BiZ a écrit :
Au contraire je pense que craindre le pire sans être anxieux permet de mieux anticiper. Exemple, t'as un mec qui arrive et t'as priorité à droite, tu envisages qu'il ne s'arrête pas, comme ça s'il le fait t'es moins surpris. Enfin c'est comme ça que je le comprends. Si ça se transforme en anxiété permanente, là c'est pas bon...
Tiens c'est marrant mais au portugal, les mecs (et les femmes hein), ils freinent au dernier moment. Ils roulent pas forcement plus vite, mais ils freinent plus tard. Et c'est meme pas une conduite nerveuse, (comme en espagn ou en italie) les gens sont zen. (ils te klaxonne, mais avec le sourire :lol
Au debut c'est assez flippant. T'as l'impression que tu va te faire rentrer dedans à chaque carrefour ou rond point. Et puis finalement non. Idem dans les rond points : si entre 2 voitures successives il y'a assez de place pour faire rentrer un vehicule, ils s'engagent...
Du coup quand je rentre dans ma banlieue bourgeoise du 91, je mets un peu de temps à reprendre une conduite française. Et ça m'amuse toujours de voire les tetes horrifiés de madame la quadragénaire, à l'arret au milieu du rond point alors qu'il y'a plus de 10m entre son cheyenne et ma clio.
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969