20 century boy a écrit :
2ième point
Citation:
(ajoutons que ce linceul donne une representation medieval du christ- barbe, maigreur, clous dans les paume au lieu du poignet-, donc certainement pas contemporaine de celui-ci. Un peu comme si sur l'image, il portait un taille basse, un t-shirt et un telephone portable)
par rapport à la periode où JC aurait vécu, c'est carrement un anachronisme.
je sais pas d'où sortent tes observation sur les échantillons du suaire mais c'est certainement pas d'un magazine scientifique!
Tu presente ces points comme si c'était la fin de l'enquete alors que par la suite, les dernières études en date ont quand même pas mal complétées les analyse de MC.
Citation:
1) Il s’agit bien de sang :
- la totale véracité anatomique des traces de sang, presqu'unanimement reconnue.
efffectivement, quelle preuve... :mdr:
pourquoi je perds mon temps a prouver un truc qui a déja été prouvé et avec lequel même les authorités religieuses ont pris leur distances...
http://www.futura-sciences.com(...)6600/
Pour le sang tu ne reprends que la conclusion sans tenir compte du point "2) Le "sang" qui figure déjà dans mon message du 24 Oct 07, 00:18 am.
Au cas où tu ne l'aurais pas lu, je te remets donc maintenant en italique cette seule partie "2) Le "sang" de mon message du 24 Oct 07, 00:18 am.
:
[
u]"2) Le "sang"-[/u]
MC ne recherche la présence de sang que par des techniques classiques de médecine légale dont nous avons vu qu'elles étaient inadaptées au support.
- La quantité (13) de tests de H et A pour la présence des constituants du sang est impressionnante et tous ces tests sont positifs, sans exception.
Toutes ces études ont été publiées dans des revues scientifiques sérieuses et leur démarche obéit aux règles reconnues.
- Certains, comme Fischer et al., partisans de la thèse de MC, ont mis en doute la spécificité des tests de H et A.
Ces allégations sont hautement sujettes à cautions :
Leurs articles n’ont pas été publiés dans des revues scientifiques
Elles sont basées sur des tests aux résultats étonnants (l’hydrazine dissoudrait l’oxyde de fer, le vermillon…) ou bien des tests très probablement différents de ceux de H et A qu’ils prétendraient contrer.
Enfin, ils n’ont aucune explication sur certains faits comme l’action dissolvante des protéases sur les taches de sang.
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Et comme tu sembles douter du caractère scientifique de cet article, je rajoute seulement maintenant le détail des analyses sur le sang non inclus donc dans mon message du 24 Oct 07, 00:18 am. :
INTRODUCTION
Les principaux scientifiques qui étudièrent les taches de sang furent :
-
d'une part Heller et Adler (H et A dans la suite du texte) qui publièrent leurs découvertes dans plusieurs revues scientifiques et représentent le point de vue officiel du STURP.
Ils conclurent que le sang est vraiment du sang;
-
d'autre part Mac Crone (MC dans la suite du texte) et ses collaborateurs, dont les travaux ne furent pas acceptés par le STURP, et qui publia essentiellement dans la revue de son institut de recherche Microscope. Il entra en conflit violent avec ses contradicteurs du STURP, allant jusqu'à les accuser de fraude et fut exclu, essentiellement pour non respect des protocoles du STURP.
En résumé, MC affirme que :
- l'image dans sa totalité ( image + taches de « sang » ) est une peinture d'ocre rouge, à base de cristaux d'oxyde de fer (Fe2O3) dans un liant protéique (probablement de la gélatine, à base de collagène).
- ce liant de gélatine, vieilli, est la cause de la coloration jaune des fibres de la zone image.
- Cette peinture est rehaussée dans les zones "sang" par du vermillon (sulfure de mercure, HgS) qu’il ne retrouve que dans les taches de sang et pas dans le reste de l’image.
NOTIONS PREALABLES :
Pour comprendre ce qui suit, il faut avoir en tête les notions suivantes :
- le sang est constitué d'une part de cellules (globules rouges et blancs, plaquettes), d'autre part du sérum : solution d'eau salée dans laquelle se trouvent de nombreuses protéines.
