Croyez-vous en Dieu?

Rappel du dernier message de la page précédente :
Redstein
Patchuko, je n'ai rien contre toi (tu t'es emporté tout seul comme un grand hier), mais tes prétentions à distribuer bons points et autorisations de délirer (arf) commencent à m'échauffer les oreilles.

Patchuko a écrit :
RedStein a écrit :
Patchuko, je m'exprime de manière tout à fait calme, posée et absolument pas condescendante.

Mais merde, relis tes messages, et ne me dis pas "oui mais c'est lui qui a commencé"... Il y a bien du mépris et de la condescendance dans tes posts !


Je ne trouve pas - retournes-y vouère Et relis les vôtres tant que tu y es...

Patchuko a écrit :
Citation:
Par ailleurs, tu n'as aucune vocation à juger de l'opportunité qu'il y aurait à s'exprimer ou non sur ce topic. Du coup, si tu n'as rien d'autre à dire, autant t'abstenir.

Je te faisais remarquer que c'est gonflé de débarquer en plein milieu d'une discussion sans avoir visiblement lu les derniers messages et d'attaquer à coups de lieux communs et de cynisme à trois ronds.


"Lieux communs/cynisme à trois ronds" ? C'est toi qui le dis - tu m'as d'ailleurs cité hors contexte (l'histoire du "encore et toujours").

Ce topic est le troisième du nom, je crois - as-tu seulement vu les précédents ?

Et depuis quand faut-il montrer patte blanche avant d'intervenir ?

Patchuko a écrit :
Tu es tellement sûr de savoir ce qu'il raconte que tu ne prends même pas la peine d'essayer de comprendre...


Faux - je me base uniquement sur son charabia en rapport avec mon intervention originelle, qui n'avait rien de condescendant.

Je discute gentiment avec Azazello (qui ne mérite en rien d'être mis dans le même sac que notre énergumène, au fait), et mM vient gratuitement déformer mes propos et mes intentions... Ça ne passe vraiment pas, désolé.

Patchuko a écrit :
RedStein a écrit :
mM a écrit :
RedStein a écrit :
Où ai-je dit pareille chose ?

Quand tu parles d'homme nouveau rationalisé à l'extrême, ça s'apparente totalement à l'homme machine (ou la machine à visage humain).


Tu vois, ça, c'est l'affichage éclatant de ta malhonnêteté fondamentale :
ai-je parlé d'homme "nouveau" (expression connotée s'il en est), d'homme "rationalisé à l'extrême" ?

Tu as parlé d'avènement de l'Homme rationnel, ça peut valoir le coup de développer avant de parler de malhonnêteté fondamentale. Et bordel ça fait des jours que je discute correctement avec la personne que tu traites de malhonnête, alors que je trouve la plupart de tes interventions à la fois mesquines et inutiles.


Oui - j'ai parlé d'"avènement de l'homme rationnel".

Cela veut-il dire que je l'appelle de mes voeux - à supposer que l'on sache ce que cela veut dire ?

Je te rappelle que tout cela partait d'une remarque d'Azazello qui était déjà largement extrapolatrice, si je peux me permettre de m'exprimer ainsi.

Je parle de malhonnêteté de la part de mM et j'étaie cette accusation : il commence par m'accuser à tort d'"anticiper" sur ses dires, puis il continue en me mettant dans la "bouche" des mots lourds de signification que je n'ai ni "prononcés", ni sous-entendus.

CQFD
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'


http://fermons-les-abattoirs.org

- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)
Journeydf
danjunior a écrit :
toutes les religions prônent l'amour du prochain l'universalité de l'Homme enfin tout un inventaire rempli de bonnes intentions... mais on peut constater qu'une réalité : il ya jamais eu autant de conflits dont l'origine est la religion...
bien que cela ne soit pas une référence en matière d'histoire des religions j'aime assez ce mot de Jacques Brel : "Dieu c'est l'homme mais l'homme ne le sait pas.
La seule "religion" que je m'autorise c'est ma croyance en "l'Homme" même si parfois c'en est désespérant..


