L'avortement : pour ou contre?

C est un beau dénouement , j ai pu avoir 2 enfants grâce à des processus de fiv . Et il m est arrivé une histoire très similaire pour le second, heureusement qu un médecin très compétent à pu décelé une erreure de diagnostique. Je pense être rarement passe du désespoir à l euphorie en aussi peu de temps . Mon fils de porte bien il est magnifique , c est la première fois que je repense à ce qui aurait pu arriver, ça colle le vertige ...

regarde ta fille et imagine la trisomique....
tu pense toujours qu'il aurait mieux valut qu'elle ne soit pas la????
un enfant handicapé ne mérite t'il pas de vivre??
que se passera t'il si un jour elle devient handicapé?
que penserait tu de elle?

je ne te juge pas mais je ne comprend pas toujours les gens , surtout si tu est dans le monde de l'handicape...

Justement avec toutes les possibilités techniques qui s'offrent à nous à cette époque.... je ne comprends pas que j'aie encore autant de travail !?.... et que je ne soie pas au chômage !....
Sauf bien évidement les accidents ou les handicaps non détectable !

De fait ma fille trisomique serait probablement très mignonne étant petite. Si peut-être qu'elle aurait mérité de vivre !?
Mais pour avoir quelle vie !? une vie d'assistée, une vie en institution!? ou pire encore !.... une vie de souffrance.
Les personnes trisomiques ce ne sont pas que des personnes de bon niveau qui prennent le bus toute seule et jouent dans des films .....
Quelle vie ma femme et moi aurions nous eu !? e1 des deux aurait du arrêter de travailler !? et avec quel argent aurais je payé les frais de santé de mon enfants !? avec un seul salaire d'éducateur !?.... pas possible !...
L'accident qui en découle un handicap c'est différent ! quoi que tout aussi difficile à assumer !....

J'ai des collègues qui ont eu même un enfant handicapé, c'est loin d'être drôle, et la vie est alors aussi loin d'être drôle ....

et à l'inverse, passé de l'euphorie de devenir parent et le désespoir quand un médecin annonce une telle hypothèse ...

ça colle le Vertige, il faut l'avoir vécu !.... c'est inhumain !

je vais pas déballé ma vie sur un forum,mais si ta fille aurait été handicaper ,tu l'aurais sans doute aimé autant qu'un autre enfant et pour rien au monde,tu ne voudrait revenir en arrière pour éviter sa naissance....

Très probablement, tu as raison.
Mais si j'avais pu lui éviter ça je l'aurais fait!...
Évidement je travaille aussi dans une très grosse institution, avec des personnes extrêmement handicapées mentale / physique ! (Comme vous n'avez pas en france - L'institution, pas les personnes ;-) )
J'ai d’ailleurs bcp de personnes françaises....

Avec des si... Justement l'avortement permet à la femme et/ou le couple d'avoir le choix. Ce choix est personnel et personne d'autre n'a le droit de le remettre en cause. Si pour x ou y raison (grossesse non désirée, pauvreté, handicape etc), une femme ne se sent pas capable d'assumer une maternité, il vaut mieux l’interrompre. Le courage d'un couple d'accepter un nouveau né malgré les difficultés est louable mais ceux qu'il n'y arrive pas ne sont pas culpabilisable pour autant.

CGU du forum + code de la proprièté intellectuelle + code pénal.

Dans ce cas, le mal était moindre puisque mon message exact
était situé sur la même page (55) que le travestissement de redstein ; mais il faut savoir que ce dernier a déjà opéré ainsi plusieurs fois sur Backstage et ce pas toujours sur la même page que le message original ; ces méthodes de falsification sont utilisés dans certains régimes et ce n'est pas la couverture de l'humour (mauvais de surcroît) qui peut les justifier.

