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- Publié par
lemg le 08 Mai 2006, 19:16
Bon, à mon tour.
A la télévision :
J'ai vraiment beaucoup aimé les courts-quotidiens comme Ulysse 31 ou la série des "Il était une fois..."
Dans ce qu'il y a de plus ancien, citons : Goldorak, Tom Sawyer, ce dernier n'ayant à mon goût pas trop vieilii (il faut bien reconnaître qu'il y a une bonne base). Ah, Tom Sawyer, quand ils se baignent complètement à poil, on remarquera qu'il leur manque quelques pièces maîtresses.
Habile transition (même pas honte), Lady Oscar fut aussi un de mes DA favoris.
Jamais accroché à Albator. Capitaine Flam c'était un peu mieux. Une bizarrerie : je n'ai aimé la science-fiction que tardivement.
Plus tard il y eut Les chevaliers du Zodiaque. J'ai vraiment, vraiment, vraiment bien aimé. Et là, j'en ai revu un épisode récemment, et ça a vieilli, mais alors à un point. Enfin je me souviens encore attendre avec impatience le moment où viendrait le combat avec le chevalier d'or portant mon signe. Léger phénomène d'identification qui n'a pu que favoriser le succèse de la série.
Dans le genre "tu vas voir ce que tu vas prendre dans ta face", il y avait aussi Ken le survivant auquel j'avais moins accroché, sinon pour ces fabuleuses scènes où le personnage découpé mettait plusieurs secondes à voir les différentes parties de son corps se détacher. A l'époque je souriais. Maintenant je ris.
J'adore les Simpsons et Daria dans une moindre mesure.
Les déceptions : les adaptations de mes BD fétiches, Tintin et Blake&Mortimer. Tenez-vous en aux bandes dessinées.
Il paraît que Léonard a aussi été adapté en DA. Je n'ose.
Et maintenant...
Au cinéma :
Historiquement, Rox & Rouky fut ma première sortie au cinéma, j'avais, euh, pas grand chose, 5 ou 6 ans.
Et je reconnais que les Walt Disney (ceux du vivant de leur créateur) sont vraiment biens. Impossible d'en choisir un pour autant.
Les mangas, je n'ai jamais accroché. J'ai vu Ghost in the shell (c'est bien un manga ce truc ?). Bien mais pas top, ce qui me confirme dans l'idée que je préfère le cyberpunk dans sa version purement littéraire, qui n'est pas non plus, bref arrêtons.
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