+1!!!
Acoustic Extravaganza****
jpboogie
J'ai été au catéchisme quand j'étais petit et on m'avait dit :

Citation:
Dieu à fait l'homme à son image
. Et ben dis donc ..........
Boogie Woogie All Night Long (et plus longtemps si nécessaire) !!!
----------------------------------------------------------------------------
https://www.facebook.com/delta17music/
Tof the F*up guy



“ Par mon sang, je suis albanaise. Par ma nationalité, indienne. Par ma foi, je suis une religieuse catholique. Pour ce qui est de mon appel, j’appartiens au monde. Pour ce qui est de mon cœur, j’appartiens entièrement au Cœur de Jésus.”

Petite de stature, avec une foi solide comme le roc, Mère Teresa de Calcutta, se vit confier la mission de proclamer la soif infinie de l’amour de Dieu pour l’humanité, en particulier pour les plus pauvres des pauvres, “Dieu aime toujours le monde et Il nous envoie, vous et moi, pour être son amour et sa compassion auprès des pauvres.” C’était une âme remplie de la lumière du Christ, brûlante d’amour pour lui et consumée d’un seul désir: “apaiser sa soif d’amour et des âmes.”

Cette messagère lumineuse de l’amour de Dieu est née le 26 août 1910 à Skopje, une ville située aux croisements de l’histoire des Balkans. Cadette de Nikola et Drane Bojaxhiu, elle fut appelée Gonxha Agnès ; elle reçut sa première communion à l’âge de cinq ans et demi et fut confirmée en novembre 1916. Le jour de sa première communion, elle fut remplie d’un grand amour pour les âmes. La mort soudaine de son père quand elle avait environ huit ans, laissa la famille dans une condition financière difficile. Drane éleva ses enfants avec amour et fermeté, influençant beaucoup le caractère et la vocation de sa fille. La formation religieuse de Gonxha fut soutenue par la paroisse jésuite très active du Sacré Cœur dans laquelle elle était bien engagée.

A l’âge de dix-huit ans, poussée par le désir de devenir missionnaire, Gonxha quitte sa maison en septembre 1928 pour rentrer à l’Institut de la Vierge Marie, connu sous le nom de Sœurs de Lorette, en Irlande. Là, elle reçut le nom de Sœur Mary Teresa, après Sainte Thérèse de Lisieux. En décembre, elle part pour l’Inde, et arrive à Calcutta le 6 janvier 1929. Après avoir fait ses premiers vœux en mai 1931, Sœur Teresa fut envoyée à la communauté de Loretto Entally à Calcutta et enseigna à l’école de filles, Sainte Marie. Le 24 mai 1937, Sœur Teresa fit ses vœux perpétuels devenant, comme elle disait, “l’épouse de Jésus” pour “toute l’éternité.” A partir de ce moment-là, elle fut appelée Mère Teresa. Elle continua à enseigner à Sainte Marie et en 1944 devint la directrice de l’école. Les vingt années de Mère Teresa à Lorette furent remplies d’une joie profonde, elle était très pieuse, aimant profondément ses sœurs et ses élèves. Remarquée pour sa charité, sa générosité et son courage, sa résistance au travail et douée d’un talent naturel pour l’organisation, elle vécut sa consécration à Jésus, au milieu de ses compagnes, avec joie et fidélité.

Le 10 septembre 1946, en route pour sa retraite annuelle à Darjeeling, Mère Teresa reçut dans le train son “inspiration”, son “appel dans l’appel”. Ce jour-là, d’une manière qu’elle n’expliquera jamais, la soif de Jésus d’aimer et sa soif pour les âmes prit possession de son cœur et le désir de satisfaire cette soif devint la motivation de sa vie. Au cours des semaines et des mois suivants, Jésus lui révéla, par des locutions intérieures et des visions, le désir de son cœur d’avoir“des victimes d’amour”, qui “diffuseraient son amour sur les âmes.” Il la suppliait “Viens, sois ma lumière”. “Je ne peux y aller seul.” Il lui révéla sa douleur devant la négligence envers les pauvres, son chagrin d’être ignoré d’eux et son immense désir d’être aimé par eux. Il demanda à Mère Teresa d’établir une communauté religieuse, les Missionnaires de la Charité, dédiée au service des plus pauvres d’entre les pauvres. Presque deux ans d’épreuves et de discernement passèrent avant que Mère Teresa ne reçoive la permission de commencer. Le 17 août 1948, elle se revêtit pour la première fois de son sari blanc, bordé de bleu et passa les portes de son couvent bien-aimé de Lorette pour entrer dans le monde des pauvres.