Wouah, il l'a mauvaise, le DjeesusBot - faut croire que ses concepteurs n'ont pas jugé bon de le doter de l'application "La satire pour les nuls". Bon, il est vrai que les deux megs de RAM, c'était hors de prix à l'époque

Et les pressions contraignant les femmes a ne surtout pas avorter?
Ci pour toi ca marche dans un sens, il faut aussi que cela marche dans l'autre, sinon c'est trop facile.

Je suis d'accord avec toi : c'est la décision de la femme, conseillée objectivement et après un temps de réflexion effectif, comme le prévoit la loi qui n'est pas toujours correctement appliquée sur ces points.

Tout à fait ; et il faut même parfois se garder de ne pas privilégier l'enfant handicapé, tant il est attachant, réactif et communicatif, par rapport à ses frères et sœurs non handicapés, qui, eux aussi, ont bien sûr droit à la même affection.

Je fréquente peu la loi juive - du coup je demande à connaître sa définition d'une "vie sexuelle satisfaisante" dans le cadre d'un couple du premier millénaire, qui plus est uni par les liens d'un mariage, mariage religieux de surcroît... Peut-il l'autoriser à prendre des amants lorsqu'il n'ont plus que les gosses et TF1 en commun ?

Et puisque tu sembles avoir une érudition certaine en matière de philosophie et de religion : comment qualifierais-tu la place de la femme dans la société juive d'antan ?

Ne vois aucune agressivité ni aucun sarcasme dans mes propos - on a beau avoir des pdv bien différents, je trouve que dialoguer avec toi est un plaisir.





Il est vrai que certaines religions ont eu le temps de mettre beaucoup d'eau dans leur vin depuis qu'elles ne sont plus triomphantes... Mais elles SONT le produit d'une organisation tribale dans laquelle la femme était (et reste, souvent) une mineure voire un bien meuble.




Jamais rien lu de Levy, mais ce qu'il y a de sûr, c'est que la lecture du T.d'A. est rien moins que réjouissante... Surtout quand on sort d'un bouquin du style "La femme lapidée", par exemple...

Réjouissant, ce pamphlet l'est (hey, c'est jouli, ça - ce pamphlet l'est, laid ?) - si pas forcément pour sa rigueur scientifique, au moins pour sa vigueur et son intention : un souffle d'air frais dans nos sociétés encore et toujours polluées par la notion de transcendance.

La satire a bon dos ;
et ce n'est là qu'une de tes méthodes ;
une fois, deux fois, trois fois, quatre, fois cela passe (d'un autre côté j'oublie très vite, mais là pas de chance, on est revenu pas loin de cette page), mais au bout de dizaines de fois (je suis pourtant d'un naturel très patient, et très tolérant, qui m'est souvent reproché), je me suis rendu à l'évidence;
et ce n'est pas ta réaction dans le présent message, qui va me faire, pour l'instant, changer d'avis ;
et en même temps je ne suis pas rancunier, la balle est donc dans ton camp ; j'observe ;
sur le fond, pas de problème (si tu abandonnes les manips) ; mais change certaines formes, et pas qu'envers moi.

Tu as fait la preuve de ton hypocrisie sur le topic d'en face. Si tu veux qu'on remette les compteurs à zéro, faudra d'abord aller un peu à Canossa au lieu de te contorsionner rainsi dans le vent.

Mon pote c'est là où tu nages en plein paradoxe.

Toutes tes interventions en faveur de l'avortement le sont sous l'angle de la libre jouissance de son corps ou du bien être. Par contre tu batailles vent debout contre l'existence d'avortement de confort.

A te lire on croirait que le droit à l'avortement est surtout le droit de ne pas subir de dérèglement hormonale et autre transformation physiologiques pendant 9 mois.

Sois un minimum cohérent.


Que les choses soient claires, les avortement de "confort", ou pour employer tes termes de "libre jouissance de son corps" ou de "bien être" c'est epsilon.
La raison principale de l'avortement, et la seule valable à mon sens, c'est l'incapacité matérielle et/ou affective d'assumer la naissance d'un enfant.

PS: oui je suis un gros facho.