Le topic des **ROCKERS DE DROITE**

Rappel du dernier message de la page précédente :
Shinolofofora
Beurp's a écrit :


Ils sont aussi rares que les électeurs de sarko intelligents, ou que les shredders capables d'une once de songwriting...

Rien que cette phrase me laissait penser que tu es un pauvre mec...

Beurp's a écrit :
Euh.. Tostaky, on parle de R&R, donc des caves comme Telephone et encore plus des girouettes minables encartées comme Aubert...n'ont rien a foutre ici...


Bon bah voilà, j'en suis sûr maintenant....
douglove
Citation:
Pour moi la question est: quel équilibre entre nos pulsions et instincts d'une part, et certains idéaux d'autres parts?
Et ma réponse à moi que j'ai: c'est qu'il faut savoir écouter ses instincts pour s'épanouir sans avoir mauvaise conscience mais savoir les réprimer quand ceux-ci nuisent à autrui. Sinon c'est la jungle...


En fait, le principale soucis avec le capitalisme mondialisé c 'est qu'on a tout fait pour ne pas nous laisser le choix.
Idéalement, c'est révoltant de soutenir financièrement une dictature.
Dans les faits, certaines choses ne sont absolument plus disponibles à part en made in China...
(je précise à l'attention de ceux qui veulent me répondre "mais c'est justement en achetant made in china que les chinois vont s'enrichir et donc améliorer leur niveau de vie puis accéder à la démocratie" que c'est pas la peine on me l'a déjà fait...)

Citation:
je me sens plus individualiste maintenant que quand j'étais ado


C'est vrai aussi dans le sens où tu deviens responsable de ta vie et que si tu fais des gosses tu deviens responsable de la leur et ça titille forcément tes instincts de chef de meute... faut partir à la chasse pour ramener des biftecks pour la marmaille...

m'enfin même si on devient (un peu) plus individualistes en vieillissant, il nous reste une cause à défenre : l'écologie !!


Voilà pour finir, oui la droite c'est moins d'impôts et plus de libertés individuelles mais c'est aussi le terrain des réactionnaires.
La gauche à ses réactionnaires (les 68ards "nostalgiques") mais c'est souvent à droite qu'on retrouve tous les "c'étaient mieux avant" et les "n'ont pas leur place sur le territoire français"....
et c'est aussi une société archi-sécuritaire, en contradiction totale avec la défense des libertés.
c'est complexe la droite c'est pour ça qu'il vaut mieux s'en méfier...
Government Stealth Warning : Don't drink from the Mainstream
Invité
  • Invité
Beurp's a écrit :
Ad Rock a écrit :

malgré que c'était une fac d'économie.


"Malgré que" n'est pas français


En effet. Au temps pour moi je corrige ça de suite...
Invité
  • Invité
douglove a écrit :

c'est complexe la droite c'est pour ça qu'il vaut mieux s'en méfier...


On peut sans hésiter dire la même chose de la gauche...
Invité
douglove a écrit :


Citation:
je me sens plus individualiste maintenant que quand j'étais ado


C'est vrai aussi dans le sens où tu deviens responsable de ta vie et que si tu fais des gosses tu deviens responsable de la leur et ça titille forcément tes instincts de chef de meute... faut partir à la chasse pour ramener des biftecks pour la marmaille...
.


Tout à fait d'accord sur le lien individualisme/apparition des responsabilités quand on devient adulte
Invité
  • Invité
Citation:
Personnellement, ceux dont je me méfie, c'est justement ceux comme toi, de gauche comme de droite, qui se méfient de la complexité... les moutons bourrés d'anxiolytiques lobotomisés (expression volontairement excessive afin de tenter, peut-être désespérément, de réveiller les consciences)... vous êtes les meilleurs alliés de tout apprenti dictateur qui se respecte...


Quand il s'agit de juger les gens à l'emporte-pièce par contre t'as pas l'air de te méfier de la complexité en effet
douglove
Citation:
(expression volontairement excessive afin de tenter, peut-être désespérément, de réveiller les consciences).


