Votre but dans la vie

Ok ok, j'agrée totalement sur le fait qu'une vie de foyer est loin d'être une vie tranquille, j'en fais totalement partie chez moi et ma mère est mère au foyer
cedont je parlais alors, c'est plutot la petite vie d'une jeune gars entrant dans la vie active, qui va tous les jours faire son boulot de vendeur par exemple, ou de comptable, ou de fonctionnaire ou de n'importe quoi (je ne porte pas de jugement, pas qu'on me comprenne encore mal )
et qui n'a qu'une responsabilité c'est faire son boulot 8h par jour à son bureau ou à son comptoir pour toucher sa paie à la fin du mois...c'est juste pas de ça que j'ai envie, et comme, a priori, j'ai de quoi me donner les moyens d'avoir ce que je veux, j'essaie de l'avoir...c'est tout.

Je vois bien de quoi tu parles, et c'est vrai que ça me ferait chier aussi. Quand t'as l'impression d'être arrivé au bout, que y a plus grand chose à faire, à part attendre. D'ailleurs je trouve dommage qu'on mette les fonctionnaires dans ce sac là : je connais beaucoup de profs (étant plus ou moins baigné dans le "milieu", et je assurer que ce sont généralement des gens qui s'éclatent, qui sortent, qui s'amusent bien. Après, en un sens, y a peut être pas autant de prise de risque. Quoique certains choisissent d'aller dans des zones sensibles d'éducation, et là y a du risque.




lui

...

Donc toi visiblement tu n'as tjs pas saisi mon point de vue...pas grave, pas envie de recommencer...

je trouve ça très étrange comme point du vue, je me demande comment on peut ne voir sa vie (quasiment) que par le travail alors qu'à la base c'est une souffrance, qqch d'imposé à l'homme.
C'est finalement très terre à terre comme idée.

process://"Inversion de l'idée" :

Je trouve ça très bizarre comme opinion, je me demande comment on peut ne voir sa vie ( quasiment ) que par le plaisir et l'hédonisme. C'est finalement très utopiste et irresponsable comme idée.

process done/


Au fond, qu'est-ce qu'on s'en tape les valseuse sur un juke-box, du but des autres ? Mon but : éviter le plus possible que se déverse dans mes oreilles les confidences inintéressantes de la masse puante que constitue les autres.


:mdr:

Je ne dirais pas mieux...

AAAAAAAAAAAAH ME PARLE PAS TOI, VERMISSEAU, FOUTRIQUET !!!!!!!!!!!!!!!!!





:mdr:

Très terre à terre oui. Je peux pas prétendre le contraire.
Et si tu considères que à la base, le travail est une souffrance, imposée à l'homme, ben c'est peut-être juste qu'on a pas grandi dans le même type de cadre, et pas reçu la même éducation...J'ai toujours eu des chefs d'entreprise, des entrepreneurs, des types qui avaient leur propre business...et j'ai toujours été poussé à l'indépendance et à l'esprit d'entreprendre...Et je n'ai jamais entendu quelque entrepreneur qui a réussi dire que c'était un suplice. Si forcément, y a beaucoup de moment durs, mais ça c'est la vie. Tout comme bosser certains trucs techniques à la gratte non stop c'est parfois chiant, mais quand on voit le résultat, on est fier de ce qu'on a fait...ben là pareil
Et puis bon, être fort matérialiste, ça aide aussi...

conclusion : les ouvriers et le reste hein ( bah oui le reste) sont des fénéants, n'ont pas eu une bonne éduction, la devise c'est " moins je travaille mieux je me porte"
hein c'est ce que tu penses et c'est ce que ta famille pense?
bravo la mentalité
et ne me dis pas que c'est pas ce que tu voulais dire c'est ce que tu as dis implicitement

je n'ai émis absolument aucun jugement de valeur...et n'ai fait qu'exprimer une situation.
Donc j'aimerais bien que tu m'expliques ou tu as été chercher ta conclusion, qui est d'une étonnante pertinance...ou pas...
Les ouvriers fénéants? qu'est-ce que j'ai dit qui fait penser ça?
Qu'ils n'aient pas eu une bonne éducation? ou ai-je dit ca?
Que ma famille pense-ca, ca m'étonnerait vu du milieu du quel ils viennent à la base...donc juste, explique la relation que tu as faite parce que je comprends pas...