La coagulation du sang aboutit à la formation d'un caillot, amas cellulaire emprisonné dans un "filet" protéique se rétractant progressivement et relarguant l'excès de sérum.
- les globules rouges contiennent l'hémoglobine qui donne au sang sa couleur et qui est constituée de :
une protéine : la globine
une molécule d'hème qui fait partie de la famille des porphyrines, caractérisée par la présence d'un noyau métallique en son centre. Dans le cas de l'hémoglobine, ce noyau est du fer. Les porphyrines sont présentes chez les animaux et les végétaux (la chlorophylle est une porphyrine dont le noyau central est du magnésium).
- La question du fer est donc essentielle dans ce débat : le fer peut se présenter sous différentes formes :
.le fer fixé sur la cellulose
.l'hématite (Fe2O3), oxyde de fer, constituant du pigment ocre rouge utilisé dans les peintures
.le fer lié à l'hème de l'hémoglobine.
OBSERVATIONS INITIALES DU STURP 1978
a) Etude macroscopique et au microscope à faible grossissement (50 fois) : Les taches de couleur rouge-brun du sang sont très différentes de l'image :
- elles sont en « positif », comme un décalque sur le suaire, alors que l’image est en « négatif ».
- au niveau macroscopique, l'image non-sang est monochrome (jaune sépia), les taches de sang vont de l'orangé au brun foncé en passant par le rouge.
- au niveau des taches, les fibres colorées sont comme collées entre elles par un liquide visqueux qui aurait pénétré en profondeur ; le "sang" a traversé par endroit toute l'épaisseur du linceul, comme l'a montré l'observation directe par endoscopie de la face jusque là inaccessible (cousue à la toile de Hollande) de 1978. Les fibres colorées de l'image non-sang sont au contraire extrêmement superficielles.
- contrairement aux zones image non-sang, le microscope décèle la présence d'amas de matière allant du rouge-orange au jaune-orange entre les fibres.
- la coloration des fibres elles-mêmes dans les zones sang (jaune orangé) est nettement différente de celle des fibres de l'image non-sang (jaune translucide).
b) Spectrophotométrie
De nombreuses analyses des spectres de réflectance furent effectuées sur différentes zones du suaire. Elles permirent de conclure que l'on ne pouvait observer aucune signature spectrale caractéristiques des pigments et teintures courantes.
c) Fluorescence UV :
Comme nous l'avons vu aucune de ces méthodes ne décèle sur le suaire la présence de molécules utilisées dans les pigments, en dehors du fer.
Ceci est vrai aussi des taches de sang :
- les taches de sang réfléchissent moins la lumière que l'image et ne sont pas fluorescentes, ce qui est attendu s'il s'agit bien de sang
- on détecte autour de certaines taches de sang, la présence d'un halo fluorescent à limite nette. Ceci pourrait correspondre à un exsudat de sérum formé lors de la rétraction du caillot: le sérum sanguin est en effet légèrement fluorescent.
La fluorescence UV permet de tester l'affirmation de MC selon laquelle le liant de peinture serait du collagène qui contient des acides aminés fluorescents.
L'absence de fluorescence de la zone image va contre cette hypothèse, mais on a pu objecter que le vieillissement du collagène ou l'effet de l'incendie de 1532 ont pu entraîner ce résultat.
Cependant Heller fait remarquer que la couleur jaune des fibres, s'il s'agit de collagène, traduit la présence d'acides aminés aromatiques qui devraient entraîner la fluorescence.
D'autre part Miller a testé une bible du 13ème-14ème siècle contenant du collagène et a pu observer la persistance d'une fluorescence malgré l'âge très ancien.
En résumé, l'absence de fluorescence UV de la zone image traduit très probablement l'absence de collagène nécessaire à la théorie de MC.
d) La Fluorescence aux rayons X et la question du Fer :
Rappelons que cette méthode est très sensible dans la détection des métaux, dont le fer.
