[20/08] Rage against the machine @ Rock en seine

Rappel du dernier message de la page précédente :
Neorossi
Ca va, de ce côté là j'ai eu de la chance j'ai pas eu de mecs bourrés dans mon coin (pas comme aux Vieilles Charrues où j'en ai eu 3 ou 4 pour le prix d'un...) .
Shine On You Crazy Diamond...
Jimmy W
Je me suis rarement autant emmerdé à un concert, mais avant que la populace ne me lynche, laissez moi le temps d'écrire une vraie review
"I'm a rock'n'roll clown, I do a lot of cocaine"
Dr Rockzo.
Neorossi
* Prépare les tomates * (J'suis sympa quand même, je ne prends que des tomates ).


Shine On You Crazy Diamond...
Jimmy W
J'suis juif, j'ai l'habitude du pogrom, amène l'huile de lin

Voici le report :

Comment ça a pu merder ?

J'avais des étoiles dans les yeux. Si, si, je vous jure, j'étais vraiment heureux de voir Rage Against The Machine (prononcez "ratmeuh" ou "wèdge") en concert ! J'avais bataillé comme un fou pour obtenir une place pour Bercy, que j'ai dû revendre, victime du malheur.

Comme tout bon fan, je me presse donc au Domaine National de St Cloud, vers 19h, afin d'éviter les immondes Lostprophets (que j'ai dû subir l'année passée à Reading, contre mon plein gré) et leur chanteur geignard. Passage de la sécurité, on fouille. Oh, tiens, on me confisque mon appareil photo. Première déception. Faut croire que nos amis de la liberté aiment bien contrôler leur image. Je passe devant le stand merchandising, et là, stupeur : 30€ pour un misérable t-shirt (60 pour la version "maillot de foot", ils doivent haïr les beaufs pour vouloir les faire raquer à ce point !). Ça fait cher, tout de même, pour nos amis de l'étoile.

J'arrive alors sur les lieux du concert avant de me retrouver non pas à un concert de metal (je croyais, pourtant), mais à une annexe de manifestation estudiantine : d'ignobles hippies torse nus allongés dans l'herbe, saoûls comme des polonais, probablement depuis la veille.

Je jette une oreille distraite à Mix Master Mike pour me rendre compte que c'est terriblement bruyant (pas ça qui me fera découvrir les Beastie Boys en tout cas), et je me place près de la scène pour la bande de Zack.

Au bout d'un temps qui parait interminable, ils arrivent enfin, en tenue de prisonniers, cagoulés, et jouent ainsi Bombtrack. Du show, de l'énergie, ça s'annonce bien.

Si ce n'est évidemment le public aviné qui considère qu'à un concert de "roque", on est obligé de se rentrer dedans très fort et de comprimer l'espace autour. J'en frapperai d'ailleurs un qui ne trouvera pas ça drôle du tout de se prendre une botte dans le bide. Pourtant ça avait l'air de le faire marrer de donner des coups de coude alentour...

Cagoules enlevées, Zack nous gratifie de l'éternel "We're Rage Against The Machine from Los Angeles, California". Ce sera la seule fois où il s'adressera au public, se désintéressant de lui dès la dernière syllabe sortie de sa bouche. Mais s'y est-il vraiment intéressé ? Cette reformation miraculeuse a-t-elle à un seul moment intéressé le "groupe" ? Car je n'ai pas vraiment eu l'impression de voir un vrai groupe sur scène ce soir, mais plutôt des musiciens, ensemble, qui jouent les mêmes morceaux simultanément, avec un entrain feint avec excellence. Ils éviteront par ailleurs de regarder leur public (vous savez, les gens qui raquent le prix d'une semaine de courses pour aller les voir) ou même de se regarder (des choses qui arrivent parfois entre groupe, la complicité, etc). Les morceaux s'enchainent à la vitesse de l'éclair, sans grand entrain, jouant la musique à la note près, sans improvisation. Un show millimétré qui laisse donc un arrière goût amer. Ils s'en vont après une heure vingt-huit de concert (si ils ont commencé à l'heure), me laissant déçu par mes idoles.

C'est très bien de vouloir amener la Politique et la Révolte sur scène, mais ce serait bien de leur part d'y convier aussi la musique.

