L'égalité hommes-femmes

Rappel du dernier message de la page précédente :
Slash-36
Moxama a écrit :
Sybelle a écrit :

C'est pour ça que je mets pas les dents, pas envie de finir mes jours en taule à cause d'un douillet du bout !

Moi qui fustigeais il y a encore peu l'inélégance de tant d'hommes sur ce forum.
Je dois me faire vieux.


A tel point qu'on pourrait même s'imaginer que ce n'est pas une femme qui nous répond
Tyromancien.


Stop: Parce qu'échanger avec des fous, c'est un métier, Logan, Slash du 36, l'ingé pro du son des hlm, ce sont des médecins qu'il vous faut.

Masha: Non mais je me fais traiter de mec lourd, ridicule et de puceau alors que je b**se à co**lles rabattues, faut pas pousser

Blow Up: Bref tu ne va pas bosser en vélo et tu ne circules pas dans une grande ville, tu pédales dans le vide.

Sybelle
AethelBridd a écrit :
La question portait sur le désir et le consentement. Autre exemple, dans la luxure puisque tu y tiens : Tu es monogame, marié à une épouse fabuleuse, comblé par la vie, mais ta patrone (ou ton assistante, peu importe) est la plus désirable des femmes malgré des moeurs quelque peu légères. Son simple regard te donne des frissons, son parfum t'enivre et elle sait réveiller tes instincts les plus primaires. Elle profite d'un moment propice pour défaire ta ceinture. Tes sens sont en émoi, ton appendice devient phalliforme, mais tu n'as pas envie de gâcher toute ta vie pour une coucherie éphémère. N'es-tu pas désireux sans être consentant ?


Passionnant ! J'attends la suite avec impatience ! (Ton second opus, paru ensuite, est beaucoup moins «bandant»).
Avec impatience, parce que je n'ai pas tout bien suivi : si le débat porte sur le diptyque consentement/désir, oui c'est bien illustré, les deux peuvent être une sorte d'injonction paradoxale intéressante.
Mais est-ce là le fond du sujet ?
Je ne connais pas exactement la position de la France mais je trouve la proposition Européenne complètement vide de sens : «Un acte sexuel sans consentement est un viol.» Et oui. Et alors ? On va sortir ce texte pour le relire quand une femme arrivera déchirée à l'hôpital ?
J'ai quand même l'impression que ce sont des réflexions de technocrates qui se donnent une bonne conscience pour pas bien cher.

Hors sujet : à Moxama et Slash-36 Faudra s'habituer doucement, dans le cadre de l'égalité femmes-hommes, que nous adoptions parfois quelques techniques d'intimidation verbale «inélégantes» qui faisaient pour certains mecs, l'essentiel du discours. Le nivellement par le bas du front...
Je suis vulgaire et j'aime la vie avec des petits bouts des autres dedans. (Et l'amour avec des gros bouts...)

La méchanceté est gratuite. Si elle était payante les cons seraient ruinés.

https://www.youtube.com/@sybel(...)ideos
lartistafred
AethelBridd a écrit :
Âmes sensibles, s'abstenir :
Bon, je tente donc une version totalement fictionnelle spéciale "latisfared". Tu sors du club de sport où tu as travaillé ta "masse sèche". Il est tard. Sur le chemin du retour, une envie pressante se fait sentir, tu dois faire "caca". Le seul commerce qui s'offre à toi est un "bordel à queues" nommé "The House of the Rising Dick". L'entrée est payante mais la "consommation" gratuite. A l'intérieur, après avoir fait ce qu'il fallait (les toilettes étaient propres et il y avait suffisamment de papier), la plus séduisante des "filles de joie" t'accoste. Tu sais que tu as droit à ta "consommation", mais tu n'étais pas entré pour cela et tu sais très bien qu'aucune des "professionnelles" de l'établissement n'est épargnée par les maladies vénériennes (et cela, tu n'en veux pas car ta "masse sèche" serait altérée). Bref, elle s'approche de toi et tu fais irrésistiblement "chapiteau", le "mât" se lève. Tu es très désireux de la prendre comme partenaire de jeu, mais tu te le permettrais pas car ta santé (ta "masse sèche") passe avant tout et tu étais seulement entré pour faire "caca". Tu as le désir, le con est sentant, mais es-tu consentant ?