Elle ne peut cependant pas différencier entre les formes sous lesquelles il se présente : fer de l'hémoglobine, oxyde de fer naturel, oxyde de fer des pigments comme l'hématite.
- Le fer est décelé en faible quantité sur le fond du suaire de façon à peu près homogène.Il proviendrait de l'eau du rouissage, utilisée dans le processus de fabrication du tissu.
- Le fer est décelé en haute concentration (20 à 40 microgr./cm2) dans les taches de sang, ce qui est considéré généralement comme compatible avec les quantités de fer présentes dans le sang.
- En dehors des taches de sang et dans les limites de détection de l'appareil, il n'y a pas en général d'accumulation de fer dans l'image (il a été estimé que l'appareil pouvait déceler des différences de concentration de 5 microgrammes/cm2). Les seules exceptions concernent la région des pieds (tache d'eau dans une zone non-image) et la région du visage (image), où l'on observe une discrète accumulation statistiquement significative de fer par rapport au fond du suaire.
- La question des seuils de détection est critique pour une théorie de la peinture à base d'oxyde de fer comme celle de MC : pour que l'image puisse être rapportée à une telle peinture, il est nécessaire (mais non suffisant) que :
la quantité de fer donne une coloration visible par l'oeil humain. Cette quantité minimale nécessaire a été estimée indépendamment par Morris et al. et Pellicori à environ 2 microgr.Fe/cm2. MC parle de 3 microgr.Fe/cm2.
il existe une corrélation étroite entre la densité de l'image et la quantité de fer : à l'aide d'un spectromètre de précision de 2,5 microgr.Fe/cm2, Morris et al. étudièrent une zone du visage présentant de fortes variations d'intensité de densité de l'image.
La fluorescence X ne décela aucune variation significative de la densité de fer dans cette zone. Bien que la précision de l'appareil soit "limite" pour déceler les très petites variations de fer décelables par l'oeil humain et donc susceptibles de jouer un rôle dans l'image, il est peu probable, si elles existent, qu'elles puissent expliquer de telles différences de coloration.
- le calcium et le strontium sont détectés par fluorescence X de façon diffuse, probablement en rapport avec le rouissage du lin.
- le potassium, constituant du sang, ne fut par retrouvé par cette technique dans les taches de sang. Ceci est, pour MC, un argument important contre la présence de sang. Cependant, dans le sang entier, le pic de potassium est 10 fois plus faible que le pic de fer et de plus, hautement soluble il a pu être dispersé par l'humidité. D'autre part du potassium sera décelé par les méthodes microchimiques.
L'absence de potassium décelable en fluorescence X traduit seulement une limite de cette technique.
(Pour le lecteur pressé, aller directement au récapitulatif)
ANALYSES MICROCHIMIQUES :
Il s'agit là des analyses effectuées sur les prélèvements de surface de 1978 grâce à des rubans adhésifs spéciaux. Parmi ces prélèvements certains concernaient les zones tachées de sang. Ces échantillons, contenant chacun plusieurs centaines de fibres furent d'abord confiés à MC avant d'être, non sans difficulté, données à H et A.
a) Tests chimiques standard de détection du sang en médecine légale (MacCrone) :
- selon MC : " j'ai utilisé les tests standard de détection du sang. Je n'en ai pas trouvé. Il n'y a pas de sang sur le suaire".
Ailleurs il précise ces tests, couramment utilisés en médecine légale : benzidine, luminol, Teichman, phénolphtaléine et acide sulfurique sous fluorescence UV.
- selon H et A : les résultats négatifs de MC sont sans signification. En effet, pour être utilisables, le sang doit d'abord être mis en solution, par divers procédés chimiques.
En 1973, une équipe italienne avait recherché sans succès la présence de sang sur les taches du suaire en utilisant le même type de tests. Or le rapport sur ces tests établi que "les incrustations colorées ne passaient pas en solution dans les solvants, acides et alcalins utilisés".
