Gaza et Cisjordanie : la fête continue

Le problème ce n'est pas le lien mais cette phrase



Ca sent bon le "ils sont partout", "ils controlent les medias" mais apparement ça ne pose pas de problèmes à beaucoup d'entre vous. Par certains des messages ici ou sur le topic politique on voit clairement que la ferveur que déclenche les agissements abjects du gouvernement Israelien en Palestine et maintenant au Liban chez certains d'entre vous, le problème c'est l'existence d'Israel et la rethorique pue les annees 20 du siècle passé

Alors toi tu peux chier des pavés tranquilou mais moi je n'ai pas le droit d'avoir des "états d'âmes" quand je lis tes messages qui contiennent des propos anti-juifs même pas déguisé.

J'ai pas de leçons à recevoir d'un gars qui utilise des mots tels que "hygiène" pour parler des pedal boards, "verrue" ou d'autres termes vraiment pas jojo dans plein de topics. Ce serait trop long de faire la liste car ça fait des années que tu te répends sur de nombreux sujets ton autosatisfaction et ta condescendance, tu as un vocabulaire qui schlingue autant que l'autre qui défend Israel bec et ongles

Mais jusqu'où ira t-il envers et contre tous

Voilà la réponse a l'appel de Macron de cesser de livrer des armes a Israël...
( les US, l'Allemagne)

Netanyahu : "Honte a la France... Nous gagnerons avec ou sans vous... imaginez si l'Iran faisait un embargo sur les armes au Hezbollah et des Houtties... blah blah blahs méprisants..."

Argument d'autant plus moisi que l'Iran est sous un embargo total depuis des décennies !

https://www.leparisien.fr/inte(...)3D%3D

C'était quoi ton ancien pseudo hein ?

Aucune idée

Sur le court terme le plan à l'air solide. Où Gosvoalet a vraiment tort, c'est le long terme. Non seulement le climat avec les autres voisins n'est que superficiellement meilleurs (il n'y a qu'à voir leur attitude sur l'Ukraine). Les saoudiens et les égyptiens ne soutiennent pas Israël. Ils sont juste "pas en conflit" parce qu'ils n'ont pas envie de se fâcher avec les américains. Ensuite, l'économie israélienne est en train de chuter de façon vertigineuse: la société civile est mobilisée donc ne produit plus rien, chaque jour de défense anti-missile c'est un milliard de dollars pour le dôme de fer, chaque attaque c'est je ne sais combien. Les investissements étrangers quittent Israël, les entreprises ferment, les cerveaux et entrepreneurs partent.

J'ai écrit "long terme" mais les soucis risquent de commencer avant. C'est comme avec la Russie et l'Ukraine: il faut tenir compte du fait démographique et géographique.

Je ne comprends pas ranez non plus pour le coup, je n'ai jamais lu de propos "anti-Juifs" de la part de Biosmog Anti-sionistes certainement, mais ça c'est tout à fait toléré et tolérable.

Pendant longtemps j'ai été a-sionniste, estimant qu'Israël était là, comme fait, il n'y avait pas à remettre en cause d'aucune manière son existence, ni même critiquer qu'il se défende. On a déjà eu des discussions là dessus Park. Depuis peu, je commence à être antisionniste: je pense de plus en plus qu'Israël est le facteur d'instabilité de la région. Le problème. C'était mon propos sur la "verrue". On ne peut effectivement condamner mon propos qu'en y associant les individus concrets et l'idée d'éradication. Deux personnes ici l'ont fait. C'est assez détestable comme procédé si c'est intentionnel car c'est déformer mon propos d'une façon perverse, connaissant l'histoire.

Fait troublant, les deux ont dit "je ne sais pas mais je le dis quand même". Etonnant non?

Après, en général, une verrue, on désire s'en débarrasser, avec un bon coup d'azote liquide... Bon, si on associe ce terme à un Etat et à non aux individus de cet Etat, j'imagine que ça reste correct

Azote liquide, non, mais Wyoming ? (Ou Creuse...)

Mais l'Occident prédateur a besoin de sa tête de pont en Orient...

Plus que l'état lui-même, ce sont les dirigeants que j'honnis. extrême droite, intégristes religieux, ...

Je reste persuadé que tous les habitants de la région à la base auraient aimé vivre en paix quels que soient leurs voisins ; mais il suffit de quelques abrutis, assoiffés de pouvoir et violents pour cultiver la haine ; peu de gens sont capables de faire retomber la pression.

Détruire un Etat, ce n'est pas encore détruire une nation. Un Etat cela se détruit institutionnellement, pas avec des substances agressives.



Le seul moyen d'accéder à la paix, c'est de négocier, c'est-à-dire de faire des compromis. Mais quand plusieurs générations de dirigeants, d'un côté comme de l'autre, ont basé leur carrière sur la désignation de l'autre comme étant l'ennemi mortel, on est pas près de négocier, et encore moins de faire des compromis.

J'avais écrit il y a une année qu'avec la réaction d'Israël au 7 octobre, la paix venait de perdre deux générations. On ne sera plus là pour voir la paix. mon bon Lao.

A moins qu'une sorte de Mandela arrive dans un camp ou dans l'autre et dise: OK, on efface l'ardoise, on ne répond pas mais on discute.

