kleog a écrit :
Vigier joue un jeu dangereux économiquement...être entre le luthier haut de gamme et la production de série le pousse à faire des choix risqués
Le nombre de modèles n'est pas assez vaste pour une vraie politique de gamme typique des ours tels Ibanez, mais la rigidité de la production de série empêche quelques fantaisies customistiques...
vous saisissez cette ambiguité? pas vraiment série, pas vraiment luthier tout à la main...même les gauchers peuvent se brosser, ça craint! Les seules possibilités de custom sont réduites à la peinture, le manche (érable ou palissandre) et un peu les pickups.
voilà, entre une production de série à la qualité baissant et une prod plus artisanale, le coeur de Vigier balance-t-il?
Je partage complètement ton analyse. Vigier a le cul entre 2 chaises, pour parler de manière brut. Et Patrice a des difficultés à le reconnaître ;-)