Lao a écrit :
A moins de 100m de chez moi, boulangerie, charcuterie, boucherie, épicier, cafés, tabac, coiffeur, etc ... (
j'habitais Paris 18ème) et tous les commerçants me connaissaient (ma grand-mère était concierge
).
Depuis il faut faire des kilomètres avec sa voiture. La vie sociale a été complètement bouleversée. Bon comme tu le sais on s'y fait ...
Si c'est le quartier rue Letort auquel tu fais référence, je ne dirais qu'une chose :
quelle chance !
Encore aujourd'hui on y trouve tout, et même un torréfacteur...je n'ai hélas pas les moyens d'y habiter.
Sur un plan plus général, les petites villes voient leurs boutiques en centre ville fermer les unes après les autres, ne restent que quelques supérettes aux tarifs plus chers qu'ailleurs.
Les habitants non motorisés sont bien embêtés quand il s'agit d'aller s'acheter des chaussures ou bien des vêtements...Kyabi et consorts sont en dehors de la ville et soit une bonne âme peut les y conduire, soit il y a à peu près deux bus par heure...
SupaDog a écrit :
Et que les profits des investisseurs et des entrepreneurs ruissellent comme par magie dans les poches de ces salauds de pauvres qui n'en foutent pas une rame...
Le ruissellement cher à Macron premier existe bel et bien : les premiers de cordée chient sur ceux qui les suivent, et c'est souvent de la chiasse...donc oui, ça ruisselle en effet.
vous recherchez un idéal, dans le sens que vous moulez votre corps, c'est ça vous développez votre corps. Vous en changez le contour et vos formes et vos muscles, pour qu'ils prennent l'apparence que vous désirez. C'est d'abord une perception abstraite du corps que vous souhaitez obtenir, vous essayez ensuite d'épouser vraiment ces formes.
Tom PLATZ
Un petit schéma pour résumer :
esprit --> troisième oeil : voit le corps idéal --> corps --> prière du corps --> esprit
Et on recommence autant de fois qu'on veut. ;-)