Après la drague...

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ZePot
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    ZePot
    le 13 Oct 2009, 16:10
Redstein a écrit :
Ça sort d'où ce truc que nan, je ne googlerai pas ?


Comme je le disais, c'est, à l'instar du "dans ton cul" en france, une petite blague nulle que tu places dès que tu peux.

Sauf que TWSS ne répond pas à la question "où". Tu peux le placer en réponse à une phrase ayant un double sens à connotation sexuelle.
Exemple :

- how are you doing? (dans le sens "comment tu t'en sors ?")
- man this is hard
- that's what she said!

C'est gratuit, hors contexte, le double sens n'a pas besoin d'être subtil. Comme notre DTC, en fait.

J'explique bien ?
ZePot
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    ZePot
    le 13 Oct 2009, 16:11
AnGeL_Of_SiN a écrit :
ZePot a écrit :
Ne le prends pas mal Angel, mais je ne sais pas si tu fais de l'humour absurde ou si tu n'as rien compris à l'utilisation du TWSS.


c'est de l'humour absurde au troisième degré, merci pour moi.

No offense, tout le monde n'est pas censé connaître ça
JumpingJack
ZePot a écrit :
Redstein a écrit :
Ça sort d'où ce truc que nan, je ne googlerai pas ?


Comme je le disais, c'est, à l'instar du "dans ton cul" en france
D'où la blague d'Angel. Dans son message, remplace le TWSS par DTC, et tu devrais être sur une piste...

Moi j'ai ri.
ZePot
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    ZePot
    le 13 Oct 2009, 16:15
J'ai bien compris !
AnGeL_Of_SiN
ZePot a écrit :
Redstein a écrit :
Ça sort d'où ce truc que nan, je ne googlerai pas ?


Comme je le disais, c'est, à l'instar du "dans ton cul" en france, une petite blague nulle que tu places dès que tu peux.

Sauf que TWSS ne répond pas à la question "où". Tu peux le placer en réponse à une phrase ayant un double sens à connotation sexuelle.
Exemple :

- how are you doing?
- man this is hard
- that's what she said!

C'est gratuit, hors contexte, le double sens n'a pas besoin d'être subtil. Comme notre DTC, en fait.

J'explique bien ?


l'avantage réside quand même dans le fait que 'that's what she said' n'est pas une phrase vulgaire et que la multiplicité des contextes possibles rend la blague un peu moins bassement "pipicaca" que le fameux 'dans ton cul'. Sinon, je crois que ça vient d'une série, à l'origine, moi je tiens ça d'un pote qui a passé quelques temps aux USA...
« En conclusion, Backstage est un préservatif assez ouvert, mais ça ne permet pas d'y raconter n'importe quoi. On peut faire dans la petite culotte, mais avec finesse et sans exagération sur des sons gutturaux intéressants. Tout le voltmètre vous en sera reconnaissant. »

« En réalité, je le répète, ceci est un forum de guitaristes. Qui plus est, un forum de guitaristes dits comiques. Ou au moins, qui tentent de l'être... »
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« l'esthétisme c'est pour les fans de Pink Floyd. Le metal c'est la mort et la bestialité extrême jusqu'à la destruction éternelle ! Satan commande mon âme jusqu'au désastre total !!!
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ZePot
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    ZePot
    le 13 Oct 2009, 16:20
On le voit dans beaucoup de séries. Dans ma série culte The Office ils n'arrêtent pas.

C'est vrai que la vulgarité de DTC me gêne, alors que TWSS passe mieux. Ca reste du niveau CE2, d'ailleurs c'est pas un hasard si c'est la blague préférée de Michael Scott.

Redstein
ZePot a écrit :
Très intéressant ton lien, pierre rouge.

Cespedes a écrit :
Dans ces conditions, maintenir le fantasme de l'amour-toujours fabrique des générations entières de névrosés.

C'est sans doute vrai.