Ah quel warrior !
moi j'aime bien les bisounours.
par conter je trouve que les valeurs exposés dans les oui-oui sont de dangereuses valeurs réactionnaires de droites.
t'as vu un peu le monde dans lequel il vit ?
pouah, on dirait les années 50...

Je disais que la droite était complexe (tu peux pas me contredire sur ce point... la politique c'est complexe de toute façon) dans son approche des libertés individuelles...
elle crie les défendre mais elle construit peu à peu un état archi securitaire...
explique moi que valent les libertés individuelles face à l'explosion des caméras de surveillance (par exemple) ??
Government Stealth Warning : Don't drink from the Mainstream
Invité
  • Invité
Ouep enfin la liberté principalement défendue par la droite c'est quand même la liberté d'entreprendre et la liberté de se démerder pour ne pas être une charge pour l'Etat... Le reste est très subsidiaire
Azazello
Beurp's a écrit :
Ad Rock a écrit :

malgré que c'était une fac d'économie.


"Malgré que" n'est pas français



Jamais Noé ne put si bien voir le monde que de l'arche, malgré qu'elle fût close et qu'il fît nuit sur la terre.

Sinon ça tourne bel et bien en daubic.
Invité
  • Invité
Azazello a écrit :
Beurp's a écrit :
Ad Rock a écrit :

malgré que c'était une fac d'économie.


"Malgré que" n'est pas français



Jamais Noé ne put si bien voir le monde que de l'arche, malgré qu'elle fût close et qu'il fît nuit sur la terre.

Sinon ça tourne bel et bien en daubic.


Non mais Beurp's a raison - et c'est suffisamment rare que pour le lui laisser. Ca m'arracherait presque la gueule de l'avouer, mais je dois reconnaître que je viens d'apprendre quelque chose grâce à lui

Après vérification sur le site de l'Académie française "bien que" peut être utilisé en langage soutenu pour autant qu'il soit suivi du verbe "avoir" conjugué au subjonctif. Cet usage reste toutefois déconseillé
izzyiscool
Pour justifier la persistance et même l'accroissement des souffrances privées et collectives, malgré l'identification docile du public aux injonctions de ses héros fantasmatiques, le spectacle est souvent contraint de mettre en scène d'autres héros incarnés par divers acteurs, et porteurs de valeurs tout aussi inconciliables mais diamétralement opposées à celles du héros positif. Ces personnages public affichent leur mépris pour l'organisation du monde actuel, en dénoncent les fondements, encouragent la révolte ; et, simultanément, terrorisent les populations civiles, font l'apologie de régimes esclavagistes, organisent des massacres collectifs.

La fondamentale duplicité du spectacle et de ses héros ambigus se retrouve dans la nouvelle classe dominante chargée d'organiser la production d'un tel spectacle. La matière première qu'elle a pour tâche de recueillir, de transformer, de gérer et de restituer sous forme d'images, est constituée par les désirs, toujours insatisfaits - désir de liberté et de dignité - de ceux qui sont économiquement condamnés à faire fonctionner ce système, au prix même de leur liberté et de leur dignité. Et cette nécessité leur interdit définitivement de satisfaire de tels désirs. Ceux qui sont privés de leur humanité sont aujourd'hui contraints de fabriquer, à leur propre usage, des images de cette humanité perdue.

Dans les pays les plus modernes, la classe gestionnaire se présente donc d'abord comme porte-parole attentif des désirs et des revendications collectives ; et simultanément comme créatrice de structures matérielles et politiques censées satisfaire ces désirs et ces revendications, structures évidemment conformes à l'organisation politico-industrielle actuelle qui en exclut la réalisation effective.