MC ne semble pas avoir vu le problème puisqu'il écrit, à propos des travaux de cette équipe "qu'ils ne pouvaient pas être mis en défaut".
H et A, compte tenu de la grande difficulté à solubiliser ce matériel et aussi du manque de spécificité de ces tests, conclurent qu'ils étaient sans valeur dans le cas du linceul et cherchèrent à élaborer des tests spécifiques permettant de contourner ce problème.
b) Recherche de porphyrine (H et A)
Comme nous l'avons vu l'hème de l'hémoglobine est une porphyrine.
- test à l'hydrazine+acide formique :
Ce test fut mis au point par H et A sur du lin espagnol vieux de 3 siècles et imprégné de sang deux ans auparavant. Il se révéla à la fois sensible et spécifique de la porphyrine, sans pouvoir caractériser davantage celle-ci.
L'hydrazine réduit le fer qui est ensuite déplacé par l'acide formique.
L'illumination sous UV produit une fluorescence rouge caractéristique.
Le test se révéla positif sur toutes les fibres rouges testées.
- microspectrophotométrie :
Cette technique consiste à éclairer un échantillon sous différentes longueurs d'onde et à mesurer l'absorption pour chaque longueur d'onde, permettant d'obtenir un spectre.
La présence d'une molécule donnée se traduit par un pic dans le spectre. Le sang ne possède pas de "signature" spectrale unique car le résultat dépend de nombreux paramètres (état chimique de l'hémoglobine, son état d'agrégation etc.).
En revanche, la porphyrine de l'hémoglobine donne une bande caractéristique, dite bande de Soret à 410 nm. Selon Heller cette bande est totalement spécifique de la porphyrine. Le résultat fut positif aussi bien sur une grosse particule rouge extraite d'un échantillon que sur une fibre entière. Ce résultat fut confirmé ensuite sur toutes les fibrilles rouges testées.
Les taches de "sang" contiennent de la porphyrine, comme l'hémoglobine, sans que le type précis de porphyrine ait pu être caractérisé.
c) Recherche des protéines (H et A et MC) :
La mise en évidence et la caractérisation de protéines est importante.
Le sang contient des protéines (albumine, globulines diverses) dans le sérum et les caillots. Certains liants de peinture contiennent aussi des protéines, comme la gélatine à base de collagène (protéine de soutien des tissus conjonctifs animaux). MC affirme que l'image est une peinture à base de liant protéique "probablement du collagène".
-
Test au noir amido (MC) :
Ce test est classiquement utilisé pour la détection des protéines.
MC affirma la positivité de ce test sur les échantillons 3CB et 1AB, concluant ainsi à la présence de son liant protéique probablement à base de collagène.
En fait, cette affirmation fut facilement contredite sur les arguments suivants :-les échantillons testés par MC appartiennent à des zones contenant des taches de sang
-ce test est peu spécifique sur la cellulose et donne des faux positifs. Il est en fait adapté aux surfaces imperméables de peintures et pas du tout aux surfaces poreuses comme le lin.
-
Test à l’hydrazine (H et A / MC ?) :
L’hydrazine dissout les protéines des particules de sang et donne une réaction colorée spécifique dite hémochromagène. Il ne dissout pas l'oxyde de fer.
H et A récoltèrent des particules rouges et observèrent effectivement leur dissolution et l'apparition de la couleur hémochromagène typique.
Après dissolution, il ne reste aucune particule : les particules contiennent des protéines et ne contiennent pas de cristaux d’oxyde de fer.
MC se contente d'affirmer, sans précision, que l'hydrazine ne dissout pas les particules.
-
Test à la fluorescamine (H et A) :
Après avoir testé un grand nombre de réactifs pour leur sensibilité et leur spécificité, H et A choisirent la fluorescamine (sensibilité de l'ordre du nanogramme : milliardième de gramme !)
Ils testèrent de très nombreuses fibres provenant des zones sang, des halos de supposé sérum entourant certaines taches de sang, des fibres de la zone image non-sang et divers contrôles.