Cespedes a écrit :
Aujourd'hui, le discours sociologique dominant est très réactionnaire : la crise de l'autorité et les nouvelles formes de sauvagerie sont rattachées à l'implosion de la famille nucléaire. Eh bien, je pense exactement le contraire : c'est le maintien d'un tel impératif familialiste qui rend les gens dingues. La violence symbolique, c'est Noël et la Saint-Valentin martelés pendant des mois à la télé, alors que tous les encouplés sont profondément malades.

Mais quelle alternative ? La famille est pour beaucoup de gens le seul lien social qui reste. Moi qui « télétravaille », à la pointe de la modernité donc, si je n'avais pas ma famille je ne verrais pratiquement personne. Il en va de même pour des millions de vieux, de chômeurs, de RMIstes...

De même que ce que Cespedes appelle « le fantasme de l'amour-toujours » permet à un certain nombre de gamins de grandir dans un environnement stable.


Il n'est pas question de condamner l'idée de "famille". Juste de constater que le modèle classique ne fonctionne plus.

Quelle alternative ? Voilà ce qu'il dit dans une interview que je n'ai pas fini de lire mais que j'vais quand même quoter au long :

Citation:
Raison pour laquelle j'ai voulu réfléchir ici à un nouveau modèle, la « constellation », un réseau anarchiste, dans lequel l'individu tient une place centrale et choisit sa famille.


Un exemple ET un contre-exemple dans la littérature populaire, tiens : le "Friday" de Robert Heinlein - on trouve d'ailleurs sa trad. en français sous le titre "Vendredi" (pas possible ?)

Ou encore :
Citation:
je cherche à imaginer de nouvelles formes de solidarité et de liens amoureux qui prennent acte de l'échec du triangle infernal occidental « Papa, Maman et Moi ». Les séquelles sur l'âme humaine de la famille patriarcale, Freud en est le magnifique analyste, mais qu'un psy essaie d'appliquer ça aux modèles familiaux africains et le divan sera pour lui !



Voilà l'interview en question (dont on a déjà eu des échos, pas forcément formulés exactement de la même manière) :

Citation:
(Le Nouvel Observateur, 1er mai 2003)

SEXE, MENSONGES ET POLITIQUE

Après l'amour au temps des cathédrales, l'amour au temps des hypermarchés. Dans Je t'aime, un philosophe de 30 ans arpente le désastre du couple occidental.

« Si une lettre d'amour n'est pas porteuse des enjeux politiques les plus élevés, elle n'est rien. Partir par amour, se transformer par amour, cela est politique. Le reste n'est que sensualisme ou conformisme. » Ces mots de Kafka, les comprend-on encore ? Depuis les essais avortés des années 1970 pour faire de l'amour une expérience révolutionnaire, la politique de l'amour aujourd'hui, c'est celle du chien crevé au fil de l'eau. Couples jetables, vaines tentatives pour rafistoler la famille, triomphe du porno et nunucherie affective, etc. Le grand fiasco de l'Occident, c'est aujourd'hui l'amour, affirme Vincent Cespedes. Ou il se résigne à en mourir ou il redevient révolutionnaire.


Le Nouvel Observateur. — Les sociétés occidentales perpétuent la fiction enchantée du couple tout en bombardant les individus de suggestions sexuelles qui le détruisent. Comment interprétez-vous cette scizophrénie ?

Vincent Cespedes. — Avant tout comme un puissant moyen d'aliénation à relier à la logique du capitalisme. Incitation au couple et tabassage du couple : depuis trente ans, la société de consommation tire toute son énergie de cette double contrainte contradictoire. Voyez les messages publicitaires. D'un côté l'absurde « famille Ricorée », « le soleil vient de se lever… », parents et enfants radieux, etc. De l'autre, une incitation au sexe consommable, un dévoiement total du carpe diem en hédonisme d'hypermarché, en « profite de tout et de tous! ». La sexolâtrie triomphante, ajoutée à l'incroyance religieuse, rend l'amour exclusif intenable. Si cette fiction survit à l'effondrement du judéo-christianisme, c'est parce qu'elle sert le marché. Une fois les gens enferrés dans des couples minables, une routine dépravante, seuls le bidule miraculeux et la brochure « Club Med » leur permettent d'oublier.

