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- Publié par
gma le 06 Août 2010, 13:07
Merci pour le taff avec les swc, j'essaye de faire au mieux vu que je ne suis qu'un remplaçant!!!
En studio y a eu assez peu de choses, surtout des gros marshall moddés (mkII, plexi et jtm45), du fender deluxe reverb, du recto. Pas mal de réamping et faut voir que le mec qui a mixé (mister Trombino héhéhé) a énormément bossé les effets post prod et le reamping. Et là, mystère, impossible de savoir ce qu'il a fait à part un énorme tour de magie hahahaha!
Pour la scène, j'ai pas mal testé d'amplis quand je suis rentré dans le groupe... esa lone star special (gros coup de foudre mais pas assez de coup de pompe en grosse satu dans le bas...dommage), peavey 5150 (superbe mais aps assez fiable) mesa express (pas mal), EVH (trop rock, pas assez core), marshall jtm45/100 moddé, inutilisable, trop puissnt sans master tssss, Bogner xtc (inutilisable tellement ça compresse cette cochonnerie, superbe ampli de stud mais sur scène c'est trop chiant!), vht (ourgl) et engl (ce que j'ai testé de pire je pense) et le rectifier était sorti grand gagnant pour son efficacité dans le mix du groupe. Puis maintenant soldano hot rod 100+ qui marche presqu'aussi bien mais dont je préfère le son. Toujours le compromis, quoi.
Je précise que je n'avais pas l'habitude de ce genre de sons, je jouais surtout en clean/crunch sur mon markIII ou mes autres amplis et je continue dans les autres groupes à jouer en clean/crunch et booster le signal, rien à voir avec le son moderne dont j'avais besoin pour les swc. Faut s'adapter à la musique, quoi.
Je partage pas mal de points de vue de Zepot mais je tente juste d'adapter mes réponses à un vécu précis sur scène face à UN type de sons, ça peut sembler radical dans ce que je dis, c'est vraiment juste une expérience perso dans UN contexte de GROS son très saturé. Dans un contexte plus pop/rock, la problématique n'est pas la même du tout.