(Et, mais je pinaille, de passer en France la version ORIGINALE -donc en Français- de l'Internationale)

-Jo-
"I'm a rock'n'roll clown, I do a lot of cocaine"
Dr Rockzo.
totoleboss
Paintkiller a écrit :
J'suis juif, j'ai l'habitude du pogrom, amène l'huile de lin

Voici le report :

Comment ça a pu merder ?

J'avais des étoiles dans les yeux. Si, si, je vous jure, j'étais vraiment heureux de voir Rage Against The Machine (prononcez "ratmeuh" ou "wèdge") en concert ! J'avais bataillé comme un fou pour obtenir une place pour Bercy, que j'ai dû revendre, victime du malheur.

Comme tout bon fan, je me presse donc au Domaine National de St Cloud, vers 19h, afin d'éviter les immondes Lostprophets (que j'ai dû subir l'année passée à Reading, contre mon plein gré) et leur chanteur geignard. Passage de la sécurité, on fouille. Oh, tiens, on me confisque mon appareil photo. Première déception. Faut croire que nos amis de la liberté aiment bien contrôler leur image. Je passe devant le stand merchandising, et là, stupeur : 30€ pour un misérable t-shirt (60 pour la version "maillot de foot", ils doivent haïr les beaufs pour vouloir les faire raquer à ce point !). Ça fait cher, tout de même, pour nos amis de l'étoile.

J'arrive alors sur les lieux du concert avant de me retrouver non pas à un concert de metal (je croyais, pourtant), mais à une annexe de manifestation estudiantine : d'ignobles hippies torse nus allongés dans l'herbe, saoûls comme des polonais, probablement depuis la veille.

Je jette une oreille distraite à Mix Master Mike pour me rendre compte que c'est terriblement bruyant (pas ça qui me fera découvrir les Beastie Boys en tout cas), et je me place près de la scène pour la bande de Zack.

Au bout d'un temps qui parait interminable, ils arrivent enfin, en tenue de prisonniers, cagoulés, et jouent ainsi Bombtrack. Du show, de l'énergie, ça s'annonce bien.

Si ce n'est évidemment le public aviné qui considère qu'à un concert de "roque", on est obligé de se rentrer dedans très fort et de comprimer l'espace autour. J'en frapperai d'ailleurs un qui ne trouvera pas ça drôle du tout de se prendre une botte dans le bide. Pourtant ça avait l'air de le faire marrer de donner des coups de coude alentour...

Cagoules enlevées, Zack nous gratifie de l'éternel "We're Rage Against The Machine from Los Angeles, California". Ce sera la seule fois où il s'adressera au public, se désintéressant de lui dès la dernière syllabe sortie de sa bouche. Mais s'y est-il vraiment intéressé ? Cette reformation miraculeuse a-t-elle à un seul moment intéressé le "groupe" ? Car je n'ai pas vraiment eu l'impression de voir un vrai groupe sur scène ce soir, mais plutôt des musiciens, ensemble, qui jouent les mêmes morceaux simultanément, avec un entrain feint avec excellence. Ils éviteront par ailleurs de regarder leur public (vous savez, les gens qui raquent le prix d'une semaine de courses pour aller les voir) ou même de se regarder (des choses qui arrivent parfois entre groupe, la complicité, etc). Les morceaux s'enchainent à la vitesse de l'éclair, sans grand entrain, jouant la musique à la note près, sans improvisation. Un show millimétré qui laisse donc un arrière goût amer. Ils s'en vont après une heure vingt-huit de concert (si ils ont commencé à l'heure), me laissant déçu par mes idoles.

C'est très bien de vouloir amener la Politique et la Révolte sur scène, mais ce serait bien de leur part d'y convier aussi la musique.

(Et, mais je pinaille, de passer en France la version ORIGINALE -donc en Français- de l'Internationale)

-Jo-


Je suis entierement d'accord avec toi, j'ai ressenti la meme chose Ouf, je suis rassuré, je ne suis pas le seul martien parmis les 50 000 personnes de ce soir

Premiere fois que je vois Rage ce soir, grosse attente, excitation a l'extreme, apres ma "petite" decepetin de la semaine derniere et de Metallica (un Heatfield enorme, un Lars pitoyable et un son de merde), là le son etait plus que bon, mais le show en lui meme et la zic m'a laissé sur ma fin
J'ai prefere Tommy Emmanuel au New Morning
« Quand un français est con, on dit : Quel sale con ! Quand un juif est con, on dit : Quel sale juif ! Je revendique pour les juifs, le droit d’être cons. »
Pierre DAC
www.pump.fr

Neorossi
Paintkiller a écrit :
(Et, mais je pinaille, de passer en France la version ORIGINALE -donc en Français- de l'Internationale)


Si y'a bien un truc sur lequel ils auraient pu s'abstenir selon moi, c'est bien ça. (Ben oui, j'aime RATM mais je ne suis pas coco. ).

