Skelter a écrit :
Redstein a écrit :
La
femme ??? Jouir de son corps ? C'est un
meurtre !
Mon pote c'est là où tu nages en plein paradoxe.
Toutes tes interventions en faveur de l'avortement le sont sous l'angle de la libre jouissance de son corps ou du bien être. Par contre tu batailles vent debout contre l'existence d'avortement de confort.
A te lire on croirait que le droit à l'avortement est surtout le droit de ne pas subir de dérèglement hormonale et autre transformation physiologiques pendant 9 mois.
Sois un minimum cohérent.
Que les choses soient claires, les avortement de "confort", ou pour employer tes termes de "libre jouissance de son corps" ou de "bien être" c'est epsilon.
La raison principale de l'avortement, et la seule valable à mon sens, c'est l'incapacité matérielle et/ou affective d'assumer la naissance d'un enfant.
PS: oui je suis un gros facho.
Il n’y a aucun paradoxe, aucune incohérence. Par contre, tu me sembles aussi imperméable à la satire que l'autre, là, celui-qu'on-ne-nomme-plus...
Imperméable à la logique, aussi : faut te le dire en quelle langue, que cette idée d'"avortement de confort" est nulle et non avenue ? Que c'est celle d'un gros macho, si pas d'un gros facho ? Que c'est TOUJOURS, et par définition, le jugement d’un tiers ?
Par ailleurs, que cette notion de crétin soit le cheval de bataille de tout ce que nos sociétés comptent de gros nazes rétrogrades mais calculateurs ne t'interpelle pas ? Ça ne te dérange pas de coucher avec Louis Aliot ?
Tu me mets beaucoup de mots dans la « bouche » - tu me les déverses en vrac, d’ailleurs, alors mettons un peu d’ordre là-n’dans : la libre jouissance de son corps n’est que la conséquence automatique du critère de base : libre détermination, c’est-à-dire tout connement
liberté individuelle - car oui, la femme aussi est un citoyen à part entière, même encouplée, même enceinte jusqu'aux yeux, qu'elle soit alors ou non confrontée aux états d'âme, aux pressions, au harcèlement moral et au chantage affectif de son con-joint.
Donc, pour en finir :
« la seule raison valable », c’est la décision de la femme concernée, POINT BARRE.