N. O. — Le capitalisme a deux siècles, les maux de l'amour et l'ennui n'ont pas d'âge…

V. Cespedes. — Sans doute, mais l'idée d'amour a une histoire. Voyez Denis de Rougemont ou Émile Durkheim. La société crée dans une large mesure la façon d'aimer. Or la logique même de la postmodernité, c'est l'impossibilité de prendre en charge le long terme. Dans ces conditions, maintenir le fantasme de l'amour-toujours fabrique des générations entières de névrosés.

N. O. — Mais n'est-ce pas plutôt le nomadisme célibataire que vous prônez qui s'avère en conformité avec ce dessein libéral ?

V. Cespedes. — Mais je ne prône pas ça ! Au contraire, je cherche à imaginer de nouvelles formes de solidarité et de liens amoureux qui prennent acte de l'échec du triangle infernal occidental « Papa, Maman et Moi ». Les séquelles sur l'âme humaine de la famille patriarcale, Freud en est le magnifique analyste, mais qu'un psy essaie d'appliquer ça aux modèles familiaux africains et le divan sera pour lui ! Aujourd'hui, le discours sociologique dominant est très réactionnaire : la crise de l'autorité et les nouvelles formes de sauvagerie sont rattachées à l'implosion de la famille nucléaire. Eh bien, je pense exactement le contraire : c'est le maintien d'un tel impératif familialiste qui rend les gens dingues. La violence symbolique, c'est Noël et la Saint-Valentin martelés pendant des mois à la télé, alors que tous les encouplés sont profondément malades.

N. O. — Quel modèle alternatif, alors ? On ne peut pas dire que le communautarisme des années 1970 ait été une réussite pratique éblouissante !

V. Cespedes. — Rien n'est plus occulté que ces expérimentations sociales, réduites à des caricatures baba-cool débiles. Même chose pour les réflexions de Fourier sur l'amour pivotal dans Le Nouveau Monde amoureux, œuvre d'une modernité stupéfiante. Quand on analyse la cause de leur échec, on trouve toujours le dégoût de la grégarité. À l'ère de l'individu, les Occidentaux ne peuvent plus s'effacer dans le groupe, c'est ainsi. Raison pour laquelle j'ai voulu réfléchir ici à un nouveau modèle, la « constellation », un réseau anarchiste, dans lequel l'individu tient une place centrale et choisit sa famille.

N. O. — À vous lire, le bilan du féminisme est assez maigre. Non seulement il a peu fait progresser la condition des femmes, mais en crispant les hommes il contribue au grand naufrage de l'amour en Occident…

V. Cespedes. — La peur de la femme, la gynophobie, est ici plus larvée mais tout aussi forte que dans les sociétés orientales. Et le féminisme à la Beauvoir n'a fait que renforcer ça. Parité, mixité, négation de la différence des sexes, etc. : le féminisme quantitatif modifie peu l'image de la femme. D'ailleurs les mœurs à peine émancipées dans les années 1970 ont été pornographiées depuis, c'est-à-dire reconduites en esclavage. Que dit le porno, ce discours en fait très puritain et anti-érotique ? Que le désir secret de la femme est d'être une chienne soumise à quatre pattes. Un message qui, sous couvert de rassurer les mâles, les aliène à un devoir de domination. Si une révolution des sensibilités amoureuses doit avoir lieu, elle passera par les femmes. Elles sont davantage faites pour les amours libres, plurielles, car elles ont moins de mal à s'affranchir du besoin de contrôler l'autre. « Quand sera brisé l'infini servage de la femme », pour reprendre les mots de Rimbaud, nous verrons enfin des amours heureuses.
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'


http://fermons-les-abattoirs.org

- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)
Redstein
Merci pour les explications, les amis - j'me coucherai moins con ce soir
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StarsRfallin
Cespedes a écrit :
Dans ces conditions, maintenir le fantasme de l'amour-toujours fabrique des générations entières de névrosés.