Ton avis est bien évidemment respectable, et heureusement qu'on a des avis comme ça d'ailleurs. Si tout le monde avait trouvé le concert génialissime, ça voudrait dire qu'il était parfait. Et rien n'est parfait. Même pas la bande à Morello. Par contre j'suis d'accord avec toi concernant les pogos... Autant le fait de sauter ou le fait qu'il y ait quelques mouvements de foule ne me dérange pas, c'est même normal, autant des mecs qui paient 45€ pour se foutre sur la gueule tout au long du concert sans même en profiter une seconde... J'ai jamais compris. D'ailleurs des mecs pogotaient devant moi, j'ai eu de la chance de ne pas être pris dedans, parce que si je vais aux concerts c'est pour m'amuser, mais aussi et même surtout pour écouter (c'est de la musique je crois, non?). Mais pas pour revenir avec des bleus.
Shine On You Crazy Diamond...
jofromlille
Paintkiller a écrit :
J'suis juif, j'ai l'habitude du pogrom, amène l'huile de lin

Voici le report :

Comment ça a pu merder ?

J'avais des étoiles dans les yeux. Si, si, je vous jure, j'étais vraiment heureux de voir Rage Against The Machine (prononcez "ratmeuh" ou "wèdge") en concert ! J'avais bataillé comme un fou pour obtenir une place pour Bercy, que j'ai dû revendre, victime du malheur.

Comme tout bon fan, je me presse donc au Domaine National de St Cloud, vers 19h, afin d'éviter les immondes Lostprophets (que j'ai dû subir l'année passée à Reading, contre mon plein gré) et leur chanteur geignard. Passage de la sécurité, on fouille. Oh, tiens, on me confisque mon appareil photo. Première déception. Faut croire que nos amis de la liberté aiment bien contrôler leur image. Je passe devant le stand merchandising, et là, stupeur : 30€ pour un misérable t-shirt (60 pour la version "maillot de foot", ils doivent haïr les beaufs pour vouloir les faire raquer à ce point !). Ça fait cher, tout de même, pour nos amis de l'étoile.

J'arrive alors sur les lieux du concert avant de me retrouver non pas à un concert de metal (je croyais, pourtant), mais à une annexe de manifestation estudiantine : d'ignobles hippies torse nus allongés dans l'herbe, saoûls comme des polonais, probablement depuis la veille.

Je jette une oreille distraite à Mix Master Mike pour me rendre compte que c'est terriblement bruyant (pas ça qui me fera découvrir les Beastie Boys en tout cas), et je me place près de la scène pour la bande de Zack.

Au bout d'un temps qui parait interminable, ils arrivent enfin, en tenue de prisonniers, cagoulés, et jouent ainsi Bombtrack. Du show, de l'énergie, ça s'annonce bien.

Si ce n'est évidemment le public aviné qui considère qu'à un concert de "roque", on est obligé de se rentrer dedans très fort et de comprimer l'espace autour. J'en frapperai d'ailleurs un qui ne trouvera pas ça drôle du tout de se prendre une botte dans le bide. Pourtant ça avait l'air de le faire marrer de donner des coups de coude alentour...