Ça fait des années que je ne vais plus au gym ( trop de sueur exogène partagée sans mon consentement) je m'entraîne à domicile avec mon équipement spartiate.




vous recherchez un idéal, dans le sens que vous moulez votre corps, c'est ça vous développez votre corps. Vous en changez le contour et vos formes et vos muscles, pour qu'ils prennent l'apparence que vous désirez. C'est d'abord une perception abstraite du corps que vous souhaitez obtenir, vous essayez ensuite d'épouser vraiment ces formes.

Tom PLATZ
Un petit schéma pour résumer :
esprit --> troisième oeil : voit le corps idéal --> corps --> prière du corps --> esprit
Et on recommence autant de fois qu'on veut. ;-)
Moxama
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lartistafred a écrit :

Désirer sans consentir, si tu pouvais développer un peu, ça pourrait être très intéressant, je dis ça sans défiance aucune

Tu peux avoir très très envie d'une personne, mais ne pas être dans des dispositions pour, même si elle est très entreprenante. Parce qu'il y a les gosses à côté, parce qu'elle vient de gerber et en a entre les dents, parce ce qu'elle veut te faire n'est pas du tout ton truc, parce qu'elle veut absolument que son cousin Marcel participe...
Donc tu désires, mais tu ne consens pas.

Sybelle a écrit :

Hors sujet : à Moxama et Slash-36 Faudra s'habituer doucement, dans le cadre de l'égalité femmes-hommes, que nous adoptions parfois quelques techniques d'intimidation verbale «inélégantes» qui faisaient pour certains mecs, l'essentiel du discours. Le nivellement par le bas du front...

Je trouve déjà que c'est assez lamentable quand ça vient d'hommes.
J'aurais préféré qu'on attende à l'égalité en un mouvement dans l'autre sens, mais je t'accorde que les femmes peuvent tout à fait revendiquer le droit à être des gros bourrins comme certains hommes. Et je continuerai à trouver qu'homme ou femme, parler de sexualité crûment et grossièrement devant un public, et en particulier de la sienne, relève d'une regrettable inélégance.

Slash-36 a écrit :

A tel point qu'on pourrait même s'imaginer que ce n'est pas une femme qui nous répond

L'hypothèse me semble douteuse, mais je vois quel est ton raisonnement.
skynet
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Sybelle a écrit :
J'ai un truc qui marche à tous les coups et qui est irréfutable à mes yeux. Je ne sais pas si c'est opposable devant la justice, mais je considère qu'à partir de l'instant où mes doigts franchissent l'élastique du caleçon sans protestation, alors le consentement du garçon m'est de facto acquis.


Je vois que cette question fait débat. A mon humble avis, ce type d’acte a beaucoup moins de chance de finir devant un juge quand c’est une femme qui le commet sur un homme. Que dans le cas contraire: un homme envers une femme.

D’ailleurs, il est fort susceptible de provoquer le désir dans un sens, quand dans l’autre on peut le taxer d’intrusion prédatrice.

Débat sans fin…
Moxama
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skynet a écrit :

A mon humble avis, ce type d’acte a beaucoup moins de chance de finir devant un juge quand c’est une femme qui le commet sur un homme. Que dans le cas contraire: un homme envers une femme.

La prévalence de la force physique des hommes et leur culture de la relation te donnent raison en termes de probabilité.
Mais une femme peut tout à fait violer un homme.
Et un homme peut tout à fait porter plainte pour viol, même venant d'une femme. (Même si pour ces mêmes raisons culturelles absurdes, il ne le fera souvent pas)

skynet a écrit :

D’ailleurs, il est fort susceptible de provoquer le désir dans un sens, quand dans l’autre on peut le taxer d’intrusion prédatrice.

