine, je crois.
Qu'y ai-je vu ?
La plupart des machines du "moment" (disons entre 83 et le tout début des 90's ),
New Order, bien sûr ; les
Pale Fountains.
Puis les
Stone Roses, les
Happy Mondays (ah, Bez sur scène !).
Un très beau et presque tardif concert d'
Echo and the Bunnymen (tiens encore Echo et sa nymphe ressassée, répétée, Hall of mirrors ou palais des glaces) ; les Berlinois d'
Einstürzende Neubauten.
Je crois que c'est là que j'ai vu un petit groupe de Factory que j'aimais beaucoup, même s'ils n'étaient peut-être pas férocement originaux, les
Stockholm Monsters.
Il me semble bien y avoir aussi entendu, au moins une fois, une admiration sans doute pas seulement personnelle (j'espère), le grand
Pete Shelley, période solo, entre deux albums de chevet,
XL1 et
Heaven and the Sea...
Oui, c'était un petit tour de mémoire, bricolé rapide.
Après, ça va être la remontée des cendres, tous les noms plus ou moins évidents que j'ai ici oubliés, pas déterrés.
Sauf un, je n'ai jamais vu Oasis, ici ou ailleurs...
Pour les "toilettes", oui c'était bien cela, pas moins,
my belly still aches .
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.