djouby a écrit :
fmu a écrit :
justement non! le jeu de guitare est tellement expressif, a ce niveau là, le reste ne peut être que de l'accompagnement! je peux développer sur demande sur ce genre de performance, mais sinon c'est juste jouissif a mes oreilles, quasi surhumain!
rha put"'n! je me la refais!
oui enfin Vinnie Colaiuta ne reste pas sur de l'accompagnement !
mais on s'en fiche, c'est comme tu le dis jouissif !
et je me la suis refaite aussi !
Pas mieux... et question musicalité sur les intensités (pianissimi, crescendos, forte) c’est quand même étourdissant : il se passe toujours quelque chose et le fil s’entretient du début à la fin.
Bref, y a du relief, comme on dit en géographie.
C’est de la prestidigitation ; je ne vois pas le temps passer, à chaque fois je me fais avoir ; et je connaissais déjà bien ce concert.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.