Suicide: message d'alerte

Le problème est qu'il y a un vide juridique; on a pas le droit de l'identifier légalement. Maintenant, il est toujours bon de se rendre au commissariat et d'établir une main courante en donnant l'adresse du site. On pourra vérifier déjà les faits et au nom de l'obligation de porter assistance, faire identifier quand même la personne. Je ne pense pas que légalement, ce soit répréhensible, au même titre que les pompiers peuvent défoncer une porte pour porter assistance à une personne en danger

moi aussi j'ai pensé à me suicider mais je l'ai pas fait car, au contraire, je trouvais le geste lache, je trouvais cela lache de ne pas faire face à ses problemes....

pas d'accord...il faut du dialogue, c'est tout. Pour pas qu'on en arrive à tout cacher justement. Agir comme ça ne fait qu'empirer les choses... encore moins de confiance entre parents-ados...

Non on ne peut pas, et heureusement je serais contre. Mais il faut prendre en compte internet, qui est devenu une grande partie de la société actuelle, dans l'éducation. Et les générations de parents actuelles sont souvent dépassées par ce qu'elles ne connaissent pas. Le temps arrangera surement les choses, mais pour le moment, et pour certains ados fragiles, internet ne peut pas que faire du bien...

Alors il faut apprendre aux jeunes à faire la part des choses. Comment? c'est une exellente question dont je n'ai pas la réponse.
Mais encore une fois, cela revient au problème du dialogue.

En tout cas, il est clair que des interdictions ne mènerai à rien. Ceci dit, c'est sur qu'il faut faire attention. Cette histoire de blog fout des frissons, que cette jeune fille ai donné des détails sur son suicide et que personne n'ai rien fait, il y a quand même un sacré problème là

+1 c'est évident.

"cassons le jardin secret des ados en les flicant,les espionnant c'est le meilleur terreau pour qu'une discussion interessante en ressorte.."

On parle de dialogue, mais si souvent il ne se fait pas ,c'est parce que l'enfant se sent juger , critiquer ; on méprise sa façon de penser , et c'est souvent plus un rapport de force qu'une réelle discussion , ce qui dégoute l'enfant et le pousse à s'enfermer sur lui meme.

tout ceux qui veulent installer un dialogue partent sur une bonne intention , mais attention au ton adopté , déterminant je pense , l'écoute doit etre tres importante, c'est pas un dressage qui améliorera les rapports.

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Tous les parents ne sont pas parfaits; j'en connais qui ont fait des gosses pour avoir un revenu. Je sais je vais en faire hurler certains. Il y a pas longtemps de cela, je suis allé dans une famille; le père ne se rappelait
même pas le prénom de son dernier né.

Ca dépend comment on l'interprête; ça peut être une occasion de provoquer un dialogue. Je ne dis pas qu'il faille faire de l'espionnite; mais de temps en temps vérifier. A 14 ans, on a besoin d'autorité. Je pense que les jeunes respectent plus les parents qui disent non que ceux qui disent oui à tout. J'ai toujours fait preuve d'autorité envers mes enfants; ils ont tout ce qu'ils veulent mais ils n'ont pas intérêt à faire un pas de travers et doivent me rendre des comptes. C'est un accord entre nous, et je peux vous assurer qu'ils sont comme il faut et se portent trés bien; ils ne veulent même pas quitter la maison pour faire leur vie

mauvaise manip.

Personnellement je n'avais jamais été confronté à un suicide. Jusqu'au jour où une demoiselle pour qui j'ai beaucoup d'affection (si vous voyez ce que je veux dire même si malheureusement c'est pas partagé...) et qui venait d'être hospitalisé m'a avoué que la raison de son hospitalisation était une TS. Comme vous vous en doutez, ça m'a vraiment fait un choc terrible, parce que j'aurais pu la perdre... Elle m'a assurée qu'elle ne recommencerait pas, qu'elle allait voir un psy etc mais je dois avouer que maintenant je vis avec une peur permanente... Je me sens coupable parce que je me dis qu'il a du y avoir des signes que je n'ai pas vu... Je ne sais pas comment je pourrais l'aider, je me sens impuissant...

on en revient à la suffisance egocentrique du "j'ai raison, c'est irrévocable et absolu même si ce n'est qu'une impression et que c'est arbitraire et subjectif"

raison de plus pour ma part de trouver ca stupide
les gens sains d'esprit changent avec le temps, le monde et leur propre réflexion. on ne passe pas une vie entière sur un sentiment....or une mort si, puisqu'elle rend ce sentiment définitif.

Si tous les ados ou jeunes adultes ténébreux et suicidaires le restaient en grandissant, on ne vivrait pas dans des villes mais des cimetières....fuck!

tu me dis
"la vie est tellement pourrie, la mort ne peut être que mieux"
je te réponds
"aujourd'hui est tellement pourri que demain ne pourra être que moins pire, sauf si je meurs maintenant"

c'est comme le loto.....100% des gens heureux ont tenté leur chance au jeu de la vie.

comme beaucoup de gens confrontés à une TS....ne t'en fais pas, elle est encore vivante, donc oublie ta culpabilité en te rachetant....



sois là....simplement. Si tu es vraiment attentif, elle te donnera elle-même le moyen de l'aider

Merci chacal...

100% d'accord avec toi beatnik queen

Il faut que les ados est l'envie et la confiançe de se confier a leurs parents.

Seulement quant tu vois que les parents ont était élever avec tout les Tabous qu'imposais leurs époques ,tu te dit que c'est pas gagner.

J'ai la chançe d'avoir une mére trés ouverte ,avec laquelle je peut me confier quant j'ai des problémes ou des question à poser (je vous vois déja ,pour les question Q j'avais pas besoins de poser de question bande de viçieux ) elle n'est pas la seul heureusement ,mais sa reste encore rare.
On dit que le ridicule ne tue pas mais dans ce cas là il y a de quoi avoir un doute.

J'ai moi même était en contacte avec une personne suicidaire et je sais que c'est trés dure a vivre,pour ceux qui sont dans ce cas là et qui liraient ce sujet : je vous souhaite beaucoup de courage

le dialogue c'est peut etre la clé pour reduire le nombre de tentatives mais c'est pas facile de parler à ses parents...

je n'ai jamais parlé a mes parents de mes problemes quan j'en avais ma mere s'en doutait et puis bon elle a vu mes bras ... mais elle ne sais pas pourquoi et j'arriverai jamais a lui dire et j'ai pas envie qu'elle sache jusqu'ou j'ai été