Leurs résultats furent sans ambiguité : ils ne purent déceler de protéine par cette technique que dans les zones sang et sérum (augmentant ainsi la probabilité qu'il s'agit bien de sérum), et démontrèrent son absence dans les fibres de la zone image non-sang.
Compte tenu de sa très forte sensibilité, ce test élimine définitivement la possibilité de la présence d'un liant protéique (et donc de peinture de ce type) à l'origine de l'image (non-sang) comme l'affirme MC.
-
Test au vert de Bromocrésol (H et A) :
Ce test est spécifique de l'albumine, principale protéine du sang.
Il se révéla positif dans les gros amas orangés mais aussi dans les fibres provenant du "halo" décelable par fluorescence UV autour de certaines taches de sang confirmant ainsi qu'il s'agissait bien de sérum. Les constituants du sang autres que l'hémoglobine sont bien présents.
- Tests aux protéases (H et A) :
Ces enzymes sont des molécules d'origine biologique capables de dissoudre les protéines.
- H et A démontrèrent qu'une solution contenant ces enzymes était capable de dissoudre totalement en 30 minutes, sans laisser de résidu, les particules rouges non biréfringentes recouvrant les fibrilles des zones sang, mais aussi les autres globules orangés.
- En revanche les particules biréfringentes extraites des cernes d'eau n'étaient pas dissoutes par ces enzymes, démontrant ainsi définitivement qu'elles étaient d'une nature différente de celles trouvées dans les zones sang : c’est l’oxyde de fer découvert dans les cernes d’eau (voir plus bas).
- Un élément essentiel fut découvert à ce moment là : après dissolution des taches de sang, les fibres sous-jacentes sont incolores c'est à dire qu'elles n'ont pas la coloration jaune des fibres de la zone image. On peut en déduire que l'image s'est formée après l'imprégnation du tissu par le sang et que celui-ci a empêché la formation de l'image là où il était présent.
d) Détection de bilirubine (H et A) :
La bilirubine est un produit de dégradation de l'hémoglobine.
Elle est normalement présente en très faible quantité dans le sang, mais son taux augmente considérablement dans certaines conditions comme de violents traumatismes répétés avant la mort.
H et A décelèrent des fibres et des particules ayant une coloration brun/vert olive et suspectèrent la présence de bilirubine.
- Utilisant un réactif spécifique, ils obtinrent de l'azobilirubine de couleur bleue caractéristique. En rajoutant de l’acide, ils obtinrent une couleur violet pâle caractéristique, ce qui renforce encore la probabilité de la présence de bilirubine. Ce test démontrant la présence de bilirubine fut positif aussi sur les globules orangés et sur les fibrilles rouges orangées partout où elles se trouvaient.
- La présence de bilirubine permettrait d’expliquer la coloration trop rouge du sang, anomalie décelée depuis longtemps et argument des sceptiques : le sang vieilli est en effet plus brun que rouge.
La bilirubine (jaune orangée) associée à la méthémoglobine (brun rouge) pourrait expliquer la couleur rouge vif de certaines taches de sang du suaire.
e) Détection de méthémoglobine (H et A)
-Nous avons vu plus haut que la signature du sang en microspectrophotométrie n'était pas unique mais dépendait de son état chimique etc. (cf. microphotospectrométrie).
H et A affirmèrent avec prudence que le spectre des fibrilles était "indicatif" de la méthémoglobine dénaturée et oxydée, qui est la forme d'hémoglobine à laquelle on peut s'attendre pour du sang vieux d'au moins 6 siècles. Ce résultat fut confirmé par un spécialiste de l'hémoglobine sous toutes ses formes, Bruce Cameron.
- H et A effectuèrent un autre test plus spécifique utilisant une solution cyanhydrique neutralisée qui réagit avec la méthémoglobine brune pour former de la cyanméthémoglobine rouge.
Toutes les fibres sang testées donnèrent cette réaction confirmant la présence de méthémoglobine, hémoglobine dénaturée dans les taches de sang.
encore une fois banni pour bondieuseries (skynet)