Je crois que ma meilleur année c'etait la troisiéme. Tant pour mes résultats scolaires que pour les centaines de crises de rires que j'ai pus avoir pendant ces quelques mois.
J'etais alors dans la classe avec quelques bons potes, mais avec 2, on se tapait ( car c'est le mot ) des délires phénomenales. Jamais des trucs méchants, car on etaient plutot sensible ( et pas si immature que ça au fond...) et on ne voulaient pas faire du mal. Non, ce qui nous interessait, c'etait de déconner un max et de profiter de notre adolescence qui allait toucher a sa fin. C'etait surtout moi qui trouvait ses idées, car j'etais le plus imaginatif des 3, mais je faisait jamais des blagues tirés de Web tricheur, car je ne le strouvais jamais interessante, et que les meilleurs blagues sont celles que tu trouve toi même, en plein dans la situation...ces blagues que tu improvise là ! tout de suite...
Alors...tiens, par exemple, durant une permanence, on avait accroché une enorme pancarte : Au Secours ! sur la fenêtre, afin d'attiré les regards des passants ( les fenêtres de notre classe donnait sur la rue, deuxiéme étage ). Les passants nous regardaient bien, certains ricanaient, les autres non...Soit !
Je ne parle pas non plus des nombreuses batailles de craies. Un jour, un gars a déliberement envoyé une craie par la fenêtre. L'affaire aurait pu en resté sauf que cette craie s'est écrasé...sur des policiers
Qui sont remontés...on s'est un petit peu fait gronder ( c'etait pas vraimment un drame, car on ne l'avait pas fait exprés) Notre prof de musique a tout de même eu une touche d'humour en lachant : Si jamais vous voyez ma voiture, pensez y, hein ?
Ah oui, a cause un voisin trés lourd, j'ai rédigé deux traités ( ? ) pour séparé nos deux tables. Celui qui déplacait la Ligne Verte ( ^^ ) se faisait "electrocuter" sur le coups par un de ces petits stylos vendus au touristes, qui lachent un petite décharge pour ceux qui les touchent.
On a aussi une énorme crise de rire lorsqu'un remplacent en anglais a pris un bon ami pour une fille...ce qui lui arrive souvent d'ailleurs je pense.
Un jour, j'ai écrit dans ma chambre, un article que j'avais passé a toute la classe. sur les Schtroumphes, qui allait envahir la planéte avec une armée, et pour y remedié, j'avais demandé a tout le monde de me donnait un peu d'argent pour m'offrir ce qui seras ma premiere guitare electrique.
On se moquait aussi de la ville ou j'habitais, Cachan. Car c'etait tellement loin de mon lycée qu'on prétendais que c'etait la campagne. Ainsi, un jour, un ami, qui avait perdu son cahier, avait dis au prof de musique qu'il n'avait pu se payer un nouveau cahier, car il habitais a Cachan et que labas, il y avait pas de boutique, que des vaches et des tracteurs...,
On chatouillait souvent un de nos amis, plus frêles que nous. On le mettait entre nous deux, et pendant les cours d'anglais, on le chatouillé tellement qu'il en tombais de sa chaise.
On avait aussi un placard dans la classe, qui servait a rien. Comme je suis un brin fainénant, j'y posais mes sacs de sports ( aprés le cours de sport donc ) que je ne reprenais jamais. 5 sacs sont restés entassé dans ce placard; On a un jour décidé, a la fin de l'anné, avec courage, d'ouvrir le placard. Evidemment, ca sentait mauvais...( et c'est un euphémisme ^^)
Bon, aprés, y a les classiques hein ? batailles de craies, de gommes, de stylos. Ma Chaussure droite a un jour fait le tour de la classe. Je l'avais enlevé pour me reposé le pied, mon voisin s'en est emparé, et l'a passé a son voisin qui l'as passé a son voisin...J'ai aussi, par pure envie de revolte ( ?? ), balancer mon agenda par la fenêtre, écrit des propos pornos sur le tableaux, balancer du Rammstein avec mon portable en permanence...On a construit un labyrinthe avec nos tables ( a essayé ^^ ) On déplacait le bureau de sorte a ce qu'il tombe de l'estrade dés que le prof s'asseayait dessus, on ramenait des preservatifs en cours qu'on gonflait pour en faire des ballons....
"Moi mon kiff quand j'avais ton âge, petit branleur, c'était d'prendre ma Flying V et d'envoyer quelques gammes pentas avec un ganja mastard à la bouche.".
Jean-Paul Sartre.