Les divers sens du mot peuvent-ils être à l'origine des diverses interprétations ?
https://dictionnaire.lerobert.(...)/etat

As a Palestinian living in the US, I have lost friends, job opportunities – and my faith in humanity

Arwa Mahdawi

But, before I get into that, let me fulfil my duty as a good diaspora Palestinian and recite the obligatory incantation: I condemn Hamas, I condemn Hamas, I condemn Hamas. We Palestinians, you see, are not allowed to open our mouths without someone demanding we denounce violence and condemn Hamas. And then we are told to shut our mouths, to stay silent, while the very same people demanding we decry violence salivate over our deaths and celebrate murder on an unimaginable scale. Anyone an Israeli kills is an act of self-defence. Anyone an Arab kills is an act of terrorism. These are the rules we must all abide by.




As the death toll mounts, as the humanitarian situation in Gaza – and now Lebanon –grows increasingly desperate, politicians across both sides of the aisle in the US keep telling Palestinians that our suffering is all our own fault. Let’s remember where all this started: 7 October. Harris repeated this line during her debate with Donald Trump. Tim Walz repeated this line in his debate with JD Vance.

But that line is a lie. History did not start on 7 October 2023. While that date may mark a tragedy for Israel, every single day for the last 76 years has marked some sort of catastrophe for Palestinians. My paternal grandparents originally lived in Haifa; in 1948, during the Nakba, they were among the 700,000 Palestinians forced to flee or expelled by Israel. Their home was demolished. They lost everything. Eventually they made it back to the West Bank but then, in 1967, my father had to flee again. He became a refugee, unable to ever return to live in the country where he was born. He has, however, taken me back to visit. I went back to his village when I had just turned six and had a brief taste of what a Palestinian childhood is like – by which I mean Israeli soldiers shot teargas at me and raided our village to burn the Palestinian flag.

History did not start on 7 October. But as the world stops to mourn it will for ever be a reminder of whose lives matter.


Traduction machine :

En tant que Palestinienne vivant aux États-Unis, j'ai perdu des amis, des opportunités d'emploi et ma foi en l'humanité.

Mais avant d'aborder ce sujet, permettez-moi de remplir mon devoir de bonne Palestinienne de la diaspora et de réciter l'incantation obligatoire : Je condamne le Hamas, je condamne le Hamas, je condamne le Hamas. Nous, Palestiniens, n'avons pas le droit d'ouvrir la bouche sans que quelqu'un nous demande de dénoncer la violence et de condamner le Hamas. Puis on nous demande de nous taire, de rester silencieux, tandis que les mêmes personnes qui exigent que nous dénoncions la violence salivent sur nos morts et célèbrent des meurtres d'une ampleur inimaginable. Toute personne tuée par un Israélien est un acte d'autodéfense. Quiconque est tué par un Arabe est un acte de terrorisme. Telles sont les règles que nous devons tous respecter.




Alors que le nombre de morts augmente, que la situation humanitaire à Gaza - et maintenant au Liban - devient de plus en plus désespérée, les politiciens américains des deux bords ne cessent de répéter aux Palestiniens que nos souffrances sont entièrement de notre faute. Rappelons-nous où tout cela a commencé : le 7 octobre. Mme Harris a répété cette phrase lors de son débat avec Donald Trump. Tim Walz l'a répété lors de son débat avec JD Vance.

Mais cette phrase est un mensonge. L'histoire n'a pas commencé le 7 octobre 2023. Si cette date peut marquer une tragédie pour Israël, chaque jour de ces 76 dernières années a été marqué par une catastrophe pour les Palestiniens. Mes grands-parents paternels vivaient à l'origine à Haïfa ; en 1948, lors de la Nakba, ils faisaient partie des 700 000 Palestiniens contraints de fuir ou expulsés par Israël. Leur maison a été démolie. Ils ont tout perdu. Ils ont fini par regagner la Cisjordanie, mais en 1967, mon père a dû fuir à nouveau. Il est devenu un réfugié, incapable de retourner vivre dans le pays où il est né. Il m'a cependant emmené lui rendre visite. Je suis retourné dans son village alors que je venais d'avoir six ans et j'ai eu un bref aperçu de ce qu'est une enfance palestinienne, c'est-à-dire que des soldats israéliens m'ont tiré des gaz lacrymogènes et ont fait une descente dans notre village pour brûler le drapeau palestinien.

L'histoire n'a pas commencé le 7 octobre. Mais alors que le monde s'arrête pour pleurer, cette date nous rappellera à jamais qui sont les personnes dont la vie compte.

Oui, c'est sans doute cette commune de la Vienne qui était désignée par le terme "verrue".
Sinon, une autre explication moins capillo-tractée ?

Oui, bien sûr. Il est toujours possible de se rattraper aux branches comme on peut.
On peut aussi dire que l'azote n'a rien d'agressif, c'est juste une matière inerte dépourvue d'intentionalité .

Je doute qu'un journal, peu importe son bord politique, ose désigner un pays, ou un état, sous le terme "verrue", ou pire "tumeur cancéreuse".

Je suis surpris que vous n'arriviez pas à admettre que ce terme est très tendancieux dans ce contexte, surtout quand on dit soutenir la solution de 2 états cohabitant en paix.
Essayez de remplacer Israel par Gaza, et d'utiliser la même désignation. N'auriez-vous pas eu envie de faire un signalement Pharos ?

Bref, ce n'est qu'un problème de forme, j'imagine... ?

C'est une opinion que je partage également. L'erreur vient de 1947-1948. C'était une sacrée bêtise d'imposer un peuple sur un territoire déjà occupé par un autre peuple.