Après un stage de courte durée chez les Sœurs de la Mission Médicale à Patna, Mère Teresa retourna à Calcutta et trouva un logement temporaire chez les Petites Sœurs des Pauvres. Le 21 décembre, elle alla pour la première fois dans les bidonvilles. Elle visita quelques familles, lava les plaies de plusieurs enfants, prit soin d’un vieil homme malade allongé dans la rue et d’une femme tuberculeuse mourant de faim. Elle commençait chaque journée en communion avec Jésus dans l’Eucharistie et puis elle sortait, le chapelet à la main, pour le trouver et le servir dans“les rejetés, les mal-aimés, les négligés.” Après quelques mois, ses anciennes élèves la rejoignèrent une par une.

Le 7 octobre 1950, la nouvelle congrégation des Missionnaires de la Charité était officiellement établie dans l’Archidiocèse de Calcutta. Au début des années 60, Mère Teresa commença à envoyer ses sœurs dans d’autres régions de l’Inde. L’approbation accordée par le Pape Paul VI en février 1965 l’encouragea à ouvrir une maison au Venezuela. Ce fut bientôt suivi par des fondations à Rome et en Tanzanie et finalement, sur tous les continents. Commençant en 1980 et continuant à travers les années 90, Mère Teresa ouvrit des maisons dans presque tous les pays communistes, y compris l’ancienne Union Soviétique, l’Albanie et Cuba.

Afin de mieux répondre aux besoins physiques aussi bien que spirituels des pauvres, Mère Teresa fonda Les Frères Missionnaires de la Charité en 1963, en 1976 la branche contemplative des sœurs, en 1979 les Frères Contemplatifs, et en 1984 les Pères Missionnaires de la Charité. Cependant son inspiration n’était pas limitée à ceux qui avaient une vocation religieuse. Elle forma les Coopérateurs de Mère Teresa et les Coopérateurs Malades et Souffrants, personnes de fois et nationalités différentes avec qui elle partageait son esprit de prière, de simplicité, de sacrifice et son apostolat pour les humbles travaux d’amour.Cet esprit inspira plus tard les Laïques Missionnaires de la Charité. En réponse aux demandes de beaucoup de prêtres, en 1981 Mère Teresa commença aussi le mouvement Corpus Christi pour les prêtres, traçantun “petit chemin de sainteté” pour ceux qui désirent partager son charisme et son esprit.

Durant ces années de croissance rapide, le monde commença à tourner son regard vers Mère Teresa et le travail qu’elle avait commencé. Elle reçut de nombreux prix pour honorer son travail, en commençant par le prix indien Padmashri en 1962 et le Prix Nobel de la Paix en 1979, alors que les médias, avec un intérêt grandissant, commençaient à suivre ses activités. Elle reçut tout cela “pour la gloire de Dieu et au nom des pauvres”.

L’ensemble de la vie et de l’œuvre de Mère Teresa témoignent de la joie d’aimer, de la grandeur et dignité de chaque être humain, de la valeur de chaque petite chose faite avec foi et avec amour, et, par-dessus tout, de l’amitié avec Dieu. Mais il y avait un autre côté héroïque de cette grande femme qui fut révélé seulement après sa mort. Cachée aux yeux de tous, cachée même à ses plus proches, sa vie intérieure fut marquée par l’expérience d’un sentiment profond, douloureux et constant d’être séparée de Dieu, même rejetée par lui, accompagné d’un désir toujours croissant de son amour. Elle appela son expérience intérieure, “l’obscurité”. La “ nuit douloureuse ” de son âme qui débuta à peu près au moment où elle commençait son travail pour les pauvres et qui continua jusqu’à la fin de sa vie, conduisit Mère Teresa à une union toujours plus profonde avec Dieu. A travers cette obscurité, elle participa mystiquement à la soif de Jésus dans son désir d’amour douloureux et ardent, et elle partagea la désolation intérieure des pauvres.

