Azazello a écrit :
Uncle Drunkbag a écrit :
c'est pathétique comme ca prend toujours la même tournure, chacun raméne sa science dans un débat insipide et stérile, et en définitive on obtient un beau salopage de post, et comme par hasard aucune modération...
IL est très bien ce daubic, on n'y parle presque pas de JJG c'est bon signe...
Et puis c'est plus marrant de débattre un peu plutôt que de se vautrer dans la guimauve et auto-congratulation...
En fait, si un modo en a le courage, ça serait bien de transvaser tout le merdier dans un autre topic sur JJG, de manière à f... la paix à l'auteur de celui-ci, qui ne l'a pas créé dans l'espoir de briller aux yeux du gang des avatars monochromes.
Azazello a écrit :
RedStein a écrit :
Oui, l'accompagnement est très bien - tout particulièrement sur L'hôtel particulier...
Dommage qu'il y ait cette voix pénible (pratiquement un voiceover) mixée quinze bornes devant
Les arrangements sont en effet excellent - mais bon, mélodiquement, tout le bouzin n'est pas terrible, ce qui est quand même un comble. Il aurait dû appeler ça "Mélopée Nelson", ou encore 'Je m'écoute parler sur fond de funk-rock atmosphérique"...
C'est un album concept, on a le droit de s'interesser un peu aux paroles aussi ("Où est-tu Melody et ton corps disloqué..."), ta religion te l'interdit? Il faut rentrer dans l'ambiance du truc, se plonger dedans...
Ce n'est pas l'album le plus tubesque à part "Ballade de Melody Nelson" mais il faut le réécouter plusieurs fois, les musicos tuent (cette basse sonne vraiment de manière fabuleuse, la guitare aussi et la batterie tiens aussi...) et puis Vannier est un maitre responsable à 50% du génie de l'album (si tu veux en savoir plus didithegrave est un spécialiste...)
Après je comprends qu'un amateur de JJG puisse passer à coté du truc...Mais bon malgré ta mauvaise fois je sens que tu progresse...
Sinon le coup du phare d'Alexandrie c'était plus admiratif que condescendant...
Wouais, ben à partir de maintenant je te saurai gré de garder ton "admiration" pour toi.
Le "génie" de Mélopée Nelson, que je ne réécouterai sans doute pas, ce sont les arrangements - le reste m'indiffère, et donc l'ensemble également.
Chez Goldman, comme je l'ai dit et répété (mais tu ne retiens que ce qui t'arrange), j'apprécie vraiment cinq ou six chansons, citées plus haut, qui me parlent parce qu'elles repoussent un peu les limites habituelles de la chansonnette du point de vue des paroles, tout en étant mélodiques sans êtres putassières à l'extrême comme le sont tant de produits de la variét française.
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'
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- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)