:facepalm:
rho la faute de rhétorique, bobo....
la question à ne pas poser à un libéral. La réponse est toute trouvée. Tu lui ouvre un boulevard....
azzazelo a écrit :
Encore une fois, rien d' "anormal" à ce que les "marchés" utilisent leur argent comme ils le veulent.
Non mais ce n'est pas de ça qu'on parlait exactement: que les "marchés" décident à qui ils prêtent et à quel taux, OK, c'est cohérent et même, d'un point de vue Friedmanien comme le tiens, démocratique: les marchés ont un pouvoir économique.
Mais là ils ont directemlent interféré avec le pouvoir politique et marché sur les plates bandes de la souveraineté populaire.
En d'autre termes: que les marchés arrêtent de préter à la grèce ou à l'italie, ok: on est dans une économie libérale et comme tu dis ils pretent à qui ils veulent... Mais là il s'agit de pousser à la démission un dirigeant (quel qu'il soit) élu démocratiquement et de choisir une politique économie... alors selon tes thèses libérales, c'est peut-être la meilleure solution, mais ça fait un peu mal au cul au démocrate que je suis, même si je suis le premier à reconnaitre les limites et faiblesses de la déomocratie (ie Berlusconi) en matière économique.
*: NOBODY EXPECTS THE SPANISH INQUISITION!