Durant les dernières années de sa vie, malgré des problèmes de santé de plus en plus sérieux, Mère Teresa continua à gouverner sa congrégation et à répondre aux besoins des pauvres et de l’Eglise. En 1997, les sœurs de Mère Teresa étaient au nombre d’environ 4000 et étaient établies dans 610 fondations réparties dans 123 pays du monde. En mars 1997, elle bénit la nouvelle supérieure générale des Missionnaires de la Charité récemment élu et elle effectua encore un voyage à l’étranger. Après avoir rencontré le Pape Jean Paul II pour la dernière fois, elle rentra à Calcutta et passa ses dernières semaines à recevoir des visiteurs et à enseigner es sœurs. Le 5 septembre fut le dernier jour de la vie terrestre de Mère Teresa. Elle reçut du gouvernement de l’Inde les honneurs de funérailles officielles et son corps fut enterré dans la Maison Mère des Missionnaires de la Charité. Sa tombe devint rapidement un lieu de pèlerinage et de prière pour les gens de toutes fois, riches et pauvres. Mère Teresa laissa le testament d’une foi inébranlable, d’un espoir invincible et d’une charité extraordinaire. Sa réponse à la cause de Jésus, “Viens sois ma lumière”, fit d’elle une Missionnaire de la Charité, une “mère pour les pauvres”, un symbole de compassion pour le monde et un témoignage vivant de la soif d’amour de Dieu.
Moins de deux ans après sa mort, dû à la réputation de sainteté largement répandue de Mère Teresa et au rapport des faveurs reçues, le Pape Jean Paul II permit l’ouverture de sa cause de canonisation. Le 20 décembre 2002, il approuva les décrets de ses vertus héroïques et miracle
Tophe
Tof the F*up guy
Atheisme :





Staline est d’origine géorgienne (il est né dans la ville de Gori), son père (Vissarion) était cordonnier, il meurt lorsque le petit Joseph à 11 ans. Sa mère, Catherine Guéladzé, fait entrer son fils au séminaire de Tiflis en 1894, Joseph à 15 ans. Dans ses études il fit preuve d’une remarquable mémoire et d'une intelligence tout à fait à la hauteur de ce que demandent ses professeurs. C’est du côté de la foi que Joseph laissa à désirer. Il sera exclu du séminaire pour ses idées marxistes en 1899. A 18 ans, il va se rallier secrètement au Parti social-démocrate de Tiflis. Dès lors il mena une activité révolutionnaire ce qui lui valu d’être déporté en Sibérie à plusieurs reprises. Joseph est alors connu sous son diminutif de Sosso puis sous le pseudonyme de Koba. En 1904, il rejoint le les bolcheviks dont il fut un militant exemplaire ; à nouveau déporté il s’évade et organise au Caucase en 1907 des «expropriations», qui sont en fait des hold-up, pour soutenir le Parti.

En 1912, Lénine le nomme membre du comité central du Parti ouvrier social-démocrate de Russie puis devient le premier directeur de la Pravda, c’est à ce moment qu’il prend le pseudonyme de Staline (=l’homme d’acier). En 1913, il sera à nouveau déporté et ne sera libéré que quelques mois avant la révolution d’octobre dans laquelle il ne joua qu’un rôle marginal. Lors de sa détention il écrivit Le Marxisme et la question nationale ; mais Staline n’est pas un théoricien et on peut dire que la matière de ses écrits lui a été largement inspirée par Lénine ; en tout ce seront cependant treize tomes d’écrits qui nous parviendrons : Les Fondements du léninisme (1924), Les Questions du léninisme (1926), Matérialisme historique et matérialisme dialectique (193 Abrégé de l’histoire du Parti communiste (1937), enfin Les Problèmes économiques du socialisme. Ce sont pour la plupart des discours.).