Cette classe se scinde donc habituellement en deux ensembles gouvernementaux. Les membres du premier groupe, parfois issus de la classe laborieuse mais délivrés de toute activité productrice, se présentent comme les représentants et les courroies de transmission des exigences populaires. Les seconds, généralement issus de l'ancienne classe gestionnaire bourgeoise ou bureaucratique désormais contrainte de prendre en compte les nouveaux appétits de leur clientèle, se chargent de transformer ces rêves en réalité et de créer des objets ou des structures propres à satisfaire illusoirement de tels désirs, en s'intégrant dans le système de production moderne.

Ces deux instances dont l'une porte les revendications et l'autre les convertit en images constituent un instrument de gestion unique, dont la publicité commerciale et la propagande politique sont les articulations. Et ce qui a pu se faire passer, à une époque déjà lointaine, pour une "lutte des classes" n'est plus maintenant qu'une tenaille entre les branches de laquelle sont déchiquetés et broyés les efforts de chacun pour regagner son humanité.

Cette façon de n'être au monde que par la médiation d'images a donné lieu à d'extravagantes manifestations collectives, caractéristiques de notre époque hystérique, et que l'histoire n'avait pas revues depuis le Bas-Empire romain. L'extraordinaire importance des rassemblements sportifs, d'un bout à l'autre du monde, l'intérêt que leur accordent les médias, les violences auxquelles elles donnent lieu de la part du public, relèvent bien de l'hystérie moderne. Les spectateurs d'une exhibition sportive vivent, par procuration, un affrontement dans lequel ils s'engagent personnellement. Ils s'identifient à tel joueur, à telle équipe, et par cette identification ils connaissent d'intenses émotions. Leur joie ou leur colère peuvent être extrêmement violentes (...). Simultanément ils se mettent eux-mêmes en scène comme supporters et se font admirer comme tels. L'universalité de telles exhibitions était inconnue des siècles passés. Mais aujourd'hui, dans quelles autres circonstances moins factices pourraient être vécues de telles émotions, de tels affrontements ? Ces manifestations ont bien pour fonction de canaliser des impulsions interdites, de contrefaire une vie absente. Comment un pouvoir et ses médias ne les favoriseraient-ils pas ?

Il en est de même des divertissements musicaux actuels, qui se déroulent en outre dans les mêmes lieux que les compétitions sportives et qui sont bien différents de ce qu'étaient les concerts de musique au cours des derniers siècles. A Woodstock ou à Bercy, comme dans les rues de la "fête de la musique", des auditeurs-supporteurs s'identifient aux histrions de l'estrade et se mettent eux-mêmes en spectacle comme amateurs éclairés, recouverts de l'aura de leur modèle admirable. L'identification est si complète et le modèle si parfaitement intériorisé qu'il peut n'être aujourd'hui que fantasmé dans les rave parties comme il l'était dans l'ancien happening."

L'Europe a donc suivi sa pente, entraînant le monde entier dans son histoire singulière, et s'éloignant toujours davantage de cette façon de vivre, et de vivre ensemble, qu'elle avait pu observer en Amérique, dans les îles du Pacifique et dans d'immenses contrées où l'on ignorait tout de ses voies. Les peuples de ces territoires ont été anéantis et leurs quelques survivants sont occasionnellement exhibés dans des espèces de "réserves", de zoos humains, de parcs ethnologiques. Le reste du monde a suivi l'Europe dans son aventure technicienne, dans son genre de folie, dans sa manière d'organisation sociale.
Le rappel de ces destructions, de ces tueries, de ces désastres, n'a pas pour but de susciter des sentiments de nostalgie ou de honte. Encore moins de permettre des débats sur les profits ou les désavantages que cette histoire aurait entraînés. Il s'agit d'abord de répondre à des questions qu'il nous semble bien pertinent et urgent de poser aujourd'hui.
Quelle impulsion initiale a amené un jour l'Europe à se transformer de cette façon particulière et à contraindre par les armes le monde entier à suivre ses voies ? Quelle est la nature réelle de cette force ? Par quelles médiations l'accord s'est-il fait sur ce cheminement et sur ces réalisations ?
Personne ne se soucie certainement des réponses qu'auraient données à ces questions les peuples qui ont été anéantis, ni même de celles des civilisations impériales assujeties plus récemment à un genre de vie qu'elles n'avaient pas choisi. En revanche, les Européens, dès l'époque où ils allaient chercher ailleurs que chez eux de l'or et des esclaves, ont toujours su fournir d'excellentes raisons, philosophiques et morales, pour expliquer et justifier leur aventure exemplaire.