Cagoules enlevées, Zack nous gratifie de l'éternel "We're Rage Against The Machine from Los Angeles, California". Ce sera la seule fois où il s'adressera au public, se désintéressant de lui dès la dernière syllabe sortie de sa bouche. Mais s'y est-il vraiment intéressé ? Cette reformation miraculeuse a-t-elle à un seul moment intéressé le "groupe" ? Car je n'ai pas vraiment eu l'impression de voir un vrai groupe sur scène ce soir, mais plutôt des musiciens, ensemble, qui jouent les mêmes morceaux simultanément, avec un entrain feint avec excellence. Ils éviteront par ailleurs de regarder leur public (vous savez, les gens qui raquent le prix d'une semaine de courses pour aller les voir) ou même de se regarder (des choses qui arrivent parfois entre groupe, la complicité, etc). Les morceaux s'enchainent à la vitesse de l'éclair, sans grand entrain, jouant la musique à la note près, sans improvisation. Un show millimétré qui laisse donc un arrière goût amer. Ils s'en vont après une heure vingt-huit de concert (si ils ont commencé à l'heure), me laissant déçu par mes idoles.

C'est très bien de vouloir amener la Politique et la Révolte sur scène, mais ce serait bien de leur part d'y convier aussi la musique.

(Et, mais je pinaille, de passer en France la version ORIGINALE -donc en Français- de l'Internationale)

-Jo-


ça sent la reformation d'Audioslave avant décembre!
Red_Fish
merci pour les review.
Perso j'ai vraiment bien aimé Bercy, la je pense que j'aurais été un peu décu de revoir la même chose (a peu de choses prêt)
stoofy_stoof
je suis moi content du concert, ils ne sont la pour vous regasrdez le blanc des yeux (pourtant morello a souvent regardé le public avec le sourire aux levres, ils etaient contents d etre la)..
Mais le groupe a délivré sa rage, c est ca que je suis venu voir, du bon son, de l ambiance, on chantge on crie, on hurle on saute, on regarde, on apprecie, on vit l instant... et j ai trouvé ce concert terrible...
stoofy_stoof
Neorossi a écrit :
Yoshi73 a écrit :
Ils ont foire "Guerilla Radio" et "Sleep Now In The Fire" (meme bourdes qu'a Bercy, grosses erreurs du batteur Brad Wilk qui a encore merde sur l'intro de "Guerilla Radio. Decidemment il n'y arrive pas).


J'suis pas spécialiste (encore moins en batterie), mais il me semblait bien que l'intro de Guerilla Radio avait été foirée. Mais bon, ça change pas grand chose à notre bonheur je pense, personnellement, plus le temps passe, plus je me rends compte que c'était énorme. Quelqu'un aurait la setlist au fait? (oui, j'suis pas fan de chez fan de RATM, du coup j'avoue ne pas connaître les chansons par coeur... Et même si je les connaissais, avec ma mémoire j'suis pas prêt de faire la setlist de tête.)


pas de bourde du batteur !!!
Le delay de morello sur l intro de guerilla n etait pas synchro avec le rythme donné par Brad. Morello jouait dans le temps (je voyais bien ses mains) mais sont delay allait plus vite, on avait donc l impression qu ils ne jouaient pas ensembe
Bobba
  • Bobba
  • Vintage Méga utilisateur
  • #70
  • Publié par
    Bobba
    le 21 Août 2008, 10:15
stoofy_stoof a écrit :
Neorossi a écrit :
Yoshi73 a écrit :
Ils ont foire "Guerilla Radio" et "Sleep Now In The Fire" (meme bourdes qu'a Bercy, grosses erreurs du batteur Brad Wilk qui a encore merde sur l'intro de "Guerilla Radio. Decidemment il n'y arrive pas).


J'suis pas spécialiste (encore moins en batterie), mais il me semblait bien que l'intro de Guerilla Radio avait été foirée. Mais bon, ça change pas grand chose à notre bonheur je pense, personnellement, plus le temps passe, plus je me rends compte que c'était énorme. Quelqu'un aurait la setlist au fait? (oui, j'suis pas fan de chez fan de RATM, du coup j'avoue ne pas connaître les chansons par coeur... Et même si je les connaissais, avec ma mémoire j'suis pas prêt de faire la setlist de tête.)


pas de bourde du batteur !!!
Le delay de morello sur l intro de guerilla n etait pas synchro avec le rythme donné par Brad. Morello jouait dans le temps (je voyais bien ses mains) mais sont delay allait plus vite, on avait donc l impression qu ils ne jouaient pas ensembe


Ce n'est pas un delay mais un tremolo. Et ça n'excuse rien, avec mon groupe on y arrivait les doigts dans le nez dès nos première répèt. Il faut juste que le batteur et le bassiste aient le retour de la guitare suffisament fort pour suivre le rythme du tremolo.