Il se rallia aux « thèses d’Avril » de Lénine en 1917 et devint, après la révolution ,commissaire du peuple aux Nationalités, il le sera de 1917 à 1922. En même temps, de 1919 à 1922, il sera commissaire à l’Inspection ouvrière et paysanne ; il est, dès ce moment, en rapport étroit avec la Commission extraordinaire, la Tchéka. Il prendra une part active à la guerre civile, c’est lui qui organisa la défense de la ville de Tsaritsyne (le nom de Stalingrad de 1925 à 1961) contre les forces des Blancs de Denikine. Il participa également à la défense de Petrograd contre le général Ioudénitch.

Il a épousé en 1918 Nadejda Alliloueva une jeune fille de 17 ans qui est sa seconde femme. Elle se donnera la mort en novembre 1932, révoltée par la grossièreté de son mari et la cruauté de sa politique, elle lui laissera deux enfants: Svetlana, aujourd’hui américaine, et Vassili, mort en 1962.

En 1922, lorsque le poste de secrétaire général du Parti est crée, sentant l’importance de la fonction, Staline se porte candidat et obtint le poste. En 1924 il parviendra à succéder à Lénine bien que ce dernier ne fut pas tendre envers lui dans son « testament » politique ( en fait son testament est une lettre qu’il avait préparée pour le prochain congrès du parti dans laquelle il dénonce Staline comme étant trop « grossier » pour se maintenir à son poste. Il ne faut pas comprendre « grossier » par des écarts de langage (bien que…) mais par le fait que Staline n’est pas un théoricien et qu’il use de méthodes brutales.)

Staline va habilement jouer des alliances pour affaiblir ses adversaires, on dit qu’il était « prêt à toutes les trahisons ». Bientôt il aura assis son autorité incontestable au sein du Parti et de la société. Il développe la doctrine de la « construction du socialisme dans un seul pays » en opposition à ce qu’il appelle la «révolution permanente» de Trotski, il décide la collectivisation totale des terres (automne 1929) et de l’industrialisation (premier plan quinquennal en 192. Il s’opposera violemment aux thèses de Trotski (commissaire à la guerre) . Pour combattre ce dernier il s’appuya dans un premier temps sur Kamenev et Zinoviev mais finit par les évincés avec Trotski en 1927. Staline s’adonna alors à une pratique qui allait devenir funestement célèbre : la purge.

En 1929, il « purge » la droite du Parti. Staline est désormais le chef incontesté qu’il souhaitait être. Devant les résistances paysannes et industrielles aux collectivisations, Staline déclenche en 1934, après l’assassinat de Kirov, des purges importantes au sein du Parti qui s'étendent de 1936 à 1938. Zinoviev, Kamenev, Smirnov, Boukharine et Rykov seront purgés août 1936 (procès des seize). Mais les purges ne se restreignent pas aux cadres du Parti, des millions d’hommes et de femmes (des officiers –dont le maréchal Toukhatchevski-, des anciens bolcheviks, des membres du Parti…) furent les victimes des terribles purges staliniennes. En 1939, on admet qu’ont été arrêtés plus de sept millions de citoyens, dont au moins trois millions ont péri.

Au niveau international Staline fut longtemps hésitant entre le camps des démocraties libérales et celui des fascismes. C’est parce qu’il ne fut pas convié aux accords de Munich en 1938 qu’il conclut avec Hitler le pacte germano-soviétique de non-agression d’août 1939..

Le pacte était accompagné d’une clause secrète sur les zones d’influences en Europe orientale (partage de la Pologne). Staline ne voulut pas croire à la possible rupture du pacte mais dut s’y résigner, il avait alors pris un sérieux retard dans l’organisation de la défense soviétique, après l’invasion allemande de juin 1941.

