heu le grain n'est pas du tout, typé metal.. le gain n'est d'ailleurs pas tres elevé meme à fond, et avec le switch de boost on a une disto assez moderne qui n'est pas mon style. du coup pour un bon gros son disto 70/80/90 faut ajouter des pedales, et oublier le switch, voire meme le canal disto. au final je ne joue que sur le canal clair avec des pedales. ( c'est pour ca que je le revend) . il bouffe les pedales comme du petit lait. une vraie machine de test pour essayer tout ce qu'il y a sur le marché lol.
il a une enorme dynamique, et restitue parfaitement le son de la gratte, trop peut etre.. Du coup, je lui trouve un manque de personalité, comparé par ex à mon nighttrain ( le 2w !, qui depote plus je trouve) ou à mon futur dual terror qui enfonce tout.
Certains recherchent ça. Le boss de mon mag joue sur cet ampli et ne le changerait pour rien au monde il a 50 piges et joue dans un groupe de blues :lol . il fera des merveilles en crunch, blues rock, jazz. dès qu'on attaque les bonnes grosses satu, il est trop propre à mon gout. un peu la difference qu'il y aurait entre les Stooges et Govt' mule.
Je sais pas comment expliquer ce feeling: quand je joue dessus je prends 10 ans. j'ai l’impression d'avoir 50 piges et de jouer dans un groupe de blues ( ah merde j'ai deja 50 piges?) . quand je switch sur le nighttrain, j'ai l'impression de m'etre assis sur un cactus plutot que sur un fauteuil club.
à moyen volume, il ne claque pas dans les haut medium et les aigues. pour la premiere fois de ma vie, je dois monter le potar des aigues à 2h et celui des mediums à 3h, et baisser les graves. habituellement je trouvais toujours que les amps me vrillait les tympans.
A haut volume, ca s'attenue et on recupere de la peche. mais je joue sur des strats et je le trouve un peu trop sombre, je n'imagine pas ce qu'il donnererait avec une LP par ex.
je parle du tm 18 que je possede, mais j'ai essayé le 36 et on joue clairement dans la meme cour.
Vente en cours:
rien..
"Ne pas monter bien haut, peut-être, mais tout seul!"
Cyrano de Bergerac (1897), II, 8, Cyrano
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