Tous les empires agricoles sédentaires ont connu cette organisation sociale fortement structurée et hiérarchisée. La plupart ont aussi adopté cette institution inconnue auparavant, l'esclavage humain, né avec le travail sédentaire et destiné à remplacer la population autochtone pour les tâches les plus pénibles et méprisées. Cette masse servile, généralement capturée par la caste guerrière, était parfois extrêmement abondante, particulièrement en Grèce, à Rome et, plus tard, dans les royaumes africains et dans l'empire arabo-musulman, c'est-à-dire dans les pays les plus agressivement conquérants.

Ce n'est pas leur seule personnalité ou leur machine scénique qui ont permis à Hitler ou à Staline d'entraîner des foules immenses dans les aventures que l'on sait. C'est d'abord la soif d'illusions, la gourmandise pour ce genre de représentation où chacun peut s'assigner une place avantageuse et s'inscrire dans le modèle collectif purement imaginaire que lui propose le menteur électoral, l'escroc social, le criminel politique. Le public moderne, fondamentalement hystérique, se nourrit avidement de telles images parce qu'il a définitivement occulté sa propre réalité, parce qu'il a oublié sa vérité de sujet social, parce qu'il a d'abord été expulsé de lui-même, "aliéné".

Peut-on imaginer, de même, qu'au XVIIe siècle en Europe une bande d'individus masqués soit venue commettre un massacre aveugle dans une ville, et qu'un despote avide ait réussi à convaincre les foules que les organisateurs du carnage étaient précisément ceux dont il convoitait et confisquait les richesses ? En dehors de la Rome néronienne où l'hystérie s'était quelque peu répandue avant l'écroulement de l'Empire, peut-on imaginer cela ailleurs qu'à notre époque moderne où elle s'est généralisée ? La croyance à de telles balivernes n'est possible que si elles coïncident avec un scénario social reçu, comme tout autre, avec délectation, par un public mythomane.

L'hystérie collective actuelle, avec son oubli de soi-même, sa suggestibilité, sa soif d'images et de représentations, s'et formée au cours des derniers siècles, dans des relations sociales marchandes. Dans ce type de rapport social, où le sujet est privé de sa création dans le moment même de son élaboration, où l'objet créé se présente comme autonome et comme le primum movens des relations sociales, la perte de soi-même conduit naturellement à l'hystérie. Ainsi, ce n'est pas la "société du spectacle" qui engendre la mythomanie actuelle. Cette névrose s'est forgée d'abord dans la vieille "aliénation" marchande; et elle s'est généralisée avec la mondialisation de cette aliénation.


Si l'ancien Grec se connaît non seulement comme individu, mais d'abord comme Athénien, comme membre de l'univers vivant et, à ce titre, interlocuteur des dieux, l'Amérindien du Nord n'est pas non plus un simple individu étranger au monde qui l'entoure. Il est d'abord un Sioux ou un Algonquin, et principalement un Indien. Mais il est surtout un membre de la nature et du cosmos, auquel il participe, et dont il a la pleine responsabilité par sa communication intime et quotidienne avec le "Grand Mystère".

Chez tous les peuples primitifs observés par les anthropologues, on retrouve de telles caractéristiques, aussi bien en Afrique centrale que dans les îles océaniques. Et il n'est que trop vraisemblable qu'il en était de même en Europe autrefois. Qui s'en étonnera ? Une telle conscience appartient à tout homme venant au monde. Seule une conscience moderne, forgée dans des conditions sociales bien différentes de celles du primitif, peut croire qu'une vie collective est la somme de vies individuelles associées dans une espèce de "contrat social". Dans la toute première enfance, la vie se montre d'abord sous la forme d'une mère, d'une famille, d'une tribu. Et l'enfant ne distingue pas sa propre vie de celle du monde. Ce n'est que plus tard qu'apparaît chez lui la conscience de son individualité, et, dans des circonstances sociales particulières, la perte partielle ou totale de sa conscience de "petit enfant".

