Et ça fait de très très longues années que ça dure...
Bientôt, elle sera encore plus séductrice : ce fut long et vraiment pas facile ou je ne suis pas malin, mais je suis arrivé à lui retrouver enfin un chevalet original Gibson TOM/base ébène, avec les petits pétales de nacre, celui qui équipait à l'ordinaire les 400, les L5 et les Byrdland, afin de remplacer l'actuel en palissandre.
Reste à le faire poser par mon luthier qui la connaît comme s'il l'avait faite : ajuster la base ébène à la courbure de la voûte "handcarved" de cette archtop de 18 pouces, régler le tout...
Et roule...
Vu les grandes qualités acoustiques de ma Big Fat Mama, j'ai hâte d'entendre la différence, "unplugged".
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.