Redstein a écrit :
Dark Schneider a écrit :
Redstein a écrit :
Merci... Oui, c'est déjà énorme. Si encore on les replantait ensuite...
Mais bien sûr qu'on les replante !! Toute la filière fonctionne ainsi. Pas de bol pour toi, j'ai justement une pépinière juste à côté de chez moi, je peux te filer l'adresse si tu veux, j'achète mon sapin là-bas et il pousse juste à côté, sur une parcelle qui n'a rien de gigantesque (et je préfère voir ce terrain exploité ainsi plutôt qu'il soit rasé pour mettre encore plus de pavillons).
Tu replantes le sapin après les fêtes ? Ou tu le loues à la pépinière qui se charge de le replanter post-nouba de fin d'année ?
Ah, je pensais pas que tu parlais de replanter le sapin coupé, tellement la question ne se pose pas en fait. Je parlais de mon côté des plantations qui fonctionnent par un principe de cycle. Mais tu sais qu'un arbre coupé il a ensuite une seconde utilité ? C'est bien pour ça que des communes organisent la récupération des sapins après les fêtes.
Citation:
La rupture de barrage, c'est moins d'actualité dans la mesure ou on n'en construit plus... en espérant que leur entretien...
Le photovoltaïque, ça va sur les toits - pas d'emprise au sol, ou du moins pas seulement.
L'éolien... personne ne dit qu'il n'est pas perfectible.
Faut-il continuer à miser sur l'atome (comme on disait dans le temps) ?
Quid de la patate ultra-chaude des déchets qu'on lègue à nos descendants, de la sous-traitance à la va-comme-je-te-pousse de l'entretien des centrales, du risque d'accident qui croît avec le vieillissement des équipements et du savoir-faire, etc. ?
Les barrages ont n'en construit plus... quelque par tant mieux. C'est bizarre les promoteurs écolos du renouvelable qui ne parlent jamais des km2 de terres englouties par des lacs artificiels et de toutes les conséquences que ça peut avoir, c'est pas les exemples qui manquent dans le monde. Quant aux risques de rupture ils existent toujours évidemment, un barrage faut l'entretenir (comme une centrale nuke finalement).
Le photovoltaïque ne se limitent pas aux toits des maisons, loin de là. Il y'a des fermes photovoltaïques, plutôt rentables dans les pays chaud, moins chez nous. Les panneaux sur les toits demeurent insuffisants.
Enfin la question des déchets, l'habituel épouvantail. Il faut préciser qu'il y'a plusieurs types et niveau de déchets, et ceux qui sont dangereux et non recyclables (car oui, beaucoup de déchets nucléaires sont recyclables), ne représentent qu'une infime minorité, fort heureusement. C'est ceux là qu'on enfouit ou qu'on veut enfouir dans le sol. Ne nous voilons pas la face, c'est un problème. Mais ça représente 10 tonnes par an, c'est déjà trop, mais pas non plus aussi important que ce que l'on dit. Des déchets, dangereux pour la santé, y'en pleins d'autres, produits par l'industrie, par les transports. La patate chaude elle est partout.
Pour ton dernier point sur l'entretien, c'est bien pour ça qu'il faut valoriser les savoir faire et continuer à former des gens dans ce domaine. Le retard de Flamanville c'est en partie à cause d'une perte de savoir faire.