ricardo zappa a écrit :
Certains ne vont peut être pas être d'accord, mais je crois qu'il est aussi bon de citer l'ami Rory Gallagher. D'acord, il ne faisait pas du tout du Psyché, mais c'est pendant la période Psyché justemment qu'il a commencé à se faire connaitre (avec Taste). Et écouté l'intro de "There's A Light" sur "Deuce". Ca sonne un peu psyché.
Ouais, et Julien Clerc aussi ça l'a influencé... Comme ca a du influencer un peu tout les musiciens de l'époque.
J'adore le père Rory mais je vois pas ce qu'il vient faire là. Le psychédélisme vise à reproduire les effets déformants des drogues hallucinogènes (LSD, cannabis...) sur la musique. Que je sache, en bon irlandais, Rory disait non à la drogue (comme les commitments) et OUI à toute forme de bibine. On peut considèrer que l'alcool à haute dose est hallucinogène mais alors ce serait Baudelaire le père du psychédélisme.
Maintenant si t'écoutes de la musique en fumant, c'est normal de tout trouver psychédélique
Je vais chercher du Focus, je connais pas.
Y'a le psychédélisme anglais, celui de la cote ouest mais y'a aussi eu un psychédélisme black. On peut citer Curtis Mayfield (‘If there’s hell below, we’re all gonna go”). Georges Clinton et Funkadelic on fait des morceaux très barrés dans le genre comme « free your mind and your ass will follow ». Norman Whitfield, producteur Motown de 68 à 74 a réalisé avec les temptations ou Edwin Star des belles pieces psychés comme Cloud Nine, Psychedelic Shack, War etc