Ca veut dire quoi "provoquer le désir" ?
Lao
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  • Publié par
    Lao
    le 27 Nov 2023, 11:33
Sybelle a écrit :
... C'est pour ça que je mets pas les dents, pas envie de finir mes jours en taule à cause d'un douillet du bout !


Mais sur le fond, à propos de l'élégance, je suis plutôt de l'avis de Moxama - un peu vieux sans doute aussi.
Ceci dit, j'ai eu une collègue qui avait un langage plutôt "direct" et c'est appréciable parfois.
lartistafred
skynet a écrit :
A mon humble avis, ce type d’acte a beaucoup moins de chance de finir devant un juge quand c’est une femme qui le commet sur un homme. Que dans le cas contraire: un homme envers une femme.

D’ailleurs, il est fort susceptible de provoquer le désir dans un sens, quand dans l’autre on peut le taxer d’intrusion prédatrice


Je te rejoins là dessus.

Quand une femme chauffe un mec, il est rare qu'il dise non parce que pour lui ça devient très tendu, tout simplement....
vous recherchez un idéal, dans le sens que vous moulez votre corps, c'est ça vous développez votre corps. Vous en changez le contour et vos formes et vos muscles, pour qu'ils prennent l'apparence que vous désirez. C'est d'abord une perception abstraite du corps que vous souhaitez obtenir, vous essayez ensuite d'épouser vraiment ces formes.

Tom PLATZ
Un petit schéma pour résumer :
esprit --> troisième oeil : voit le corps idéal --> corps --> prière du corps --> esprit
Et on recommence autant de fois qu'on veut. ;-)
Mr Park
Sybelle a écrit :
J'ai un truc qui marche à tous les coups et qui est irréfutable à mes yeux. Je ne sais pas si c'est opposable devant la justice, mais je considère qu'à partir de l'instant où mes doigts franchissent l'élastique du caleçon sans protestation, alors le consentement du garçon m'est de facto acquis.


Il peut simplement être pétrifié, même avec la gaule (ça m'est déjà arrivé mais j'ai fini par envoyer chier).

Ce n'est pas du tout du consentement, d'ailleurs dans le schéma inverse énormément d'histoires ressortent (heureusement) grâce à MeToo: beaucoup d'actrices/chanteuses/whatever se sont faites culbuter parce qu'un mec (souvent en position de force, physique ou mentale) pensait que comme elles ne disaient rien "ça passe".

Avoir la gaule est un réaction physique, cela n'a rien à voir avec le consentement.
Moxama
  • Moxama
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lartistafred a écrit :

Quand une femme chauffe un mec, il est rare qu'il dise non parce que pour lui ça devient très tendu, tout simplement....

Tu entends quoi par "très tendu" ? Tu ne parles que d'érection ou aussi des enjeux de masculinité qu'il y a autour de la situation ?

Dans les deux cas, on est maître de soi, quand même... Il y a 10.000 raisons pour qu'un homme dise non même s'il se fait "chauffer"...
Moxama
  • Moxama
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Mr Park a écrit :

Avoir la gaule est un réaction physique, cela n'a rien à voir avec le consentement.

Je suis d'accord. Et ça n'est même pas systématiquement corrélé à du désir.
skynet
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Moxama a écrit :
skynet a écrit :

A mon humble avis, ce type d’acte a beaucoup moins de chance de finir devant un juge quand c’est une femme qui le commet sur un homme. Que dans le cas contraire: un homme envers une femme.

La prévalence de la force physique des hommes et leur culture de la relation te donnent raison en termes de probabilité.
Mais une femme peut tout à fait violer un homme.
Et un homme peut tout à fait porter plainte pour viol, même venant d'une femme. (Même si pour ces mêmes raisons culturelles absurdes, il ne le fera souvent pas)

skynet a écrit :

D’ailleurs, il est fort susceptible de provoquer le désir dans un sens, quand dans l’autre on peut le taxer d’intrusion prédatrice.