Sinon, Paintkiller, c'est RATM que t'as pas aimé où c'est son public ?
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969
Evil Fabinoo
Paintkiller a écrit :
Cagoules enlevées, Zack nous gratifie de l'éternel "We're Rage Against The Machine from Los Angeles, California". Ce sera la seule fois où il s'adressera au public, se désintéressant de lui dès la dernière syllabe sortie de sa bouche. Mais s'y est-il vraiment intéressé ?

ah non, il a quand même lancé un "are you still with us?" juste avant "Born of a Broken Man", donc juste après l'interlude impro bluesy tranquillou... de peur d'avoir endormi le public peut-être ? sinon effectivement Zack n'est pas non plus du genre a papoter entre chaque chanson... mais les attitudes et regards (merci les écrans géants) de Zack mais aussi de Tom témoignent quand même (à mon avis) du plaisir qu'ils avaient à jouer (bon, vas-y la communication avec le public dans un énoooorme festival)

Red_Fish a écrit :
Perso j'ai vraiment bien aimé Bercy, la je pense que j'aurais été un peu décu de revoir la même chose (a peu de choses prêt)

bah c'est ce dont j'avais un peu peur (c'est pour ça que j'ai pris ma place pour le Rock en Seine au dernier moment) mais au final j'ai bien préféré... Bercy y'avait le côté "émotion" de les voir en live pour la première fois (blabla reformation qu'on espérait plus etc.) mais j'avais été un peu déçu (et partageait donc le même avis que certains ici par rapport à hier soir)

Du coup là j'ai mieux apprécié ! Bref un bon moment rock'n'roll

EDIT : sinon pour l'intro "Guerilla Radio" à mon avis il doit sincèrement y avoir un souci entre la façade et les retours sur scène, puisqu'à chaque fois apparement (suffit de lire les reviews des concerts de cette tournée) tout le monde (moi compris hein) a cette impression de décalage bizarre pas carré... or, pour la foirer tout le temps et de la même manière moi j'dis ça sent le truc louche
pouet
Bobba
  • Bobba
  • Vintage Méga utilisateur
  • #72
  • Publié par
    Bobba
    le 21 Août 2008, 11:19
Ca dépend des fois pour Zack. Aux US il place des discours entre les chansons pour les introduire. A l'etranger, il ne le fait peut etre pas parceque les gens ne comprendront probablement pas.

Par contre à Bercy, il avait vraiment l'air content d'etre là, il essayait de faire chanter le public, bougeait d'un coin à l'autre de la scene pour aller chercher les gens dans les coins.

Content de voir que Morello à toujours autant de peche.

Cadeau :
Là il n'ya pas de soucis d'intro
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969
S
  • S
  • Custom Cool utilisateur
  • #73
  • Publié par
    S
    le 21 Août 2008, 11:39
C'était définitivement mieux à Bercy pour ma part... j'ai trouvé qu'il n'y avait aucune véritable ambiance, sauf pour les mouvements de foules (adios les barrières). Sur Vietnow, Freedom... personne ne reprenait... j'ai eu l'impression que le public s'est réveillé pour Killing... et puis c'était déjà terminé.

A part ça c'est assez dur d'apprécier un concert à sa juste valeur quand on entends "pardon, pardon" pendant deux heures... les gens viennent pour promener dans le parc de St Cloud ou quoi...
CookSlash
Bon j'y étais aussi et j'ai trouver ce concert pitoyable : Zack constamment décalé et le groupe mou comme pas possible, c'était poussif j'avais envie de me barrer au bout de 4 morceaux. On sentait clairement qu'il n'avaient pas envie plus que ca de jouer ensemble. On était un groupe de 6 on a tous ressentit la même chose, ok le fait d'être a jeun n'a pas aider ...
"Sans Technique un don n'est rien qu'une sale manie" G.Brassens
Bobba
  • Bobba
  • Vintage Méga utilisateur
  • #75
  • Publié par
    Bobba
    le 21 Août 2008, 11:43
L'avantage de Bercy, c'etait la fosse (pas tres grande à la base) divisée en 4. Ca evitait les gros mouvement de foule. J'etais dans le carré avant droit, et y'avait moyen d'etre tranquille pour regarder le concert.
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969

En ce moment sur concerts...