Merci !!!!
Ce n'est donc pas ma faute ! Haha ! Il va voir c'qu'il va voir mon psy demain !!

A. qui trouve des excuses

BTW, je ne connaissais pas le TWSS. J'aime bien.
Mother fuckin' Princess A.


« Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. »
Apocalypse 3:14-16
Redstein
StarsRfallin a écrit :
Cespedes a écrit :
Dans ces conditions, maintenir le fantasme de l'amour-toujours fabrique des générations entières de névrosés.

Merci !!!!
Ce n'est donc pas ma faute ! Haha ! Il va voir c'qu'il va voir mon psy demain !!

A. qui trouve des excuses


Le problème, c'est qu'il ne doit pas y avoir beaucoup de psys disposés à s'aventurer sur ce terrain là - c'est qu'on a des frais, alors pourquoi tuer la poule aux oeufs d'or ?
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- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)
StarsRfallin
Je ne l'aurais pas mieux dit...
Il m'a déjà "interdit" de continuer à lire un bouqin de Poudat, La dépendance amoureuse...
Enfin, interdit n'est pas le mot il s'est plus contenté d'un "Et si vous vous gardiez ça pour plus tard ?"
Faut dire aussi que ça m'avait mis dans un sale état...
Peut-être serait-ce un meilleur moment pour ça...

A. qui va faire des fouilles

J'ajoute que je me suis imprimée l'itw que tu as citée Redstein, pour lire ça au calme (mon boss fait un de ces boucans...)
Le sujet m'intéresse.
Mother fuckin' Princess A.


« Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. »
Apocalypse 3:14-16
skynet
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Redstein a écrit :
Si une révolution des sensibilités amoureuses doit avoir lieu, elle passera par les femmes. Elles sont davantage faites pour les amours libres, plurielles, car elles ont moins de mal à s'affranchir du besoin de contrôler l'autre. « Quand sera brisé l'infini servage de la femme », pour reprendre les mots de Rimbaud, nous verrons enfin des amours heureuses.


C'est très joli. Mais pour en revenir à la continuation de l'humanité, Il est très fréquent (sans doute normal) que les femmes aient de désir de devenir mères. Et à ce moment là: va donc leur parler d'amours libres et plurielles tien!
ZePot
  • ZePot
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  • Publié par
    ZePot
    le 13 Oct 2009, 16:36
Bizarrement, j'ai parmi mes collègues pas mal d'enfants de communautés hippies. Ils sont loin d'être emballés. Y a t-il un lien avec le boulot d'autiste qu'ils font ? Je ne sais pas.

Bon il ne dit pas grand chose sur son concept de « constellation », qui si j'ai bien compris est basé sur l'individualisme. Ca ne m'a pas l'air fondamentalement différent de la société de célibataires paumés dans laquelle on vit... Ou sinon, comment l'éviter ? Il ne le dit pas.

Redstein a écrit :
elles ont moins de mal à s'affranchir du besoin de contrôler l'autre.


Euh ?
Lutinvolant
ZePot a écrit :
C'est très étrange... tu parles comme si l'amour n'existait pas. Je ne connais pas ta vie, mais dans la mienne, il existe et a toujours existé aussi certainement que le soleil brille.

A partir du moment ou la définition d'une chose est flou, contradictoire et propre à chacun, en qualifier l'existence me parait... étrange.

ZePot a écrit :
J'ai grandi dans une famille très heureuse et, alors que la vie nous a séparés (j'ai quitté ma famille à 15 ans), un lien affectif nous unit profondément, que je dois bien appeler de l'amour.

Je ne rentrerais pas dans une description de mon passé familiale, car il est assez banal et n'explique pas complètement ce que je suis car mon frère a eu le même et il en a "fait" autre chose.

ZePot a écrit :
Je connais l'odeur de mes parents, le son de leurs pas, de leur voix, je les reconnais et je les aime de la même manière qu'un chien aime son maître : instinctivement et sans conditions. Lien animal, reconnaissance de la tendresse que j'ai reçue étant petit.

