L'égalité hommes-femmes

AethElleBridd

Ben oui, m'enfin

En même temps, si on est pour l'égalité homs-fams, est-ce que ça changerait quelque chose ?

Reportage ce soir sur Antenne 2 sur l'attitude terrifiante de l'abbé Pierre vis à vis des femmes
C'est affligeant ce que cette ordure s'est permis, aidé par la loi du silence

C'était pire que les influenceurs virilistes de Masha.

Oui, les femmes sont en train de devenir aussi nulles que les hommes, et vice-versa

Annie Le Brun avait exposé dès 1977 l'essentiel sur l'imposture néo-féministe (qui n'a en fait rien de féministe, ni d'égalitaire mais tout d'une rage de pouvoir à travers un catéchisme idéologique visant à fabriquer un homme nouveau, comme n'importe quel totalitarisme).



"En 1977, Lâchez tout causait un énorme scandale, et l'Apostrophes où paraissait Annie Le Brun faisait sensation. Tranquillement, Annie Le Brun faisait des thèses avancées par l'idéologie dite (à tort) "féministe" une démolition sans appel : "contre l'avachissement de la révolte féministe avec Simone de Beauvoir, contre le jésuitisme de Marguerite Duras, contre le poujadisme de Benoîte Groult, contre les minauderies obscènes d'Hélène Cixous "...

Treize ans plus tard, les grandes vedettes du néo-féminisme (les mêmes qu'en 1977, avec Germaine Greer, Gisèle Halimi, Élisabeth Badinter...) présentent de leur mouvement un visage en parfaite contradiction avec le précédent : la famille et les enfants sont à l'honneur, les mâles retrouvent une place dans la société, la réconciliation des hommes et des femmes est aujourd'hui de rigueur.

Mais en fait rien n'a vraiment changé : sous des habits neufs on retrouve, aussi virulentes, la même volonté de censure, la même fascination pour les systèmes totalitaires, la sororité crétinisante et la mutilation de l'imaginaire amoureux. Et comme nouveauté, n'hésitant plus à se révéler au grand jour, une sidérante rage de pouvoir, fût-il policier.

Autour de la réédition de Lâchez tout, introuvable depuis longtemps, Vagit-prop présente douze autres texte d'Annie Le Brun qui suivent, de 1977 à aujourd'hui, la carrière d'un des "leurres idéologiques" les plus significatifs de ce temps d'imposture.

C'est amusant, je me suis toujours demandé en quelle période tu te situais précisément. On a la réponse: tu es en 1977. C'est amusant, j'aurais pensé plus loin.

C'est qui lui d'ailleurs c'est un bot ?

Un fils à papa qui n'assimile pas ses lectures.

Une IA capable de générer un discours situationniste, ça serait intéressant pour mettre en évidence la futilité de l'intellect humain.

Il y avait un générateur de textes type comité invisible sur un site qui était très drôle, mais je ne le retrouve plus.
Ca doit pas être très compliqué à faire avec une IA.

Merci ChatGPT

"Titre : La Guitare Électrique et l'Illusion du Spectacle

Dans un monde où la marchandise devient le reflet d'une existence aliénée, la guitare électrique ne se contente pas d'être un simple instrument ; elle est l'icône d'une culture de consommation qui oscille entre le désir de liberté et l'emprisonnement dans des slogans préfabriqués. Cette pièce de bois, cet assemblage de câbles et de métal, se transforme en un symbole de l'authenticité dans une réalité où le vrai et le faux se confondent.

La guitare électrique, telle une étoile de rock, brille dans l'obscurité d'une société saturée d'images. Elle promet l'évasion, l'émotion brute, le frisson d'une note qui s'élève au-dessus du bruit ambiant. Pourtant, derrière cette promesse se cache une mécanique implacable : celle de l'industrie musicale qui façonne, transforme et consomme l'art. Le musicien devient alors un produit, un avatar dont la valeur est mesurée en followers, en likes et en ventes. La scène, un décor soigneusement orchestré où l'authenticité n'est qu'une façade.

L'expérience de jouer de la guitare électrique se mue en une quête de reconnaissance, un parcours semé d'embûches où chaque riff devient une marchandise. Les riffs, ces fragments de liberté, sont capturés et réifiés, standardisés jusqu'à devenir des clichés. La virtuosité technique, loin de libérer l'artiste, l'enferme dans un carcan de performance attendue, un spectacle dont il n'est finalement qu'un acteur.

Dans cette économie du spectacle, le désir de posséder l'instrument devient un impératif. La guitare électrique, c'est le ticket d'entrée vers un monde de sensations, mais aussi de désillusions. On achète un son, une image, une identité à revendre. L'authenticité se mesure désormais à l'aune de la rareté de certains modèles, les marques devenant des cultes, les collectionneurs des devins d'une culture marchande.

Cependant, loin des scènes éclairées et des amplis hurlants, il existe un espace où la guitare retrouve son essence : celui du jeu libre, de la création débridée. Dans ces moments, l'instrument n'est plus une marchandise, mais un prolongement de soi, un moyen d'expression qui échappe à l'emprise du marché. Là où le son résonne sans contraintes, où l'improvisation devient l'acte de résistance ultime contre la logique capitaliste.

En somme, la guitare électrique, tout comme le spectacle qu'elle incarne, est une promesse qui se heurte à la réalité d'une société marchande. Elle nous rappelle que derrière chaque note se cache un potentiel de révolte et d'émancipation, mais aussi la nécessité de s'interroger sur notre rapport à la marchandise et à la véritable essence de la création. La lutte pour la réappropriation de l'art commence ici, dans le refus de voir la passion réduite à une simple transaction."

trop long

Plus court

"Le sandwich, emblème tragique d'une alimentation transformée en marchandise, incarne la décomposition de notre rapport au réel. Réduit à une simple superposition de couches, il devient le produit d'une industrie qui s'arc-boute sur l'efficacité et la rentabilité, sacrifiant la qualité au profit du consumérisme. Chaque bouchée, préemballée et standardisée, témoigne d'une existence qui se contente de l'illusoire commodité, tout en effaçant les savoir-faire artisanaux et la richesse des goûts. Dans cette société du fast-food, le sandwich n'est pas seulement un aliment, mais un symbole de l'aliénation, un crissement de plastiques qui étouffe le désir de goût véritable, réduisant l'acte de manger à une transaction froide et calculée. Ainsi, dans l'absurde spectacle de la consommation, le sandwich devient le reflet d'une vie mécanisée, où l'authenticité se dissout dans la sauce industrielle."

Un situtron - trop fort
surtout qu'après 2 paragraphes j'avais déjà des crampes abdominales et les yeux qui pleuraient ...

C'est pour rapprocher l'égalité homme-femme de l'égalité guitare-sandwich ?