Je respecte les deux point de vue, perso je suis + d'accord avec Sepulfranco dans la mesure où l'on bosse pour avoir de l'argent et souvent pas du tout pour le plaisir il faut être honnête. Ce que je veux dire c'est que quand on a des passions, de vrais loisirs en dehors du boulot on se passerait bien d'aller travailler !! Ceci n'empêche pas d'être sérieux dans son travail etc, et puis il faut bien "faire marcher le pays" pas vrai ? Cependant il vrai aussi que ne pas travailler pendant un moment fini par être déprimant, et même si c'est parfois une corvée d'aller au boulot eh bien ça nous fait voir du monde tous les jours, ça contribue à un équilibre aussi il faut pas le nier !! J'ai dû vous embrouiller avec tout ça pour résumer j'estime que pour ma part ma vie professionnelle ne sera pas (jamais ?) ma priorité ... pourquoi ? Parce qu'il y aura toujours des choses que j'aimerais beaucoup plus que mon travail !!

Mais si je suis intervenu c'était aussi pour confirmer un petit détail au niveau de l'étymologie du mot "travail", qui au départ est un mot qui signifie souffrance : la preuve ici (mais je l'avais appris au lycée :wink http://fr.wikipedia.org/wiki/T(...)logie

voilà enfin une réaction réfléchie que je ne peux que respecter...
et apparemment je suis tjs mal compris, au niveau du fait que je ne donnerai pas non plus la priorité absolue au mon boulot...c'est juste un moyen pour arriver à mes fins...
quant au fait de considérer le travail comme une obligation et donc le percevoir comme une "violence" que l'on se fait...je crois que c'est aussi du à la différence de perception de ce qu'est le travail, à savoir que évidemment pour l'ouvrier qui travaille à l'usine, c'est pas joyeux le boulot, mais il faut bien pour nourrir la famille, idem pour la secrétaire qui se fait engueuler par le patron et pour tant d'autres situations.
Et être employeur, évidemment que ce n'est pas joyeux tous les jours non plus, seulement, avec vos gosses, vous trouvez ça chouette en permanence? Permettez-moi d'en douter...sauf que au final, quand on voit qu'on a construit quelquechose de bien, on est fier, on est content, on est heureux et on se dit qu'on en a pas chié pour rien...et c'est la que je trouve que le bonheur peut-être considéré, que ce soit pour des enfants qu'on arrive à amener à l'age adulte en tant que personnes "bien", bien élevées etc. ou bien pour une entreprise, qu'on a mis au monde, qu'on a fait grandir, et qui se porte bien quand on la quitte...

encore faut-il savoir ce qu'est le bien. Est ce bien de participer à la construction d'une entreprise alors que l'on sait que le principe de celle ci est basé sur un système qui ne fait que rentrer dans une démarche de diminution de l'importance que l'on donne à une part de la population pour le sois-disant bonheur d'une autre ?
Certes le travail est à la base humanisant, mais dans quelle mesure aujourd'hui ?
Dans ces conditions j'estime que le but d'un humain est au dessus de la simple idée de travail qui n'est qu'une tare et ne doit pas être une fin en soi, même si on l'apprécie un tant sois peu.

encore un débat inutile

ouais, ça c'est une question de point de vue...
J'préfère profiter de notre système que de me morfondre dessus...
et ce n'est pas aimer "un tant sois peu" son travail, c'est y prendre un réel pied! (si, c'est possible)