Dans les civilisations impériales de l'Egypte ancienne, du Mexique et du Pérou, de la Chine ou de l'Inde, civilisations figées dans le cours de leur développement et, de ce fait, vulnérables face à celles qui poursuivaient leur chemin (la civilisation romaine d'abord, puis la colonisation européenne), on retrouve, de même, les principes de la conscience unitaire, mais non intimement vécus, extérieurs à l'individu, théorisés et concentrés au niveau de pouvoirs religieux et politiques. Pour la première fois dans l'histoire, la religion témoigne de ce qui a été perdu. Elle en témoigne extérieurement mais réellement.

La différence fondamentale entre la mentalité primitive et la mentalité moderne tient d'abord à ceci : de la fusion du primitif avec le monde qui l'entoure résulte l'identité parfaite de son univers subjectif et de son monde objectif. Le primitif connaît ses désirs comme une force agissante de l'univers, à travers lui-même, une force qui a sa source dans le monde et se manifeste en lui, c'est-à-dire dans le monde. Ses pensées et les mots qui les traduisent sont, de même, des éléments et des articulations de l'univers, ils en dessinent la trame et ils le dévoilent en lui et par lui. Pour le primitif, il n'existe aucune séparation entre ses sensations, ses désirs, ses pensées, et l'objet qui les suscite : leur sujet, leur objet, et la relation entre eux sont une seule et même chose.

Michel Bounan, La Folle histoire du monde (éditions Allia, 2006)
gungancity
Citation:
explique moi que valent les libertés individuelles face à l'explosion des caméras de surveillance (par exemple) ??



les cameras de surveillance ne nuient nullement aux libertes, la premiere des libertes c'est la securité c'est ecrit dans les droits de l homme .

c'est juste à ceux qui ont quelque chose à se reprocher que ca peu nuire en fait les cameras.

car concretement, les images seront visonnees seulement pour un meutre ou attentat par exemple.

qu est ce que ten a a foutre si on te voit 2 sec en te grattant le nez devant une cam sur un escalator a chatelet? (alors qu'ici sur guitariste .com tu met plein de liens photos voire sur facebook et on peut tout savoir de tes activites amis etc)personne va te regarder et te suivre comme ca, c'est que si une enquete de police est faite contre toi qu on va fouiller profond, donc ca nuit en rien aux libertes mais permet aux citoyens au contraire de vivre moins dangereusement et donc de jouir de leurs libertes plus pleinement.
Mr Park
Oui mais finalement on dit "le" ou "la" baffle?
Invité
  • Invité
gungancity a écrit :
les cameras de surveillance ne nuient nullement aux libertes, la premiere des libertes c'est la securité c'est ecrit dans les droits de l homme .

c'est juste à ceux qui ont quelque chose à se reprocher que ca peu nuire en fait les cameras.

Pauvre Winston, il avait beaucoup de choses à se reprocher devant l'oeil des télécrans...

Heureusement ces chinois eux ont tout compris en installant des caméras partout
gungancity
Citation:
la liberté principalement défendue par la droite c'est quand même la liberté d'entreprendre


sans cela y a que des fonctionnaires, faut bien que les patrons puissent continuer a embaucher pour lutter contre le chomage et gagner sa croutte
gungancity
[quote="gungancity"]
Citation:
la liberté principalement défendue par la droite c'est quand même la liberté d'entreprendre


non, toutes sont defendues , et sans cette liberté là il n y a que des fonctionnaires, faut bien que les patrons puissent continuer a embaucher pour lutter contre le chomage et gagner sa croutte

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