Ca veut dire quoi "provoquer le désir" ?


Provoquer le désir: d’autres , juste un peu avant, ont employé plus crûment « la gaule ».

Tu as raison de parler de prévalence de la force physique. Un homme, même s’il peut se montrer plus faible en cédant à une femme (alors qu’il est marié, fidèle…ou autre), peut facilement dire « non ». Et je ne ne crois pas que dans le cas contraire on le jugera sous emprise.

Une femme, c’est autre chose. De plus, la personnalité féminine est quand même pleine d’ambiguïtés, laissant même supposer à certains que quand c’est « non », et bin c’est « oui ».
lartistafred
Mr Park a écrit :
Sybelle a écrit :
J'ai un truc qui marche à tous les coups et qui est irréfutable à mes yeux. Je ne sais pas si c'est opposable devant la justice, mais je considère qu'à partir de l'instant où mes doigts franchissent l'élastique du caleçon sans protestation, alors le consentement du garçon m'est de facto acquis.


Il peut simplement être pétrifié, même avec la gaule (ça m'est déjà arrivé mais j'ai fini par envoyer chier).

Ce n'est pas du tout du consentement, d'ailleurs dans le schéma inverse énormément d'histoires ressortent (heureusement) grâce à MeToo: beaucoup d'actrices/chanteuses/whatever se sont faites culbuter parce qu'un mec (souvent en position de force, physique ou mentale) pensait que comme elles ne disaient rien "ça passe".

Avoir la gaule est un réaction physique, cela n'a rien à voir avec le consentement.


Le barreau est une expression physique du désir en effet ( qui ne se réveille pas régulièrement sur la béquille ?)

Mais si on n'est pas désirant, le consentement ne peut pas exister...
vous recherchez un idéal, dans le sens que vous moulez votre corps, c'est ça vous développez votre corps. Vous en changez le contour et vos formes et vos muscles, pour qu'ils prennent l'apparence que vous désirez. C'est d'abord une perception abstraite du corps que vous souhaitez obtenir, vous essayez ensuite d'épouser vraiment ces formes.

Tom PLATZ
Un petit schéma pour résumer :
esprit --> troisième oeil : voit le corps idéal --> corps --> prière du corps --> esprit
Et on recommence autant de fois qu'on veut. ;-)
Sybelle
Lao a écrit :
Mais sur le fond, à propos de l'élégance, je suis plutôt de l'avis de Moxama - un peu vieux sans doute aussi.
Ceci dit, j'ai eu une collègue qui avait un langage plutôt "direct" et c'est appréciable parfois.


C'est vrai que les formulations utilisées par les Français d'une certaine génération sont très châtiées pour ne pas dire châtrées. Par exemple, quand vous avez les tripes barbouillées ou l'envie de vomir, vous dites «j'ai mal au cœur»... Ce qui nous fait sourire... Une peine d'amour = une infection intestinale...
Il y a d'autres expressions où vous montrez beaucoup de «pudeur» pour ne pas dire «d’hypocrisie» (cachez ce sein...) et que je ne développerai pas ici, pour ne pas offenser la sensibilité des intervenants.
À mon avis, question élégance, il n'y a pas que le vocabulaire qui importe : les sous-entendus de certains hors-sujets, comme je l'ai indiqué plus haut, me semblent aussi d'une morbidesse approximative. Mais je n'en prends pas ombrage.
Maintenant, passer du temps sur mon vocabulaire, le sexe des anges, ou de savoir qui viole qui, n'est peut être pas le sujet le plus important de ce fil.

