Jésus et son écriture absente des 27 livres néo-testamentaires ?
Pas dans l'Évangile de Jean, Chap.8, versets 2–8, quand il s'agit de sauver de la lapidation la femme accusée d'adultère :
«Mais, à l'aurore, il se présenta de nouveau dans le Temple. Et tout le peuple venait vers lui, et s'étant assis, il les enseignait. [...] Ils disaient cela, afin d'avoir de quoi l'accuser. Mais Jésus, se baissant, écrivait du doigt sur le sol. Comme ils persistaient à l'interroger, il se redressa et leur dit : "Que celui d'entre vous qui est sans péché lui jette le premier une pierre." Et de nouveau, se baissant, il écrivait sur le sol.»
Quant à la lecture dans la langue sacerdotale, toujours dans le Temple donc, voir par exemple Luc, chap.4, v.16-21...
Approche neutre pour être bien dans le titre du sujet.
Preaching nothing but the blues to the Song of Songs...
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.