J'ai une immense gratitude pour les (la) personne(s) qui m'(a)ont élevé mais ça n'a rien d'animal. Je suis un être pensant, je ne fais rien instinctivement et encore moins sans conditions. Certaines personnes de ma famille (très) proche ne sont pas des gens dont je partage les valeurs et ben je n'ai absolument aucune considération pour eux.
Pour l'instinct et la raison, nous avons déjà eux le débat avec Gx... Je sais plus dans quelles pages...

ZePot a écrit :
Je n'ai même pas grand chose à voir avec ma famille : ayant quitté le foyer tôt, j'ai évolué de mon côté, dans un milieu social différent. Je n'ai rien à voir avec mon frère ou ma soeur. Mais nous sommes tous unis par ce lien que j'ai décrit plus haut.

Je ne crois pas au lien du sang, c'est une lubie qu'on dirait royaliste. Je crois aux transmission de valeurs et à la construction personnelle avec toutes les personnes que l'on rencontre au cours de sa vie. Et la famille est loin d'être majoritaire ou une valeur sûr. Bon des fois ça tombe bien...

ZePot a écrit :
Ce lien remonte si loin qu'il me paraît impossible de le recomposer. Ce qui fait sa force, c'est son ancienneté et son ancrage dans la petite enfance. Choses qui sont perdues lors d'une « recomposition ».

Tout est constructible et dé-constructible, les traumas (heureusement) et les choses positives (malheureusement).

ZePot a écrit :
Il est sans doute difficile d'imaginer cela quand on ne l'a pas connu. Je n'ai pas à l'imaginer, il me suffit de me souvenir. Et lorsque l'on a, comme moi, le souvenir si vif d'un paradis perdu, quoi de plus naturel d'aspirer à le recréer ?

Rassure toi, je ne suis pas Dexter (mes couteaux ne coupent pas chez moi... Ikéa de merde...) mais je n'ai jamais eu le sentiment du paradis perdu avec l'enfance. Je trouve l'âge adulte plus rigolo.

Le Lutin "pensez à postuler au service médicolégale de Paris..."
Disparu le 01/7/2010

«Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n’existe pas. L’amour est impossible. Rien n’est grave.»
"Tu peux toujours mettre une étiquette "modèle unique" sur un étron, ça sera toujours un étron !"
Redstein
StarsRfallin a écrit :
Je ne l'aurais pas mieux dit...
Il m'a déjà "interdit" de continuer à lire un bouqin de Poudat, La dépendance amoureuse...
Enfin, interdit n'est pas le mot il s'est plus contenté d'un "Et si vous vous gardiez ça pour plus tard ?"
Faut dire aussi que ça m'avait mis dans un sale état...
Peut-être serait-ce un meilleur moment pour ça...

A. qui va faire des fouilles

J'ajoute que je me suis imprimée l'itw que tu as citée Redstein, pour lire ça au calme (mon boss fait un de ces boucans...)
Le sujet m'intéresse.


Content que ça puisse apporter de la matière à ta réflexion - c'est intéressant ne serait-ce que parce que ça va à contre-courant d'un discours bien trop monolithique pour être honnête
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'


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- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)
Lutinvolant
Redstein a écrit :
C'est très joli. Mais pour en revenir à la continuation de l'humanité, Il est très fréquent (sans doute normal) que les femmes aient de désir de devenir mères. Et à ce moment là: va donc leur parler d'amours libres et plurielles tien!

Attendons que la procréation puisse se faire sans mère... Et là tu l'auras ta construction en "réseau".
Parce que c'est ça le terme de "constellation". Un réseau amicalo-sexuel de connaissances.

Mon rêve, mon utopie...

Le Lutin "vive les bébés en boites... mais pas en sac poubelle, on est pas chez les vuillemin !"
Disparu le 01/7/2010

«Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n’existe pas. L’amour est impossible. Rien n’est grave.»
"Tu peux toujours mettre une étiquette "modèle unique" sur un étron, ça sera toujours un étron !"

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