En mai 1941, Staline devient homme de guerre, il est élu généralissime et président du Comité d’Etat à la défense. La mobilisation fut général, dans un premier temps le pays plia, puis résista et enfin remporta la guerre. Staline se résigna à accepter l’aide matérielle des démocraties et démantela le Komintern (l’Internationale communiste) en 1943 pour satisfaire ses fournisseurs. En 1943, il participa à la conférence de Téhéran, en 1945 à celles de Postdam et de Yalta.

On ne sait que trop bien qu’après la guerre il plaça les pays d’Europe centrale sous l’influence, toujours plus dominatrice, de l’URSS. Les démocraties populaires florissaient au travers de l’Europe ; mais elles avaient comme funestes compagnes les inévitables purges. Staline réorganisa le Kominform (le Bureau d’information des partis communistes ; la nouvelle Internationale communiste) bien qu’il ne fut pas internationaliste (c’était avant tout la Russie qui l’intéressait) et engagea contre l’Occident, et principalement les Etats-Unis, la guerre froide. Le rideau de fer partageait désormais l’Europe en deux.

A la fin de son « règne » Staline organisa encore de nouvelles purges (« procès de Prague », complot des « blouses blanches »). On a bien saisit les aspects négatifs de l’action politique de Staline, mais il y eut aussi des effets positifs : la création de grandes industries, notamment d’armement, les grands canaux et voies de communication, les barrages et la production d’énergie, le charbon, l’acier, l’alphabétisation, la formation des cadres, la création à partir de 1935 d’une armée disciplinée et entraînée.

Il mourut en 1953 ; des centaines de millions de personnes, dans le monde entier, pleurèrent la disparition du « petit père des peuples ». Ses victimes se comptaient alors par dizaines de millions, exécutées dans les caves de la Loubianka, morts de faim (famines de 1932-33), déportés, victime de l'impérialisme soviétique ou « purgés ». En 1956, Khrouchtchev condamna, lors du 20ème congrès du parti communiste, les crimes de Staline et le culte de la personnalité qui lui avait été témoigné. Son corps fut retiré en 1961 du mausolée de Lénine ; Il repose désormais au pied du mur du Kremlin.
Tophe
Tof the F*up guy
Idéologies athées

Bien que l'athéisme peut se dire n'être pas organisé avant les écritures de Marx (malgré quelques communistes, socialistes, et anarchistes prévieux rejetant Dieu), après Marx a commencé d'écrire et essentiellement a développé le communisme en ce qu'il est au cadeau, un des dogmes principaux, parmi plusieurs autres, est la rejection de religion: complètement, par le contrôle d'éducation et croyance et adoration par l'état.
« Religion est l'opiat de la foule. (Karl Marx) »


L'athéisme est devenu religion organisée, complète avec des héros, semi-dieux en forme des meneurs révolutionnaires, pratiques, et doctrines à travers peut-être presque chaque pays communiste qu'a jamais existé, et l'Allemagne nazi.

Marx n'a pas inventé l'idée d'évolution, mais elle est devenue partie intégrale aux disciples communistes, et en les idées du Socialisme Nationaliste de Hitler. Une partie également intégrale à la théorie évolutionnaire et le darwinisme social implémenté par Hitler et ses alliés fascistes en les pays balkaniquee et Italie est l'idée de « survie des plus idoines, » mais à cette fois elle s'est pris à un niveau extrème. Il a nourri l'holocauste et les varieux génocides implémentés par Hitler et ses disciples de 1932 ou 1933 lorsque Dachau s'est ouvert à 1945 lorsque les camps se sont libérés par les Alliés. Elle donnait à Hitler une vue-de-monde du Ubermensch (homme dessus) et du Untermensch (homme au-dessous); super-humain et sous-humain. Les « sous-humains » étaient marqués pour la destruction ou l'esclavage, bien que les « super-humains » allemands sont devenus maîtres d'Europe pour le temps court qu'ils avaient.