Donc à ce que je lis, un viol par non consentement serait possible sans tenir compte du contexte ? Vous vous êtes fait violer (les hommes, je veux dire, moi jamais) dans la rue, au bureau, chez vous sur votre canapé, la nuit quand vous rentrez chez vous ?
Dans le métro à Paris, un type un jour m'a mis la main au cul (c'est assez banal). Personne ne l'a vu, mais moi je l'ai senti. Je me suis retournée et je lui ai caressé les couilles, pardon les testicules, avec mon genou dans un mouvement de bas en haut certes un peu brusque. Tout le monde a bien vu que je n'avais pas son consentement pour le faire. Suis-je une violeuse ?
Autre exemple : une fille (ça m'est arrivé) accepte l'invitation d'un mec à aller dans sa chambre d'hôtel à deux heures du matin prendre un dernier verre après s'être rencontrés dans une boîte de nuit et elle peut supposer que c'est juste pour regarder une série Netflix ?
(Là, vous pouvez inverser les sexes, ça marche aussi)

EDIT : fautes d'orthographe
Je suis vulgaire et j'aime la vie avec des petits bouts des autres dedans. (Et l'amour avec des gros bouts...)

La méchanceté est gratuite. Si elle était payante les cons seraient ruinés.

https://www.youtube.com/@sybel(...)ideos
Mr Park
Je ne comprends rien du tout à ce que tu dis, j'ai surtout l'impression que tu veux dire plein de choses en même temps.
skynet
  • skynet
  • Vintage Ultra utilisateur
    ModérateurModérateur
Sybelle a écrit :
Lao a écrit :
Mais sur le fond, à propos de l'élégance, je suis plutôt de l'avis de Moxama - un peu vieux sans doute aussi.
Ceci dit, j'ai eu une collègue qui avait un langage plutôt "direct" et c'est appréciable parfois.


C'est vrai que les formulations utilisées par les Français d'une certaine génération sont très châtiées pour ne pas dire châtrées. Par exemple, quand vous avez les tripes barbouillées ou l'envie de vomir, vous dites «j'ai mal au cœur»... Ce qui nous fait sourire... Une peine d'amour = une infection intestinale...
Il y a d'autres expressions où vous montrez beaucoup de «pudeur» pour ne pas dire «d’hypocrisie» (cachez ce sein...) et que je ne développerai pas ici, pour ne pas offenser la sensibilité des intervenants.
À mon avis, question élégance, il n'y a pas que le vocabulaire qui importe : les sous-entendus de certains hors-sujets, comme je l'ai indiqué plus haut, me semblent aussi d'une morbidesse approximative. Mais je n'en prends pas ombrage.
Maintenant, passer du temps sur mon vocabulaire, le sexe des anges, ou de savoir qui viole qui, n'est peut être pas le sujet le plus important de ce fil.

Donc à ce que je lis, un viol par non consentement serait possible sans tenir compte du contexte ? Vous vous êtes fait violer (les hommes, je veux dire, moi jamais) dans la rue, au bureau, chez vous sur votre canapé, la nuit quand vous rentrez chez vous ?
Dans le métro à Paris, un type un jour m'a mis la main au cul (c'est assez banal). Personne ne l'a vu, mais moi je l'ai senti. Je me suis retournée et je lui ai caressé les couilles, pardon les testicules, avec mon genou dans un mouvement de bas en haut certes un peu brusque. Tout le monde a bien vu que je n'avais pas son consentement pour le faire. Suis-je une violeuse ?
Autre exemple : une fille (ça m'est arrivé) accepte l'invitation d'un mec à aller dans sa chambre d'hôtel à deux heures du matin prendre un dernier verre après s'être rencontrés dans une boîte de nuit et elle peut supposer que c'est juste pour regarder une série Netflix ?
(Là, vous pouvez inverser les sexes, ça marche aussi)

EDIT : fautes d'orthographe


Je ne me suis pas fait violer non plus. Par contre, je ne veux pas minimiser la douleur de celle à qui ça arrive.

Pour la caresse du genou: tu as bien fait! Bravo.

Il n'est pas certain que toutes les filles aient les couilles de réagir de la sorte.

En ce moment sur backstage...