fabh a écrit :
Redstein a écrit :
Mais me dire que je suis tombé bien bas, désolé, ça serait inacceptable même si ça ne s'inscrivait pas dans un climat global de malveillance à l'égard des vegans, sur ce fil comme IRL.
T'es vraiment impossible... Après tout ce qui a été dit sur tes différents topics tu penses encore que je suis malveillant à l'égard des vegans? C'est ce genre de message qui ne donne pas envie de continuer à discuter avec toi.
Non, pas du tout : ta remarque malveillante s'inscrivait dans un climat global, mais ça n'était pas nécessairement ton intention.
Celle de brouillard-organik, par contre...
Donc : ce qui me gênait, c'était de m'entendre dire que je serais tombé bien bas
fabh a écrit :
Citation:
Il me semble que tu places sur un piédestal la chasse, pratique de survie millénaire.
Encore une fois, je t'invite à me relire, et pas seulement ce qui t'arranges. Je ne soutiens absolument pas la chasse telle qu'elle est pratiquée aujourd'hui.
EDIT: en revanche, oui, je respecte les quelques mecs, comme notre médaillé d'argent Jean-Charles Valladont, qui chassent à l'arc en essayant de comprendre la nature qui les entourent. Les deux ne sont pas incompatibles.
...car bien entendu, sans arc (ou fusil à la con), il ne serait point possible de « comprendre la nature qui (nous) entoure », hmm ?
Le prétexte est vieux comme Manufrance : on lâche la bride à nos mauvais instincts au coeur de la nature profonde, loin de toute prétention post-inhumanité, puis quand il s'agit de présenter ça sous un jour pas trop bourrin, on parle de Dame Nature et du rapport privilégié qu'on entretient avec elle en zigouillant tous azimuts...
Donc je le redis : s'il est possible (et ça l'est d'ores et déjà) de se nourrir sans torturer ni massacrer 34211234124 animaux non humains par mois...
...
pourquoi diable vouloir aller à la chasse ?
fabh a écrit :
Citation:
Alors dans le cas d'une société qui aurait dépassé le stade de la tuerie et évacué jusqu'au concept de
viande, et en admettant qu'on y trouve encore des gens qui tiendraient absolument à manger de la chair d'animal, et donc à chasser, on peut comparer leur combat d'arrière-garde à celui des coal rollers, non ?
Ou alors leur combat deviendrait celui de la liberté de manger ce qu'il leur plait? Plutôt que d'être forcé de ne se nourrir que de ce qui est autorisé.
Imagine si aujourd'hui le gouvernement interdisait aux gens d'être vegans.
On est nettement plus près de la concrétisation de ton hypothèse : le poids des lobbies des agro-tortionnaires/empoisonneurs est mille fois supérieur à celui des vegans.
Manger ce qu'il me plaît ? Si j'ai envie de me faire ta cervelle avec un filet de balsamique et deux brins de persil, devrais-je passer outre à l'interdit juridique, ou bien simplement me rendre à l'évidence :
on fout la paix aux êtres doués de conscience qui nous entourent ?