Les taux de mort pour les pays idéologiquement athées tels que l'ancien Allemagne nazi, la Chine maoïste, la Russie leniniste-staliniste, la Cambodge sous les Khmers rouges, Viêt-nam, et Corée du Nord, parmi les autres ne se connaîtront jamais pleinement, mais il y a un devis conservatif de plus que 100 millions. Les efforts génocidaux des Allemands nazis ont tués dix-millions des citoyens soviétiques, en outre de millions des Allemands, Polonais, Français, et autres nationalités à travers l'Europe occupée; bien que les Soviétiques ont tué dix-millions de leurs propres citoyens. En Chine, dix-millions des gens se sont liquidés ou fait travailler à mort, et après que les Khmers rouges étaient déposées en Cambodge, plus que 25% de tous les Cambodgens était morts ou manquants à tout jamais.
Tophe
--
  • --
  • Custom Ultra utilisateur
  • #891
  • Publié par
    --
    le 20 Nov 2008, 00:01
Heu, oui et alors ?
Redstein
Enough already with the cut-and-paste crap, Larry
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'


http://fermons-les-abattoirs.org

- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)
Azazello
Bien joué Larry, le débat commençait à ronronner un peu, là ça devrait repartir...

Ce sont ces idéologies du 19-20e siècle, qui se base en grande partie,le communisme comme le nazisme, sur des éléments rationnels voire même scientifiques, dont je parlais lorsque RedStein se plaignait de l'absence de "raison" chez ses camarades humains...

Mais bon ce sont quand même des arguments un peu spécieux...
Redstein
Azazello a écrit :
Bien joué Larry, le débat commençait à ronronner un peu, là ça devrait repartir...

Ce sont ces idéologies du 19-20e siècle, qui se base en grande partie,le communisme comme le nazisme, sur des éléments rationnels voire même scientifiques, dont je parlais lorsque RedStein se plaignait de l'absence de "raison" chez ses camarades humains...

Mais bon ce sont quand même des arguments un peu spécieux...


J'te l'fais pas dire, Azaz

Content de te retrouver par ici, en tout cas...
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'


http://fermons-les-abattoirs.org

- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)
Azazello
Notons qu'on pourrait faire encore plus retors et parler du "culte de la Raison" instauré en France durant la Terreur mais bon là ce ne serait pas fair-play...
Redstein
Ah, la Terreur... Encore une bonne idée complètement dévoyée par quelques forumers... - euh, Parisiens, j'veux dire - égarés
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'


http://fermons-les-abattoirs.org

- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)
Tof the F*up guy
Tu mentionnes la terreur (le regime de la Terreur) au 18eme siecle (-1 pour l'atheisme), on peut aussi mentionner la nouvelle terreur du culte des mohametans....
Tophe
Redstein
Larry the cable Guy a écrit :
Tu mentionnes la terreur (le regime de la Terreur) au 18eme siecle (-1 pour l'atheisme), on peut aussi mentionner la nouvelle terreur du culte des mohametans....


...ce qui ne va pas dans le sens de ta croisade contre l'athéisme, bud...
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'


http://fermons-les-abattoirs.org

- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)
Tof the F*up guy
RedStein a écrit :
Larry the cable Guy a écrit :
Tu mentionnes la terreur (le regime de la Terreur) au 18eme siecle (-1 pour l'atheisme), on peut aussi mentionner la nouvelle terreur du culte des mohametans....


...ce qui ne va pas dans le sens de ta croisade contre l'athéisme, bud...
Evidemment, mais c'est -1 pour les religieux dans ce cas.
Tophe
Redstein
Larry the cable Guy a écrit :
RedStein a écrit :
Larry the cable Guy a écrit :
Tu mentionnes la terreur (le regime de la Terreur) au 18eme siecle (-1 pour l'atheisme), on peut aussi mentionner la nouvelle terreur du culte des mohametans....


...ce qui ne va pas dans le sens de ta croisade contre l'athéisme, bud...
Evidemment, mais c'est -1 pour les religieux dans ce cas.


Complètement

Dis-donc, c'est sympa d'avoir des expats qui s'expriment ici - tu es aux States depuis longtemps ?
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'


http://fermons-les-abattoirs.org

- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)

En ce moment sur backstage...